The last day in the last night
Je hais la poésie et les poètes.
Et surtout lmes apprentis pseudos machins. B&andezs. Boandes de cons! Vous zêtes encoiçre plus pathétiques que moi, c'est dire.je vouis lis presuie tout les jours, et j'en finis,kpas de voius trouver débiles.cjonfinész. A part quiù*K? flortianj quand y nva bien, deznis de" temps en temps, et c'est tout.
oui je suis boiurré. olui.et claire, son d"rnier texte. putazin d'additiuon de merde. putain de merd"e. Sortez vous les doigts ndu cul et alleze vous confronter auxs éditeurs. c'est le sqeul trucsz. et bpuis szuicdxiderb vcous.
Et surtout lmes apprentis pseudos machins. B&andezs. Boandes de cons! Vous zêtes encoiçre plus pathétiques que moi, c'est dire.je vouis lis presuie tout les jours, et j'en finis,kpas de voius trouver débiles.cjonfinész. A part quiù*K? flortianj quand y nva bien, deznis de" temps en temps, et c'est tout.
oui je suis boiurré. olui.et claire, son d"rnier texte. putazin d'additiuon de merde. putain de merd"e. Sortez vous les doigts ndu cul et alleze vous confronter auxs éditeurs. c'est le sqeul trucsz. et bpuis szuicdxiderb vcous.
Perdu la ville
PERDU LA VILLE
Avons perdu la ville
marche en seize moitiés quartiers amers
découpe tant
de points morts
pierres noires
Temps de poussières
personne de dos se souvient
Ton poids dans l'herbe
au bord du canal Entre les murs
la chambre
des bouts de peau collés à la place
quand
de retour il fait noir
Il pleut sur ordonnance
il y a tout dans un souvenir il n'y a rien
l'été s'ouvre et teint les plates-bandes
cahier jazz barreaux
sexe bandé bras nus
tiennent dans un seul mot
Tu tires le jour durant poumons remplis
je ne me rappelle pas
ta voix
retourne dans la fatigue
dans les draps dans ta langue
de dos
Détournes le temps frappes poitrine de rage
C'est elle
ce tableau
Moiminotaure au pied du lit
Notre gorge sommeille
tristes chaînes derrière les paravents feuillus
ce n'est rien n'était rien
les fruits sombrent au sol
et leurs lèvres
se rendent
Esprit saint du lieu parcourt la cour
vide courant d'air
par morceaux
toi tête loin rouge
pieds dans l'eau froide ruissellent sanglots
durcissent
Mots en sang mains de pierre
Vagues descendent sèches
Foehn envahit les squares les narines les ongles
pour toute harmonie
Quatre jours sous le ciel plus deux plus un demi
s'enchassent dans la tête
une seule mémoire je suis présent
Cet endroit glisse est une silhouette face contre terre contre rive
est une ombre
Tout un monde aspiré par la bouche noyé
quitte
linge de notes exil
Nos voix pliées au fond d'un tiroir
s'étalent à même l'heure
ni lieu ni rien demeure
Un autre nom tombé
dans un trou
de souris
l'asphyxie des syllabes
épaules contre
épaules
jusqu'à l'épuisement
des traces
Ce qu'on frôle on n'en sait pas le nom
visages villes aux mêmes yeux
mêmes angles arrondis pour
entrer dans
un mot une main
L'eau stagnante aux coins des rues
les choses floues
patauger dedans sans plus
ni dire
ce qu'on frôle
Avons perdu la ville
marche en seize moitiés quartiers amers
découpe tant
de points morts
pierres noires
Temps de poussières
personne de dos se souvient
Ton poids dans l'herbe
au bord du canal Entre les murs
la chambre
des bouts de peau collés à la place
quand
de retour il fait noir
Il pleut sur ordonnance
il y a tout dans un souvenir il n'y a rien
l'été s'ouvre et teint les plates-bandes
cahier jazz barreaux
sexe bandé bras nus
tiennent dans un seul mot
Tu tires le jour durant poumons remplis
je ne me rappelle pas
ta voix
retourne dans la fatigue
dans les draps dans ta langue
de dos
Détournes le temps frappes poitrine de rage
C'est elle
ce tableau
Moiminotaure au pied du lit
Notre gorge sommeille
tristes chaînes derrière les paravents feuillus
ce n'est rien n'était rien
les fruits sombrent au sol
et leurs lèvres
se rendent
Esprit saint du lieu parcourt la cour
vide courant d'air
par morceaux
toi tête loin rouge
pieds dans l'eau froide ruissellent sanglots
durcissent
Mots en sang mains de pierre
Vagues descendent sèches
Foehn envahit les squares les narines les ongles
pour toute harmonie
Quatre jours sous le ciel plus deux plus un demi
s'enchassent dans la tête
une seule mémoire je suis présent
Cet endroit glisse est une silhouette face contre terre contre rive
est une ombre
Tout un monde aspiré par la bouche noyé
quitte
linge de notes exil
Nos voix pliées au fond d'un tiroir
s'étalent à même l'heure
ni lieu ni rien demeure
Un autre nom tombé
dans un trou
de souris
l'asphyxie des syllabes
épaules contre
épaules
jusqu'à l'épuisement
des traces
Ce qu'on frôle on n'en sait pas le nom
visages villes aux mêmes yeux
mêmes angles arrondis pour
entrer dans
un mot une main
L'eau stagnante aux coins des rues
les choses floues
patauger dedans sans plus
ni dire
ce qu'on frôle
Perdu la ville
jamais je n'ai vu une ivresse aussi brève !
(Salut Rod, bien possible que tu n'aies pas tort pour mon dernier.)
(Salut Rod, bien possible que tu n'aies pas tort pour mon dernier.)
Perdu la ville
de quoi tu ^parles, j'ai fais un compié collé que j'arrivcais pas à faire avant. (bonjour claire (j'taime bien))
Janus aux deux visages
moi aussi, Rod.
C'est l'impression rigolote que ça donnait : un type complètement bourré qui vous insulte et soudain se redresse et récite impeccablement un truc très retenu, travaillé .
C'est l'impression rigolote que ça donnait : un type complètement bourré qui vous insulte et soudain se redresse et récite impeccablement un truc très retenu, travaillé .
The last day in the last night
Pardon. je vaiks peut-etre essayer de ,dormir. jE vous espère en bonne santé. Longue vie! bande de cons! je suis fatigué!. Pardon. Advienne que pourra.
The last day in the last night
salut rod
The last day in the last night
Reviens vite, et puis zeio a besoin de 10 poèmes, n'oublie pas.
The last day in the last night
Vive le tapage. Et la haine salubre de la poésie.
The last day in the last night
Ta page, eh patate ! Tapage et patatage, jappe pas ! Lappe la patte ! Partage de pétard peinard, ta part part par tabac et t'abat, et patati et patata.
The last day in the last night
Ça fait pas de mal une petite échancrure dans la nappe, météorisme rosé d'ivresse, giclée de soufre sur les tentures bleues et les couverts en argent.
Janus aux deux visages
ouihihimdr
The last day in the last night
je reprends le "allez vous confronter aux éditeurs" (ce que je crois nous faisons pour la plupart). Derrière cette adjuration, j'entends autre chose : l'exigence d'une écriture différente, quelque chose sans doute de plus "écriture contemporaine"....le genre d'éditeurs avec lesquels tu te confrontes.
C'est une question compliquée pour moi, parce que j'ai fait un trajet à l'envers, en quelque sorte : j'ai commencé par Ivar Ch'Vavar et tous les gens qui gravitent autour de lui, avec un côté poésie expérimentale, assez différent d'ailleurs de celle qui pouvait avoir pignon sur rue dans ce registre à l'époque...j'ai expérimenté des choses, utilisé des formes bizarres, des contraintes etc....et puis peu à peu j'ai ressenti cela (en ce qui me concerne) comme un truc qui ne venait pas de moi. Comme si je ne savais pas ce que je cherchais à dire, que je ne faisais que répéter des choses - même en ce qui concerne le fond, pas seulement la forme - et faire comme si ça venait de moi.
J'ai tellement douté que je me suis mise à écrire de façon purement descriptive, volontairement plate, naïve, comme si je ne pouvais qu'être témoin de la réalité et que je devais renoncer à toute coquetterie personnelle, toute recherche du "beau". Les poèmes que j'ai retravaillés à cette époque c'était toujours pour aller vers le plus simple et vrai.
C'était une période difficile, tâtonnante...la seule part de créativité personnelle à laquelle je me sentais tout à fait autorisée c'était la recherche de la simplicité, et puis le fait que mon œil ne choisissait pas n'importe quoi, bien entendu. Le pompon ça a été ces rêves si étonnants, qui m'ont donné l'impression de retranscrire au plus près le scénario d'un film qu'aurait tourné un autre intérieur.
Maintenant c'est différent, j'ai l'impression d'être plus libre de ces questions, de faire comme les choses me viennent, vers une exploration de la nature même de l'art, de sa fonction, qui me fascine et m'émeut, comme lien entre les humains au plus profond, et aussi pour une interrogation de soi, une description du paysage de son propre esprit. Et puis s'appuyer sur la création des autres, ça je l'ai toujours fait...l'admiration au sens le plus émotionnel du mot, cette énergie-là.
Je crois que si je me remets à beaucoup travailler la forme ce sera pour la bonne cause, et moins pour "suivre" des exemples ou m'insérer dans des mouvements.
Parce qu'il y en a, de bien intéressants d'ailleurs, je le vois, avec des circuits d'édition spécifiques.
Je précise que je ne dis rien de tout ça pour toi, dont la rigueur et la "nécessité" dans ce que tu écris m'a toujours touchée.
C'est une question compliquée pour moi, parce que j'ai fait un trajet à l'envers, en quelque sorte : j'ai commencé par Ivar Ch'Vavar et tous les gens qui gravitent autour de lui, avec un côté poésie expérimentale, assez différent d'ailleurs de celle qui pouvait avoir pignon sur rue dans ce registre à l'époque...j'ai expérimenté des choses, utilisé des formes bizarres, des contraintes etc....et puis peu à peu j'ai ressenti cela (en ce qui me concerne) comme un truc qui ne venait pas de moi. Comme si je ne savais pas ce que je cherchais à dire, que je ne faisais que répéter des choses - même en ce qui concerne le fond, pas seulement la forme - et faire comme si ça venait de moi.
J'ai tellement douté que je me suis mise à écrire de façon purement descriptive, volontairement plate, naïve, comme si je ne pouvais qu'être témoin de la réalité et que je devais renoncer à toute coquetterie personnelle, toute recherche du "beau". Les poèmes que j'ai retravaillés à cette époque c'était toujours pour aller vers le plus simple et vrai.
C'était une période difficile, tâtonnante...la seule part de créativité personnelle à laquelle je me sentais tout à fait autorisée c'était la recherche de la simplicité, et puis le fait que mon œil ne choisissait pas n'importe quoi, bien entendu. Le pompon ça a été ces rêves si étonnants, qui m'ont donné l'impression de retranscrire au plus près le scénario d'un film qu'aurait tourné un autre intérieur.
Maintenant c'est différent, j'ai l'impression d'être plus libre de ces questions, de faire comme les choses me viennent, vers une exploration de la nature même de l'art, de sa fonction, qui me fascine et m'émeut, comme lien entre les humains au plus profond, et aussi pour une interrogation de soi, une description du paysage de son propre esprit. Et puis s'appuyer sur la création des autres, ça je l'ai toujours fait...l'admiration au sens le plus émotionnel du mot, cette énergie-là.
Je crois que si je me remets à beaucoup travailler la forme ce sera pour la bonne cause, et moins pour "suivre" des exemples ou m'insérer dans des mouvements.
Parce qu'il y en a, de bien intéressants d'ailleurs, je le vois, avec des circuits d'édition spécifiques.
Je précise que je ne dis rien de tout ça pour toi, dont la rigueur et la "nécessité" dans ce que tu écris m'a toujours touchée.
papotage de filles :))
"Le pompon ça a été ces rêves si étonnants, "
Salut Claire :))
Comme dab ! à prendre ou à jeter :))
Mes pensées imagées nocturnes, qui se présentent soit en fixes, soit en animées - toile inédite, mini-film, diptyque... :))- soit en couleurs soit en grisées et en imageries très nettes (écran plasma:)) n'ont pratiquement jamais rien à voir avec tes rêves que j'ai lu avec attention Claire :))
Les tiens sont communs :)) c'est pas une critique Claire, c'est un constat :))
Pour ce qui concernent le décryptage de mes "rêves", le plus souvent, je me contente d'attendre :)) Entendre: je passe et pense à tout autre chose :))
Le "mais oui ! mais la correspondance est évidente !" intervient une journée comme une autre, n'importe quand, n'importe comment, n'importe où :))
En général c'est un mot clé qui le déclenche. Que je sois "seule" ou avec du monde
La catégorie "rêves" prémonitoires, spécifiques aux autres catégories -il y en a une qui ne m'intéresse pas du tout :))- pour le mal-être durable qu'ils procurent au réveil, bien que ce ne soit pas forcément une mauvaise nouvelle, sont les plus abscons, abstraits, hermétiques au possible :)) des vrais artistes ceux-là :))
Rationnelle comme pas deux, pour les créditer (les porter à MON crédit:)) j'attends que l'évènement se produise :)) Quoi qu'il en soit , il me serait impossible de faire autrement :))
Quand ils se produisent, plus aucun doute ne subsiste tant la réponse est flagrante. D'abcons, ils surgissent pour l'explication, limpides comme de l'eau de roche :))
Leurs temps de concrétisation est bien évidemment très variables puisqu'il est nécessaire que des conjonctures particulières entrent en jeu :))
J'arrive assez facilement, grace à mes apports littéraire et autre bricoles :)) à distinguer les visions des hallucinations/élucubrations :))
Le monde de la nuit a de tout temps fasciné :))
Pas + Claire. Faut que j'aille lire mon horoscope :)) :)) :))
Salut Claire :))
Comme dab ! à prendre ou à jeter :))
Mes pensées imagées nocturnes, qui se présentent soit en fixes, soit en animées - toile inédite, mini-film, diptyque... :))- soit en couleurs soit en grisées et en imageries très nettes (écran plasma:)) n'ont pratiquement jamais rien à voir avec tes rêves que j'ai lu avec attention Claire :))
Les tiens sont communs :)) c'est pas une critique Claire, c'est un constat :))
Pour ce qui concernent le décryptage de mes "rêves", le plus souvent, je me contente d'attendre :)) Entendre: je passe et pense à tout autre chose :))
Le "mais oui ! mais la correspondance est évidente !" intervient une journée comme une autre, n'importe quand, n'importe comment, n'importe où :))
En général c'est un mot clé qui le déclenche. Que je sois "seule" ou avec du monde
La catégorie "rêves" prémonitoires, spécifiques aux autres catégories -il y en a une qui ne m'intéresse pas du tout :))- pour le mal-être durable qu'ils procurent au réveil, bien que ce ne soit pas forcément une mauvaise nouvelle, sont les plus abscons, abstraits, hermétiques au possible :)) des vrais artistes ceux-là :))
Rationnelle comme pas deux, pour les créditer (les porter à MON crédit:)) j'attends que l'évènement se produise :)) Quoi qu'il en soit , il me serait impossible de faire autrement :))
Quand ils se produisent, plus aucun doute ne subsiste tant la réponse est flagrante. D'abcons, ils surgissent pour l'explication, limpides comme de l'eau de roche :))
Leurs temps de concrétisation est bien évidemment très variables puisqu'il est nécessaire que des conjonctures particulières entrent en jeu :))
J'arrive assez facilement, grace à mes apports littéraire et autre bricoles :)) à distinguer les visions des hallucinations/élucubrations :))
Le monde de la nuit a de tout temps fasciné :))
Pas + Claire. Faut que j'aille lire mon horoscope :)) :)) :))
ajout :))
un mot clé, UNE EXPRESSION, UNE SITUATION qui le déclenche
re-ajout :))
"mal être" n'est pas le mot exact
Je dirais plutôt un état pas courant, spécial. Ni bien ni mal. Ni même un état naturel second :))
Bref ! c'est bizarre :)) :)) :))
Que tu écrives tes rêves Claire, c'est bien. Mais l'idéal, c'est quand même de les décrypter :)) sinon, ils ne servent pas à grand chose :))
Et là, je n'ai aucune référence à te fournir tant il y a à boire et à manger. Tant dans les livres que dans les films :))
Si tu es intéressée par ce thème, faut que tu te décarcasses toute seule :))
Quoi qu'il en soit faut jamais rêver. Ce chemin-là est très très très long :))
Je dirais plutôt un état pas courant, spécial. Ni bien ni mal. Ni même un état naturel second :))
Bref ! c'est bizarre :)) :)) :))
Que tu écrives tes rêves Claire, c'est bien. Mais l'idéal, c'est quand même de les décrypter :)) sinon, ils ne servent pas à grand chose :))
Et là, je n'ai aucune référence à te fournir tant il y a à boire et à manger. Tant dans les livres que dans les films :))
Si tu es intéressée par ce thème, faut que tu te décarcasses toute seule :))
Quoi qu'il en soit faut jamais rêver. Ce chemin-là est très très très long :))
re-ajout :))
je voulais justement qu'ils ne servent à rien....qu'ils soient, c'est tout.
re-ajout :))
"qu'ils soient, c'est tout"
OK, c'est valable :))
OK, c'est valable :))
Perdu la ville
c'est poignant. je comprends ce que tu nous disais, mais une intensité pareille, elle naît de ce qu'on vit, de ce qui demande à être exprimé, à tout prix. c'est ce qui donne sa puissance et sa beauté noire à certains poèmes nés de l'oppression, de la douleur.
parfois, heureusement, on vit des choses plus légères.
parfois, heureusement, on vit des choses plus légères.