c'est-à-dire

par Claire, samedi 28 mai 2016, 10:22 (il y a 2896 jours) @ julien

c'est vraiment à lire comme les deux volets d'un diptyque, la tranquille géométrie du premier résonnant avec le désespoir calme (au sens de "plus d'espoir") du second.
Les maths m'ont toujours paru froids, comme les lignes droites (sauf l'horizon), mais le froid calme la douleur et le jeu de l'esprit permet de l'oublier.
En tout cas j'aime beaucoup la tonalité de l'ensemble, et du regard posé sur ce qui est autour et au dedans de soi.

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