ressources
elles sont chez les proches
même s'ils sont loin ils sont présents
par un coup de fil de l'échange des petits films
des voix familières
elles sont chez les proches
avec qui je partage un repas un café un thé un verre
elles sont dans les regards et les écoutes mutuelles
elles sont chez des moins proches intimes
même des inconnus
un salut une accolade un sourire une paroles au coin de la rue
elles sont dans la nature aussi
elles sont avant tout natures
de l'ordinaire qui réchauffe l'âme
et puis parfois c'est la solitude
comme un bloc - l'esprit est seul dans le corps seul
et rien ni personne ne peut y faire c'est comme ça
les pensées comme dans une prison
il y a bien la musique les lectures
et la poésie en même temps aussi mais
cela ne suffit plus
c'est à ces moments que je puise
ailleurs
de quoi vivre
telle à une source inconnue
peut-être est-ce à une poésie encore
que je me livre tandis qu'elle, me délivre.
même s'ils sont loin ils sont présents
par un coup de fil de l'échange des petits films
des voix familières
elles sont chez les proches
avec qui je partage un repas un café un thé un verre
elles sont dans les regards et les écoutes mutuelles
elles sont chez des moins proches intimes
même des inconnus
un salut une accolade un sourire une paroles au coin de la rue
elles sont dans la nature aussi
elles sont avant tout natures
de l'ordinaire qui réchauffe l'âme
et puis parfois c'est la solitude
comme un bloc - l'esprit est seul dans le corps seul
et rien ni personne ne peut y faire c'est comme ça
les pensées comme dans une prison
il y a bien la musique les lectures
et la poésie en même temps aussi mais
cela ne suffit plus
c'est à ces moments que je puise
ailleurs
de quoi vivre
telle à une source inconnue
peut-être est-ce à une poésie encore
que je me livre tandis qu'elle, me délivre.
ressources
elles se trouvent chez les proches
même quand ils sont loin ils sont présents
au fil de la pensée fil de l'échange et des petits films
des voix familières s'entendent
elles se trouvent chez les proches
avec qui je partage un repas un café un thé un verre
quand on se promène côte à côte
elles sont dans les regards et les écoutes mutuelles
avec des attentions des petits mots
elles se donnent en énergie qui circule à l'intérieur
elles sont chez des moins proches aussi
même des inconnus, par un salut, une accolade
un sourire, une parole au coin de la rue on est reconnu
elles sont dans la nature de même
elles sont avant tout natures
comme de l'ordinaire qui réchauffe l'âme
je peux marcher seul de longs moments ensuite
réconforté en toute indépendance
et puis parfois c'est la solitude qui prend le pas et qui pèse
comme un bloc, un roc - l'esprit est seul dans le corps seul
et rien ni personne ne peut y faire c'est comme ça
les pensées prises comme dans une prison
il y a bien la musique les lectures transperce la lumière
et la poésie à travers les barreaux aussi mais
cela ne suffit plus
c'est à ces moments que je puise
ailleurs autre part
de quoi vivre
telle à une source inconnue
peut-être est-ce à une poésie encore
que je me livre ainsi tandis qu'elle, me délivre.
même quand ils sont loin ils sont présents
au fil de la pensée fil de l'échange et des petits films
des voix familières s'entendent
elles se trouvent chez les proches
avec qui je partage un repas un café un thé un verre
quand on se promène côte à côte
elles sont dans les regards et les écoutes mutuelles
avec des attentions des petits mots
elles se donnent en énergie qui circule à l'intérieur
elles sont chez des moins proches aussi
même des inconnus, par un salut, une accolade
un sourire, une parole au coin de la rue on est reconnu
elles sont dans la nature de même
elles sont avant tout natures
comme de l'ordinaire qui réchauffe l'âme
je peux marcher seul de longs moments ensuite
réconforté en toute indépendance
et puis parfois c'est la solitude qui prend le pas et qui pèse
comme un bloc, un roc - l'esprit est seul dans le corps seul
et rien ni personne ne peut y faire c'est comme ça
les pensées prises comme dans une prison
il y a bien la musique les lectures transperce la lumière
et la poésie à travers les barreaux aussi mais
cela ne suffit plus
c'est à ces moments que je puise
ailleurs autre part
de quoi vivre
telle à une source inconnue
peut-être est-ce à une poésie encore
que je me livre ainsi tandis qu'elle, me délivre.
ressources
Techniquement parlant, rythmiquement parlant, ce texte ne casse pas trois pattes à un connard. Pourtant, le ton, la tonalité du poème respire l'humanisme. Voilà pourquoi j'ai avant tout aimé la démarche, peut-être naive (mais pas ridicule), plus que le style qui manque un peu de pulsation.
Mais enfin... Je préfère souvent les textes qui font sens aux poésies purement métaphysiques.
Mais tu as fait mieux.
Mais enfin... Je préfère souvent les textes qui font sens aux poésies purement métaphysiques.
Mais tu as fait mieux.
ressources
Merci pour ton retour, je le retoucherai peut-être, bien possible que j'aille le fouiller plus.
ressources
quand je me sens seul
elles se trouvent chez les proches
même quand ils sont loin ils sont présents
au fil de la pensée fil de l'échange, des petits films
des voix familières s'entendent
elles se trouvent chez les proches
avec qui je partage un repas un café un thé un verre
quand on se promène côte à côte
elles sont dans les regards et les écoutes mutuelles
avec des attentions des petits mots
elles se donnent en énergie qui circule à l'intérieur
elles sont chez des moins proches aussi
même des inconnus, par un salut, une accolade
un sourire, une parole au coin de la rue on est reconnu
elles sont dans la nature de même
elles sont avant tout natures
natures humaines
comme de l'ordinaire qui réchauffe l'âme
je peux marcher seul de longs moments avec
réconforté en toute indépendance
et puis parfois c'est la solitude qui prend le pas et qui pèse
comme un bloc, un roc - l'esprit est seul dans le corps seul
et rien ni personne ne peut y faire c'est comme ça
les pensées prises comme dans une prison
il y a bien la musique les lectures transperce la lumière
et la poésie à travers les barreaux aussi mais
cela ne suffit plus
c'est à ces moments que je puise
ailleurs autre part
de quoi vivre
telle à une source inconnue
peut-être est-ce à une poésie encore
que je me livre ainsi tandis qu'elle, me délivre.
elles se trouvent chez les proches
même quand ils sont loin ils sont présents
au fil de la pensée fil de l'échange, des petits films
des voix familières s'entendent
elles se trouvent chez les proches
avec qui je partage un repas un café un thé un verre
quand on se promène côte à côte
elles sont dans les regards et les écoutes mutuelles
avec des attentions des petits mots
elles se donnent en énergie qui circule à l'intérieur
elles sont chez des moins proches aussi
même des inconnus, par un salut, une accolade
un sourire, une parole au coin de la rue on est reconnu
elles sont dans la nature de même
elles sont avant tout natures
natures humaines
comme de l'ordinaire qui réchauffe l'âme
je peux marcher seul de longs moments avec
réconforté en toute indépendance
et puis parfois c'est la solitude qui prend le pas et qui pèse
comme un bloc, un roc - l'esprit est seul dans le corps seul
et rien ni personne ne peut y faire c'est comme ça
les pensées prises comme dans une prison
il y a bien la musique les lectures transperce la lumière
et la poésie à travers les barreaux aussi mais
cela ne suffit plus
c'est à ces moments que je puise
ailleurs autre part
de quoi vivre
telle à une source inconnue
peut-être est-ce à une poésie encore
que je me livre ainsi tandis qu'elle, me délivre.
ressources
quand je me sens seul sans
en trouve avec les proches
même quand ils sont loin ils sont présents
au fil de pensée fil d'échange, aux petits films
des voix familières s'entendent
en trouve avec les proches
avec qui je partage un repas un café un thé un verre
quand on se promène côte à côte
en trouve au coin des yeux parmi les écoutes mutuelles
avec des attentions des petits mots
quand on se donne en énergie qui circule à l'intérieur
en trouve avec des moins proches aussi même
des inconnus, un salut, une accolade c'est bon
se sourire, parole au coin de la rue on est reconnu
en trouve dans la nature de même
ressources avant tout natures
natures humaines
de l'ordinaire qui réchauffe l'âme
je peux marcher ainsi seul de longs moments
réconforté en toute indépendance
mais parfois la solitude prend le pas et pèse trop
comme un bloc, un roc - esprit seul en corps seul
et rien ni personne ne peut y faire c'est comme ça
les pensées prises comme dans une prison
il y a bien la musique les lectures transperce la lumière
et la poésie à travers les barreaux aussi pourtant
cela ne suffit plus
à ces moments d'épuisement
s'écoule ailleurs d'autre part
de quoi survivre
telle d'une source inconnue
peut-être est-ce une poésie
à laquelle je me livre ainsi
tandis qu'elle me délivre.
en trouve avec les proches
même quand ils sont loin ils sont présents
au fil de pensée fil d'échange, aux petits films
des voix familières s'entendent
en trouve avec les proches
avec qui je partage un repas un café un thé un verre
quand on se promène côte à côte
en trouve au coin des yeux parmi les écoutes mutuelles
avec des attentions des petits mots
quand on se donne en énergie qui circule à l'intérieur
en trouve avec des moins proches aussi même
des inconnus, un salut, une accolade c'est bon
se sourire, parole au coin de la rue on est reconnu
en trouve dans la nature de même
ressources avant tout natures
natures humaines
de l'ordinaire qui réchauffe l'âme
je peux marcher ainsi seul de longs moments
réconforté en toute indépendance
mais parfois la solitude prend le pas et pèse trop
comme un bloc, un roc - esprit seul en corps seul
et rien ni personne ne peut y faire c'est comme ça
les pensées prises comme dans une prison
il y a bien la musique les lectures transperce la lumière
et la poésie à travers les barreaux aussi pourtant
cela ne suffit plus
à ces moments d'épuisement
s'écoule ailleurs d'autre part
de quoi survivre
telle d'une source inconnue
peut-être est-ce une poésie
à laquelle je me livre ainsi
tandis qu'elle me délivre.
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Laquelle tu préfères? (moi j'aime bien la deux)
ressources
ben ouais, c'est celle-là.
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Tu veux dire celle que tu avais commenté ou bien la dernière là ?
Je crois bien que c'est la dernière que je garde
Je crois bien que c'est la dernière que je garde
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Oui, je parlais de la deuxième version retouchée... la dernière quoi ! La première retouche est un peu bavarde.
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ouf! pcq c'est toujours la dernière que je garde.