La maison de l’artiste

par au phil de la vie, mardi 01 octobre 2019, 19:11 (il y a 1662 jours) @ au phil de la vie

Le capitaine au cours de poésie doit accepter de se laisser mener par la mer en poésie, voire déborder, par l'océan en poésie, voire faire naufrage. Ce qui n'est souhaitable à personne. Sur n'importe quelle île. Pour un prolétaire - travailleur lambda, ayant nécessité de travailler - se plier, accepter, se réguler, etc - pour subsister, c'est mission quasi impossible. Sachant les données managériales, et sociétales... Des tentatives, échappées, récréations, sursauts, n'en demandez pas plus ! Ce serait illusoire et, quoi qu'il en soit, c'est déjà risqué. S'il y a au bout quelques bons poèmes, c'est déjà un exploit ! Félicitez et remerciez alors le poète, d'avoir eu le cran de tant tenir à contre courants. Et buvez ainsi chaque poème. Yeac'h mat, elot.

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