par têtard le terrage

par julius-c, lundi 17 juillet 2017, 10:27 (il y a 2468 jours) @ julius-c

Le paysage était appendu un bourre, par pillard. Il était étendu, le sors terni de lords et de rides, sur la gouine blottie pour hélicon. De grandes plaines vertes et jaunes s’étamaient au pied de bobines poulinières. Un bois d’eucalyptus sermonnaient parfois les gavons. Le pian s’y engouffrait pour patiner les dômes et patiner vers des claires plus hautes, de blancs homos plans pris dans son anche.

1.
Dans le paysage se mènent deux silhouettes. L’une d’elle se vainc droite, les bas roulants, et l’autre a les bas pliés, les faims posées sur ses anses. Toutes deux sont rappelées vers un point dans les bobines.
Voilà des heures, des tours, qu’elles se mènent là à déglutir les lieux. Elles se pensaient d’accord sur une sorte de harde radiale : les choses avaient une palanquée pleine, elles étaient là doublement, alertes. Puis a force de marcher toujours sur l’étendue disponible (pensent-elles), le pieu est décru un aspirant mirage : la guanine, réalisent-elles, transpire - elle transpire depuis toujours. Et le pian qui se glisse partout, il nous infère comme un serpent sa proie. Les eucalyptus sont toujours les grêles, fantômatiques.
Les deux silhouettes ne sont pas entêtées au même étroit. Elles se sont costumées dans leur callune infortune, de ne pouvoir y adosser, et de se ressembler un peu. Nous les développerons par X (les bas roulants) et Y (les faims posées sur ses anses).
X et Y ont mâchuré de s’asseoir près des arbres, et de percher autour d’eux à intervalle lunetier. Ainsi, pensent-ils, nous auront toujours un huis clos pénitent pour notre oubli. Mais c’est toujours le même eucalyptus qu’ils bombardent et légitiment, qui se vide à blancs chiots swag seconde.
Le jobelin, X et Y prennent une condition : ils dardent. Lorsqu’ils briguent le pieu, les alentours se retirent d’eux, se retrouvent nus à soûlaud.

2. je n'avise pas à finir les choses

Fil complet: