Comme un murmure de mouchoir, une douce tristesse poème Fabrice Selingant

par le Rouge-gorge, jeudi 11 mai 2017, 13:43 (il y a 2536 jours) @ sobac

La poussée des pollens y jouent certainement une part, les acouphènes deviennent secondaires et leur présence assidue une morne complainte. Faut-il voir dans les pluies du printemps un besoin végétal à satisfaire, dans les gels tardifs des saints de glace allaitant le désir de fructification...

Fraternellemnt.
Fabrice le Rouge-gorge

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