Des choses de la vie
Jonchées au sol, éparpillées, dispersées, inanimées, étrangetés familières, presque quittées, en allées. Presque nu, des liens affectifs aux choses passées reliées à la peau de vie, au corps, à l'esprit. A travers les adieux qui n’en finissent pas de finir aux vies d’hier à s’émouvoir quelque fois les écouter tourner telles des mimes marceau immobile. Tu écoutes ce qu’elles ont à dire, leur vie contenue déroulée derrière les passages compliqués s'épancher. Une mémoire de ruisseau. La vie s'écoule intranquille.
Des choses de la vie
Des mimes marceaux avec un x, c'est du pluriel.
Des choses de la vie
C'eût pu l'être, mais ça ne l'est point.
Des choses de la vie
Ah, alors il faut écrire un mime marceau sans s, et c'est du singulier. Faut pas mélanger les singuliers et les pluriels, les torchons et les serviettes, ni les cétéras. Sinon tu peux aussi écrire les mimes Marceau avec une Majuscule qui Signale un Nom Propre. Mais utilisé comme tu le fais là, "mime marceau" est plutôt une expression qu'un nom, non ? Çtun néoexpressionnisme, comme il y a des néologismes. Des mimes marceaux, des becs bunsens, des tartes tatins, des colonnes morris, des pifs gadgets, une place et une rue toutes deux pigalles.
(Moi c'est surtout à cause des adieux avec un x une ligne plus haut que je préfére les mimes marceaux avec un x. Ça noue bien.) (L'œil çtimportant en poésie.) (Trouvé-je.)
(Moi c'est surtout à cause des adieux avec un x une ligne plus haut que je préfére les mimes marceaux avec un x. Ça noue bien.) (L'œil çtimportant en poésie.) (Trouvé-je.)
Des choses de la vie
Oui çastient.
A moins que ce soit moi marceau immobile.
A moins que ce soit moi marceau immobile.
Des choses de la vie
ça ne vaut pas les mines martiennes