Formulation épistolaire - essai
Avant de mourir, je voudrais réussir à formuler ce que je crois. Je veux dire on peut mourir un jour ou l'autre et on finit de toutes façons par mourir un jour. Je ne suis pas pressé, je suis patient. Ce que je crois n'est pas ce que je sais, je vis sans certitudes de ce que j'avance, mais c'est tout comme ce que je pense, en aparté avec moi-même, c'est le fil que je suis, ce fil m'est venu au fil du temps et de la vie, avec ses cassures, avec ses brisures, ses expériences, tissé avec des faits, des moments heureux et des défaites, comme un patchwork improbable aux tissus multiples. Aussi ce n'est pas la vérité, juste ce qu'il me semble être ce qui me paraît vrai, intimement.
Je distingue la condition humaine, où chacun vit puis meurt, et ce qui est fait de cette condition.
Je dis ce qui est fait, non pas ce que nous faisons, car cela me paraît plus exact.
Certains, ici-bas, ne font plus ou moins que subir, tandis que d'autres étant, à l'inverse, plus ou moins selon le rang de pouvoir qu'ils occupent, aux manettes des décisions qui concernent la vie de chaque individu directement.
Parmi ces derniers, je me demande à quel degré selon leur degré de responsabilité ils sont conscients de leurs actes et de leur vie, tant leur capacité de nuisance pour l'espèce, les autres espèces, et la nature dont ils sont pourtant tributaires, semble infinie, sans limite. Je me doute de certains moteurs qui les font ainsi agir, mais au fond cela ne me regarde pas : ils me sont tels des étrangers avec qui je ne me trouve pas de communauté d'esprit, et réciproquement cela m'étonnerait au plus haut point qu'ils entendent quelque chose à ce que j'exprime.
Je distingue la condition humaine, où chacun vit puis meurt, et ce qui est fait de cette condition.
Je dis ce qui est fait, non pas ce que nous faisons, car cela me paraît plus exact.
Certains, ici-bas, ne font plus ou moins que subir, tandis que d'autres étant, à l'inverse, plus ou moins selon le rang de pouvoir qu'ils occupent, aux manettes des décisions qui concernent la vie de chaque individu directement.
Parmi ces derniers, je me demande à quel degré selon leur degré de responsabilité ils sont conscients de leurs actes et de leur vie, tant leur capacité de nuisance pour l'espèce, les autres espèces, et la nature dont ils sont pourtant tributaires, semble infinie, sans limite. Je me doute de certains moteurs qui les font ainsi agir, mais au fond cela ne me regarde pas : ils me sont tels des étrangers avec qui je ne me trouve pas de communauté d'esprit, et réciproquement cela m'étonnerait au plus haut point qu'ils entendent quelque chose à ce que j'exprime.
Formulation épistolaire - essai
bah, excuse moi de te le dire, mais tu enfonces des portes ouvertes, là.
Dans la pente
Avant de mourir certains pensent à régler leur compte, ils deviennent comptables honoraires sans toutefois redresser leur honneur en glissant dans cette pente. Vrai qu'on pourrait avoir des pentes à redresser. Je dis ça je dis rien. Redresser. Une pente. C'est Hardy F. qui chantait "redresse-toi si tu t'arrondis t'auras l'air d'une arche". Heureusement qu'elle ne chantait pas "une pente" mais bon, au fond, une arche, une pente, on s'en fout. Depuis le début de l'histoire humaine l'affaire est penchée de toute façon. Ça penche à gauche puis ça penche à droite, ça s'en va de traviol comme un chien à patte folle. Redresser. Comme si une pente pouvait penser...
Rien au monde, ni homme, ni chien, ni pierre, ne pense à penser, et encore moins à la pente où la pensée penche. Sauf qu'un matin, un matin anodin, un de ceux qui ressemblent à tous les autres fichus matins de ton existence, tu t'assois d'un coup, tu te relèves direct de ton sommeil, et comme un mort revenu à la vie, tu vois. Tu vois exactement où ça penche. Tu te vois de guingois dans la pente de la pensée penchée. Puis, c'est trop tard. Tout est fini. Tu meurs là. En laissant tout le monde dans la pente. Un vrai coup de salaud.
Je te dis ça, c'est pour le fossoyeur. Je voudrais qu'il me place en pente. Avec sa pelle il me fera une belle pente de 45º, et comme ça je ne vous aurai pas planté là. Je serai planté dans la pente, avec vous tous. Je devais te dire ça. Avant de mourir.
Rien au monde, ni homme, ni chien, ni pierre, ne pense à penser, et encore moins à la pente où la pensée penche. Sauf qu'un matin, un matin anodin, un de ceux qui ressemblent à tous les autres fichus matins de ton existence, tu t'assois d'un coup, tu te relèves direct de ton sommeil, et comme un mort revenu à la vie, tu vois. Tu vois exactement où ça penche. Tu te vois de guingois dans la pente de la pensée penchée. Puis, c'est trop tard. Tout est fini. Tu meurs là. En laissant tout le monde dans la pente. Un vrai coup de salaud.
Je te dis ça, c'est pour le fossoyeur. Je voudrais qu'il me place en pente. Avec sa pelle il me fera une belle pente de 45º, et comme ça je ne vous aurai pas planté là. Je serai planté dans la pente, avec vous tous. Je devais te dire ça. Avant de mourir.
Formulation épistolaire - essai
écris
Formulation épistolaire - essai
et si, au fond, j'avais dit tout ce que j'avais à dire, du mieux que je le pouvais avec tout ce que cela suppose de ratage et d'échec. pourquoi insister d'avantage ?
Formulation épistolaire - essai
alors tais-toi
tais-toi et écris
tais-toi et écris
Formulation épistolaire - essai
bah, si j'ai envie de commenter, pourquoi pas ?
Formulation épistolaire - essai
écoute, où tu as tout dit ce que tu avais à dire auquel cas tu te la fermes, question de cohérence n'est-ce pas
où tu as des choses à dire et tu les dis bien comme tu sais faire = écris
où tu as des choses à dire et tu les dis bien comme tu sais faire = écris
Formulation épistolaire - essai
tu veux me censurer ?
Formulation épistolaire - essai
tu veux jouer au médiocre ?
Formulation épistolaire - essai
gnagnagna.
Formulation épistolaire - essai
ton écriture manque
Formulation épistolaire - essai
merci, c'est gentil de me le dire.
Formulation épistolaire - essai
c'est ce que je te dis quand je dis "écris"
ton écriture manque
ton écriture manque
Dans la pente
chuis pas d'accord avec ça, moi.. et puis denis a sans doute raison, même s'il ferait mieux d'écrire.
Dans la pente
euh t'es pas d'acc avec quoi au fait... ?
et est-ce qu'il faut être d'acc au fait ?
et est-ce qu'il faut être d'acc au fait ?
Dans la pente
c'est ça le problème avec les poètes engagés...
Dans la pente
hihi
bon tant qu'il est d'acc avec lui-méme, ça va ;)
tiens, et engagé aussi, tant qu'à y être
perso j'ai suivi le corridor et suis tombée pile sur "avant de mourir"
donc me v'là dans c'te pente-ci... et qu'est-ce que ça penche
bon tant qu'il est d'acc avec lui-méme, ça va ;)
tiens, et engagé aussi, tant qu'à y être
perso j'ai suivi le corridor et suis tombée pile sur "avant de mourir"
donc me v'là dans c'te pente-ci... et qu'est-ce que ça penche
Dans la pente
bon d'accord.
Formulation épistolaire - essai
et si, au fond, j'avais dit tout ce que j'avais à dire, du mieux que je le pouvais avec tout ce que cela suppose de ratage et d'échec. pourquoi insister d'avantage ?
tu es dejà mort ??
moi, je serais curieux de te lire en tout cas...
tu es dejà mort ??
moi, je serais curieux de te lire en tout cas...
Formulation épistolaire - essai
on a une seule chose à dire
qu’on répète toute sa vie
certains parviennent à la formuler
elle peut prendre diverses formes
plusieurs voies, des contournements
cette unique chose à dire
cette part qui nous est propre
qu’on a reçue
dont on peut témoigner
et qu’on ressasse de 15 à 95 ans
qu’on répète toute sa vie
certains parviennent à la formuler
elle peut prendre diverses formes
plusieurs voies, des contournements
cette unique chose à dire
cette part qui nous est propre
qu’on a reçue
dont on peut témoigner
et qu’on ressasse de 15 à 95 ans
Formulation épistolaire - essai
il nous a déjà fait le coup, après il revient de plus belle.
Formulation épistolaire - essai
ouep
sauf que là, il a un drôle de mur, celui d'la publication papier.
j't'assure, l'premier livre, ça rentre dans l'dash. direct,
tu penses que t'es mort, fini, qu't'écriras plus..
au bout d'un moment ça passe comme une mauvaise pilule,
ça prend six mois un an des fois deux..
et puis técris, parce que tu ne peux pas faire autrement.
sauf que là, il a un drôle de mur, celui d'la publication papier.
j't'assure, l'premier livre, ça rentre dans l'dash. direct,
tu penses que t'es mort, fini, qu't'écriras plus..
au bout d'un moment ça passe comme une mauvaise pilule,
ça prend six mois un an des fois deux..
et puis técris, parce que tu ne peux pas faire autrement.
Formulation épistolaire - essai
il y a la version 7 à 77&+ aussi
en jeux de société
en jeux de société
Formulation épistolaire - essai
Oui, mais elle est datée, alors je l'ai actualisée à l'évolution démographique ; mais c'est vrai que la vie est un jeu de société.
Formulation épistolaire - essai
il y a un tas de jeux de société, julien, je suis carrément dépassé à présent.
d'ailleurs je l'ai toujours été.
(je préfère l'awalé aux échecs.)
d'ailleurs je l'ai toujours été.
(je préfère l'awalé aux échecs.)
Formulation épistolaire - essai
Un certain nombre de choses me sont apparues insoutenables. Comme on tait ces choses, par us, habitudes, parce qu'elles sont trop difficiles à entendre, et que tout pousse en ce sens, vers où ? On peut se demander. Je choisis de les taire de même, et puis elles sont à portée de celui qui souhaite apprendre et comprendre.
Ces choses, innommées donc, je ne les perçois pas comme des fatalités, mais comme des choses voulues et décidées par des gens qui, comme je l'ai dit, me sont étrangers - peut-être sont-ils aliénés, à une forme de néant par exemple.
Ces choses étant des faits, qui m'apparaissent profondément injustes, je ne peux les accepter par l'entendement, sinon le monde serait absurde. Ce qui n'est en rien une évidence. J'en veux pour preuve plein d'autres choses qui vont bien et tournent rond, à petite comme à grande échelle, telle la lune le fait autour de la terre, la terre autour du soleil etc.
Impossible, ainsi à admettre, sauf à devenir fou.
Alors, en continuant à respirer, je laisse aller. Plus loin, au bout, après, il me semble que s'ouvre une possibilité, qui demeure évidemment inconnue. A laquelle je crois et je pense tout de même, ce qui me permet de garder suffisamment de raison, de rester assez sensé malgré tout pour persévérer.
Ces choses, innommées donc, je ne les perçois pas comme des fatalités, mais comme des choses voulues et décidées par des gens qui, comme je l'ai dit, me sont étrangers - peut-être sont-ils aliénés, à une forme de néant par exemple.
Ces choses étant des faits, qui m'apparaissent profondément injustes, je ne peux les accepter par l'entendement, sinon le monde serait absurde. Ce qui n'est en rien une évidence. J'en veux pour preuve plein d'autres choses qui vont bien et tournent rond, à petite comme à grande échelle, telle la lune le fait autour de la terre, la terre autour du soleil etc.
Impossible, ainsi à admettre, sauf à devenir fou.
Alors, en continuant à respirer, je laisse aller. Plus loin, au bout, après, il me semble que s'ouvre une possibilité, qui demeure évidemment inconnue. A laquelle je crois et je pense tout de même, ce qui me permet de garder suffisamment de raison, de rester assez sensé malgré tout pour persévérer.
Formulation épistolaire - essai
Plutôt que de terminer cette ébauche qui paraîtra peut-être en partie confuse, je préfère laisser les paroles à feu Martin Luther King - avec par contre un bémol sur le pardon :
Citations...
http://www.evolution-101.com/citations-de-martin-luther-king/
...
Mais comment cet homme en vint-il à déclarer (?) :
" Vient un temps où le silence est trahison. Je n’ai pas peur des mots des gens violents, mais du silence des gens honnêtes. "
MARTIN LUTHER KING
Citations...
http://www.evolution-101.com/citations-de-martin-luther-king/
...
Mais comment cet homme en vint-il à déclarer (?) :
" Vient un temps où le silence est trahison. Je n’ai pas peur des mots des gens violents, mais du silence des gens honnêtes. "
MARTIN LUTHER KING
Formulation épistolaire - essai
Tout à fait Denis :))
Mais me concernant, je préfère et de loin lire un thème porte ouverte où la prose est plus que correcte que lire des inepties rédigées avec un sérieux des plus grotesque :))
Pas + l'Artiste :))
Mais me concernant, je préfère et de loin lire un thème porte ouverte où la prose est plus que correcte que lire des inepties rédigées avec un sérieux des plus grotesque :))
Pas + l'Artiste :))
Dans la pente
tu dis : "chuis pas d'accord avec ça"
avec "ça" quoi ? élabore s'te plaît
(..est-ce qu’il faut réinstaller le décodeur qc/fr ? )
avec "ça" quoi ? élabore s'te plaît
(..est-ce qu’il faut réinstaller le décodeur qc/fr ? )
Dans la pente
j'ai peut-être mal saisi ton texte. je n'aime pas que les gens que j'aime meurent. on ne cesse de descendre et de remonter des pentes, tout au long de sa vie, enfin c'est comme ça ma vie. et la pensée suit ses cours.
http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fp8.storage.canalblog.com%2F81%2F39%2F761447%2F56437838.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fbookivoreclash.canalblog.com%2Farchives%2F2010%2F08%2F28%2F18907727.html&h=306&w=520&tbnid=AYQnZDqkniyDaM%3A&docid=vKjW8jXS9-apbM&ei=v2kTVqbVJI...
http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fp8.storage.canalblog.com%2F81%2F39%2F761447%2F56437838.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fbookivoreclash.canalblog.com%2Farchives%2F2010%2F08%2F28%2F18907727.html&h=306&w=520&tbnid=AYQnZDqkniyDaM%3A&docid=vKjW8jXS9-apbM&ei=v2kTVqbVJI...
Formulation épistolaire - essai
Je me dis parfois j'ai le cui d'un oiseau, ou bien je fais mine de, et alors je suis libre comme l'air d'entrer par les portes et les fenêtres à barreaux et d'en sortir quand ça me chante.
Formulation épistolaire - essai / rubrique réflexions
Dans la pente
A la réflexion, je suis plutôt en accord avec moi-même, on dira que ça va.
Formulation épistolaire - essai
d'ailleurs en parlant cui-cui je t'ai répondu sur mon blog hihi
Dans la pente
ou plutôt que ça gazouille
Dans la pente
tant mieux kelig
et je ne tenterai plus d'écrire avec toi
apparemment des murs ont poussé
alors...voilà, toutes mes excuses..
et je ne tenterai plus d'écrire avec toi
apparemment des murs ont poussé
alors...voilà, toutes mes excuses..
Dans la pente
Mais catr..? encore un quiproquo il me semble ou quoi?
pas compris.
tu peux écrire à côté, à la suite, comme tu sens
je n'y vois pas de souci en fait.
d'ailleurs ton texte il me semble n'a pas rapport avec le mien.
il n'y a pas de mur ici.
des murmures peut-être et des herbes folles
ici je ressentais le besoin d'essayer d'exprimer quelque chose, voilà tout.
pas compris.
tu peux écrire à côté, à la suite, comme tu sens
je n'y vois pas de souci en fait.
d'ailleurs ton texte il me semble n'a pas rapport avec le mien.
il n'y a pas de mur ici.
des murmures peut-être et des herbes folles
ici je ressentais le besoin d'essayer d'exprimer quelque chose, voilà tout.
Dans la pente
(je fais que de la merde aujourd'hui toute façon)
Formulation épistolaire - essai / rubrique réflexions
Pour écouter
Dans la pente
http://survie13.fr/
Ajouté à la rubrique Géopolitique sur mon blog.
Un jeu de société, tu parles, d'enjeux, ce n'est toujours ludique...
Ajouté à la rubrique Géopolitique sur mon blog.
Un jeu de société, tu parles, d'enjeux, ce n'est toujours ludique...
Dans la pente
:(
Dans la pente
A l'aller c'était lent, au retour rapide, ou bien l'inverse ça dépendant des sorts et des folies, et ça filait, filait l'aiguille à coudre et à découdre, il n'y avait pas un point de fait, ça filait l'aiguille du temps pendant des nuits avant même le matin, c'était blanc, ou noir avec les petits gris et la mémoire flanche. De drôles de fées que je rapporte, ici-bas, elles se sont bien produites, et puis poudre d'escampette. Je voyais bien un chat botter en touche, en lignes de fond. Ma foi, que dire à cela, personne ne me crut. C'était du rêve en bouteille, vide depuis des baux et des ladys et jetée à la baille, une lanterne à luciole revenue de la nuit. Véridique ! Vers Fos-Sur-Mer, pas loin d'un puits de pétrole, autour l'étang de Pourra avec des brindilles. Envoyé en ballade. A la mor et tout ça. Bien peu de chose en somme. Des clous de girofle.
Dans la pente
Et si j'en ai perdu mon latin c'est la faute au lutin.
Non mais sérieux, quoi monsieur, 50 cl. mis en bière.
Cul sec.
http://aufildelavie.hautetfort.com/index-6.html
Non mais sérieux, quoi monsieur, 50 cl. mis en bière.
Cul sec.
http://aufildelavie.hautetfort.com/index-6.html
Dans la pente
Nan mais elle m'allume ou quoi là. lol
Dans la pente
C'est à ce moment que j'ai fait demi tour sur moi-même, d'un trait à 90° - en salsa, enchufla - et que j'ai regardé les choses en face, planté en beauté. J'avais le choix entre la chute libre et l'escalade acrobatique. Pas inconnues. J'optais pour le faux-plat, à la suite d'oeufs brouillés. Assez de monnaie de signe en poche pour suivre les traces, CFA, CAC40 etcaetera. Ca pédalait rond dans ma tête d'ébène et d'ivoire. Nez-cassé, je respirais néanmoins à nouveau par les deux narines, je sentais l'effluve des myrtilles. Clin d'oeil au tchao pantin, on n'allait pas m'apprendre la coqueluche... Eh bien dansons ensemble maintenant, cigales et fourmis.
Formulation épistolaire - essai
les portes sont peut-être ouvertes, admettons.
pourquoi chacun reste-t-il sur le pas de ces portes, alors ? hem
pourquoi chacun reste-t-il sur le pas de ces portes, alors ? hem
Pour écouter
Ce que je pense c'est que mittérrand en ce qui concerne la france par exemple était un trou du cul.
et que beaucoup sont encore dans ce trou du cul.
trous du cul tout comme de gaule, foccart, le pen, d'esteing et j'en passe.
ils ont le nez dans le caca et les yeux merdeux.
hitler aussi était un trou du cul. (staline aussi, oui, je sais on a compris.)
et que beaucoup sont encore dans ce trou du cul.
trous du cul tout comme de gaule, foccart, le pen, d'esteing et j'en passe.
ils ont le nez dans le caca et les yeux merdeux.
hitler aussi était un trou du cul. (staline aussi, oui, je sais on a compris.)
Pour écouter
Formulation épistolaire - essai
.. peut-être ..parce que pour les franchir, il faut se franchir soi-même d'abord ?
Formulation épistolaire - essai
C'est ça, sûrement. Alors à ton tour. ;)
Pour écouter
;)
comme on dit chez nous :
tout le monde est un trou du cul
c'est important un trou du cul...
par contre ceux qui font vraiment chier
ce sont les pleins d'merde
ho qu'on s'en passerait !
comme on dit chez nous :
tout le monde est un trou du cul
c'est important un trou du cul...
par contre ceux qui font vraiment chier
ce sont les pleins d'merde
ho qu'on s'en passerait !
Pour écouter
eh oui c'est qu'il faut se les torcher ces vieux crados.
Formulation épistolaire - essai
ben, je passe mon temps à faire ça et pour te dire l'heure juste suis plutôt fatiguée de le faire all alone.
je m'en va prendre un break... euh.. une pause, vous dites une pause..
je m'en va prendre un break... euh.. une pause, vous dites une pause..
Formulation épistolaire - essai
eh moi donc alors, and alone too.
Formulation épistolaire - essai
(me zo skuiz ivez)
Dans la pente
Just a little more
A l'aller c'était lent, au retour rapide, ou bien l'inverse ça dépendant des sorts et des folies, et ça filait, filait l'idée à coudre et à découdre, il n'y avait pas un point de fait qui ne fut défait à la Pénélope, ça filait l'aiguille du temps pendant des nuits avant même le matin, c'était blanc, ou noir avec les petits gris à flanche de mémoire. Drôles de fées que je rapporte, ici-bas, elles se sont bien produites, et puis poudre d'escampette. Je voyais bien un chat botter en touche, en lignes de fond. Ma foi, que dire à cela, personne ne m'eut cru. C'était du rêve en bouteille, vide depuis des baux et des ladys et jetée à la baille, une lanterne à luciole revenue de la nuit. Véridique ! Vers Port-de-Bouc, pas loin d'une brûlure de pétrole, autour l'étang de Pourra avec des brindilles. Envoyé en ballade. A la mor et tout ça. Bien peu de chose en somme. Des clous de girofle.
Si j'en ai perdu mon latin c'est la faute au lutin.
Non mais sérieux, quoi monsieur, 50 cl. mis en bière.
Cul sec.
... A ce moment je fis demi tour sur moi-même, d'un trait à 90° - salsa, enchufla - et je regardais les choses en face, franchi, affranchi, planté en beauté. J'avais le choix entre la chute libre et l'escalade acrobatique. Pas inconnues. J'optais pour le faux-plat, à la suite d'oeufs brouillés. Assez de monnaie de signes en poche pour suivre les traces, CFA, CAC40 etcetera. Ca pédalait rond dans ma tête d'ébène et d'ivoire. Nez-cassé, je respirais néanmoins à nouveau par les deux narines, effluve de myrtilles. Clin d'oeil au tchao pantin, on n'allait pas m'apprendre la coqueluche... Eh bien dansons ensemble maintenant, cigales et fourmis. Petra eo, piv eo..?
Si j'en ai perdu mon latin c'est la faute au lutin.
Non mais sérieux, quoi monsieur, 50 cl. mis en bière.
Cul sec.
... A ce moment je fis demi tour sur moi-même, d'un trait à 90° - salsa, enchufla - et je regardais les choses en face, franchi, affranchi, planté en beauté. J'avais le choix entre la chute libre et l'escalade acrobatique. Pas inconnues. J'optais pour le faux-plat, à la suite d'oeufs brouillés. Assez de monnaie de signes en poche pour suivre les traces, CFA, CAC40 etcetera. Ca pédalait rond dans ma tête d'ébène et d'ivoire. Nez-cassé, je respirais néanmoins à nouveau par les deux narines, effluve de myrtilles. Clin d'oeil au tchao pantin, on n'allait pas m'apprendre la coqueluche... Eh bien dansons ensemble maintenant, cigales et fourmis. Petra eo, piv eo..?