la poésie, c'est fini ?
ce matin dans le métro, je pensai que je n'écrivais plus rien depuis plus d'un an. je n'en ai plus envie. c'est comme si j'avais fait le maximum de ce que je pouvais, et que maintenant il fallait faire autre chose. en re-lisant certains de mes anciens poèmes j'étais stupéfait : je n'arrive même pas à comprendre comment est-ce que j'ai pu écrire ça : est-ce que j'étais malade ? sous influence ? c'est vraiment comme si un étranger les avait écrits. il faut dire que ma vie s'est beaucoup arrangée depuis, globalement ça va mieux, comme dit hollande. alors maintenant ce qui me plait le plus c'est le piano, surtout le piano 4 mains. je pense que je vais bientôt prendre un prof. il y a des tas de trucs faciles à jouer. pour l'instant je travaille avec la méthode hervé / pouillard, et ça me plait bien. oui, c'est dans cette direction que je vais m'orienter maintenant. la poésie n'aura été qu'une longue traversée du désert de presque 15 ans, et ça n'a plus de sens de continuer si le coeur n'y est plus. mais ça ne m'empêchera pas de continuer à en lire.
la poésie, c'est fini ?
L.´essentiel, c'est que tu re sentes bien.
Bien à toi,
JM.
Bien à toi,
JM.
la poésie, c'est fini ?
J'ai arrêté pendant 25 ans, à peu près dans les mêmes conditions : la vie relationnelle prend la première place.
C'est revenu, appelé par un hasard, mais dans un moment de transition, d'intériorisation.
Les deux sont bien, ce n'est pas à ramener à "aller bien/aller mal".
C'est revenu, appelé par un hasard, mais dans un moment de transition, d'intériorisation.
Les deux sont bien, ce n'est pas à ramener à "aller bien/aller mal".
la poésie, c'est fini ?
ce n'est pas à ramener à "aller bien/aller mal". >>>
ah si, pour moi un peu quand même.
la poésie, c'est fini ?
DH est probablement dans sa phase "caca nerveux" :)) :)) :))
Le mois dâôût ne lui réussi pas :))
Si ceux qui savent correctement lire et correctement écrire -( ça va de pair :))-, renoncent à éditer, la littérature de bas-arts (l'ennuyeuse, l'attendue :)) a de beaux jours devant elle
Il n'empêche
Sage conseil que tu lui as soumis Ecrire :))
Le mois dâôût ne lui réussi pas :))
Si ceux qui savent correctement lire et correctement écrire -( ça va de pair :))-, renoncent à éditer, la littérature de bas-arts (l'ennuyeuse, l'attendue :)) a de beaux jours devant elle
Il n'empêche
Sage conseil que tu lui as soumis Ecrire :))
la poésie, c'est fini ?
l'ennui et l'angoisse sont des aiguillons à la créativité.
alors que le bonheur rend mou et improductif.
alors que le bonheur rend mou et improductif.
la poésie, c'est fini ?
la poésie, c'est fini ?
mais merde à la fin ! ce truc hors sujet n'a rien à faire ici !
la poésie, c'est fini ?
Oui mais ce n'est pas très grave Denis :-)
la poésie, c'est fini ?
Ces posts ne font qu'embourber le forum et emmerdent les lecteurs. Il me semble que nous l'avons expliqué à plusieurs reprises.
Nous pouvons donc en déduire que Kelig s'emploie à nous emmerder. C'est le but.
L'intéressé verouille son forum (ce qui ne me dérange aucunement), mais pollue un espace ouvert. Ouvert à la création littéraire. Point.
Nous pouvons donc en déduire que Kelig s'emploie à nous emmerder. C'est le but.
L'intéressé verouille son forum (ce qui ne me dérange aucunement), mais pollue un espace ouvert. Ouvert à la création littéraire. Point.
la poésie, c'est fini ?
à dh
le piano bleu
le piano bleu
alors si c'est fini si c'est mort, je dépose cette chanson sur ta tombe, joseph...
.
JOSEPH
c’est quoi un rouge gorge maintenant je suis fatigué je tends le bras il pleut l’escalier est glissant trempé je me tiendrais plus tard à ton bras je n’attends plus je me tiendrais plus tard quand je serais plus grand plus beau plus élégant avec toute la suite qui va avec et tout et tout j’attends je suis là ils viendront peut-être me chercher comme avant avec les autres pour me mettre dans un endroit calme où tout est blanc je serais bien là-bas je dormirais pour oublier qui je suis vraiment je suis joseph comment tout ça à commencer comment mettre la bonne porte dans la bonne clé la vie est un jeu si transparent pour réussir à tous les coups la zone pavillonnaire l’endroit où je suis né l’endroit où j’ai vécu toute mon enfance l’endroit déjà tout tracé sur la route du bonheur quelqu’un m’écoutait derrière la porte j’ai mal au ventre j’ai mal à la tête je crois bien qu’on parle de moi j’entends des voix des voix me veulent du mal jusqu’à demain matin me cherchent je dors déjà c’est comme avec les femmes j’ai du renoncé et prendre sur moi la robe en éventail pour en faire une camisole de force une seconde peau et puis regarde mes mains regarde comment physiquement je tremble comment je peux tenir comment je peux tenir encore t’as raison de dire ça l’enfance est une limite à ne pas dépasser parfois j’ai peur parfois j’aimerais tuer ma mère aller à l’essentiel nager marcher mourir près du bord quand vivre m’est difficile écarter les bras d’un gratte ciel pour sauter dans le vide et disparaître et qu’on n’en parle plus de joseph de l’alcool assourdissant pour trouver le sommeil et qu’on n’en parle plus des belles lettres d’accompagnements dans les livres qui pourriront peut-être un jour sûrement j’en sais rien demain je vois f et puis l’autre à 17 heures et on parlera d’électro choque du temps qu’il fait dehors on parlera de rien on parlera de codéine d’atmosphère pour écrire le mieux possible après la chute après la remontée des différentes phases qu’il faut traverser pour être heureux le monde est surprenant je dois manquer de fibre un peu d’atome un peu d’amour le reste fera le reste voilà c’est tout une simple forme évolutive de la matière à la matière et je suis là devant vous je suis joseph et je m’enroule j’ai froid je vais vomir un peu je vais pouvoir rentrer dans moi labyrinthe labyrinthe posé comme un endroit une plateforme sous le ventre soulevé détache-moi je suis dans un jeu de quilles on est lancé des gens me frôlent des gens me regardent on laisse passer les beaux tissus pour mieux les détruire ensuite chacun ses armes son double et sa façon de se défaire dans le regard de l’autre j’avance j’avance mais j’avance mal j’avance pas quelqu’un est entré et n’en n’ai jamais ressorti je m’oublie pour boire j’aimerais des fois écrire comme Houellebecq sur le bonheur sur le rapport aux femmes les gares les trains à prendre pour être un homme heureux moi j’en sais rien je suis au ralenti
.
JOSEPH
c’est quoi un rouge gorge maintenant je suis fatigué je tends le bras il pleut l’escalier est glissant trempé je me tiendrais plus tard à ton bras je n’attends plus je me tiendrais plus tard quand je serais plus grand plus beau plus élégant avec toute la suite qui va avec et tout et tout j’attends je suis là ils viendront peut-être me chercher comme avant avec les autres pour me mettre dans un endroit calme où tout est blanc je serais bien là-bas je dormirais pour oublier qui je suis vraiment je suis joseph comment tout ça à commencer comment mettre la bonne porte dans la bonne clé la vie est un jeu si transparent pour réussir à tous les coups la zone pavillonnaire l’endroit où je suis né l’endroit où j’ai vécu toute mon enfance l’endroit déjà tout tracé sur la route du bonheur quelqu’un m’écoutait derrière la porte j’ai mal au ventre j’ai mal à la tête je crois bien qu’on parle de moi j’entends des voix des voix me veulent du mal jusqu’à demain matin me cherchent je dors déjà c’est comme avec les femmes j’ai du renoncé et prendre sur moi la robe en éventail pour en faire une camisole de force une seconde peau et puis regarde mes mains regarde comment physiquement je tremble comment je peux tenir comment je peux tenir encore t’as raison de dire ça l’enfance est une limite à ne pas dépasser parfois j’ai peur parfois j’aimerais tuer ma mère aller à l’essentiel nager marcher mourir près du bord quand vivre m’est difficile écarter les bras d’un gratte ciel pour sauter dans le vide et disparaître et qu’on n’en parle plus de joseph de l’alcool assourdissant pour trouver le sommeil et qu’on n’en parle plus des belles lettres d’accompagnements dans les livres qui pourriront peut-être un jour sûrement j’en sais rien demain je vois f et puis l’autre à 17 heures et on parlera d’électro choque du temps qu’il fait dehors on parlera de rien on parlera de codéine d’atmosphère pour écrire le mieux possible après la chute après la remontée des différentes phases qu’il faut traverser pour être heureux le monde est surprenant je dois manquer de fibre un peu d’atome un peu d’amour le reste fera le reste voilà c’est tout une simple forme évolutive de la matière à la matière et je suis là devant vous je suis joseph et je m’enroule j’ai froid je vais vomir un peu je vais pouvoir rentrer dans moi labyrinthe labyrinthe posé comme un endroit une plateforme sous le ventre soulevé détache-moi je suis dans un jeu de quilles on est lancé des gens me frôlent des gens me regardent on laisse passer les beaux tissus pour mieux les détruire ensuite chacun ses armes son double et sa façon de se défaire dans le regard de l’autre j’avance j’avance mais j’avance mal j’avance pas quelqu’un est entré et n’en n’ai jamais ressorti je m’oublie pour boire j’aimerais des fois écrire comme Houellebecq sur le bonheur sur le rapport aux femmes les gares les trains à prendre pour être un homme heureux moi j’en sais rien je suis au ralenti
.
la poésie, c'est fini ?
Il faudrait demander à l'intéressé ce qu'il en pense... (. Point.)
Si ces posts toxiques et répétés sont avérés, avec emploi du temps et ce qui s'ensuit, ce comportement est inqualifiable et doit être unanimement dénoncé, et condamné.
Surtout qu'il y a de l'espace, et ouvert qui plus est !
J'en parlerai à mon ch'val. Point. (...)
Si ces posts toxiques et répétés sont avérés, avec emploi du temps et ce qui s'ensuit, ce comportement est inqualifiable et doit être unanimement dénoncé, et condamné.
Surtout qu'il y a de l'espace, et ouvert qui plus est !
J'en parlerai à mon ch'val. Point. (...)
la poésie, c'est fini ?
sacrebleu ! suffit, il suffit ! que faut-il pour que l'espace reste sainement ouvert ? putentrailles !
vous apprendre encore à ne pas chier dans tous les coins et à ne point vous torcher aux tapisseries ?
vous apprendre encore à ne pas chier dans tous les coins et à ne point vous torcher aux tapisseries ?
la poésie, c'est fini ?
groin-groin.
la poésie, c'est fini ?
Ohh .. il vient de me murmurer à l'oreille qu'il n'est pas faux d'Ecrire qu'il en emmerde un certain nombre...
la poésie, c'est fini ?
Le mois d'out c'est la chienlit quoi.
Ca dépend comment on se sent
Ah tous ces moi d'out.
Ca dépend comment on se sent
Ah tous ces moi d'out.
la poésie, c'est fini ?
Ce truc traite du hors-sujet.
A la suite de ton truc sans sujet. Le bonheur n'est pas un sujet...
Alors franchement vu le niveau... C'est réjouissant.
Pas parce qu'il y a poésie dans le sujet que c'en est ! Ni que ça parle.
Et puis relis-toi correctement, tu y liras glissée comme une fine peau de banane "comme dit Hollande" etc.
Qui se moque de qui ?
Ce n'est pas au singe qu'on apprend à faire la grimace !
A la suite de ton truc sans sujet. Le bonheur n'est pas un sujet...
Alors franchement vu le niveau... C'est réjouissant.
Pas parce qu'il y a poésie dans le sujet que c'en est ! Ni que ça parle.
Et puis relis-toi correctement, tu y liras glissée comme une fine peau de banane "comme dit Hollande" etc.
Qui se moque de qui ?
Ce n'est pas au singe qu'on apprend à faire la grimace !
la poésie, c'est fini ?
Ha tu vois, moi non plus je n'ai plus d'inspiration pour des textes.
Mais faut pas non plus pour autant renier ce qu'on a fait !
L'inspiration, ça va ça vient, on se balance d'art en art comme un trapéziste chimpanzé, c'est surprenant mais bien agréable.
Avec qui tu joues du 4 mains ?
Mais faut pas non plus pour autant renier ce qu'on a fait !
L'inspiration, ça va ça vient, on se balance d'art en art comme un trapéziste chimpanzé, c'est surprenant mais bien agréable.
Avec qui tu joues du 4 mains ?
la poésie, c'est fini ?
Sauf que la "poésie" qui vient de l'ennui et de l'angoisse est ennuyeuse et jérémiante. L'inspiration, la vraie, n'aime pas les aigüillons.
Au modérateur
Ello Zeio,
J'aimerais que l'ensemble de mes messages de ce fil soient supprimés.
Je regrette d'être revenu tel le fantôme de l'opéra déranger le fil conducteur creative poétic.
En ce moment j'arrête la cigarette par un passage à la cigarette électronique.
Une addiction telle ne se guérit pas en un jour ni d'un coup, ou substitut, sauf dans l'idéal.
On est chaque fois désolé quand se produit une rechute, aussi brève soit-elle.
Foin de comparaison, je préfère avoir craqué un soufre d'allumette ici qu'une clope. Pétard, oui c'est égoïste, quoi que.
En espérant que ma demande sera prise en compte, cette fois.
(j'ai cru voir que pour d'autres c'était systématique)
Salut'
J'aimerais que l'ensemble de mes messages de ce fil soient supprimés.
Je regrette d'être revenu tel le fantôme de l'opéra déranger le fil conducteur creative poétic.
En ce moment j'arrête la cigarette par un passage à la cigarette électronique.
Une addiction telle ne se guérit pas en un jour ni d'un coup, ou substitut, sauf dans l'idéal.
On est chaque fois désolé quand se produit une rechute, aussi brève soit-elle.
Foin de comparaison, je préfère avoir craqué un soufre d'allumette ici qu'une clope. Pétard, oui c'est égoïste, quoi que.
En espérant que ma demande sera prise en compte, cette fois.
(j'ai cru voir que pour d'autres c'était systématique)
Salut'
Un bonheur mou ?
Tous les affects, indépendamment de leur type, sont susceptibles de générer de beaux textes. Cela dépend en dernier ressort du talent de la personne et de son travail.
Quant au "bonheur" susceptible de nous anesthésier, il relèverait plutôt d'une forme de fuite en avant, de distraction ou d'évitement permettant d'échapper à la fragilité de notre condition. Le bonheur qu'on peut atteindre est cultivé par nos soins. Il ne saurait s'avérer "mou".
Content de te retrouver Rémy !
Quant au "bonheur" susceptible de nous anesthésier, il relèverait plutôt d'une forme de fuite en avant, de distraction ou d'évitement permettant d'échapper à la fragilité de notre condition. Le bonheur qu'on peut atteindre est cultivé par nos soins. Il ne saurait s'avérer "mou".
Content de te retrouver Rémy !
la poésie, c'est fini ?
c'est superbe, catrine.
je suis très touché.
je suis très touché.
la poésie, c'est fini ?
avec ma chérie.
merci olivier
la poésie, c'est fini ?
Ah, très bien ! Fais-lui une bise de ma part pendant que vous jouerez.
(Hé mais Denis c'était une perche tendue, tu vois ? Une invitation à filer à 4 mains avec moi la métaphore quadrumane. Quand j'écris "d'art en art comme un trapéziste chimpanzé ; avec qui tu fais du 4 mains ?", il faut répondre "avec mes pieds", tu vois l'idée ? Ou encore mieux, vu les circonstances, renvoyer la balle en écrivant "avec ma moitié". Bon, on ressaiera une autre fois.)
(Hé mais Denis c'était une perche tendue, tu vois ? Une invitation à filer à 4 mains avec moi la métaphore quadrumane. Quand j'écris "d'art en art comme un trapéziste chimpanzé ; avec qui tu fais du 4 mains ?", il faut répondre "avec mes pieds", tu vois l'idée ? Ou encore mieux, vu les circonstances, renvoyer la balle en écrivant "avec ma moitié". Bon, on ressaiera une autre fois.)
la poésie, c'est fini ?
La vie est pour moi incomplète sans la littérature, sans la poésie (même si j'en écris moins). La vie est incomplète ou plutôt : c'est moi qui suis incomplet, sans la littérature, non pas que je parvienne à une forme de complétude avec elle, ou peut-être rarement, par instants, à-côté desquels le reste devient tout relatif.
la poésie, c'est fini ?
Je pense que c'est le confort qui mène à une certaine inertie, plutôt que le bonheur. Dans le confort il y a que du mou. Entre le bonheur et l'angoisse, la frontière est mince, l'un peut prendre le visage de l'autre, et peut donner sa valeur à son "opposé".
Au modérateur
Cesse donc la victimisation, inhérente à la propagande tiers-mondiste, et fais péter le poème
la poésie, c'est fini ?
L'inspiration fait son lit là où il y a de la vie, que l'hôtel s'appelle "ennui", "angoisse" ou "aiguillons" peu importe, si il y a de la vie, elle vient se glisser dans les draps.
Il y a parfois un mouvement lent vers le bonheur, qui fermente au fond d'un poème triste, que tu ne sais pas toujours voir, obnubilé que tu es par l'arc-en-ciel.
Il y a parfois un mouvement lent vers le bonheur, qui fermente au fond d'un poème triste, que tu ne sais pas toujours voir, obnubilé que tu es par l'arc-en-ciel.
la poésie, c'est fini ?
Si l'inspiration a foutu le camp
Faut taper à la porte
Si elle ne répond pas
Laisser des fleurs
Revenir le lendemain
Tenter le cailloux lancé sur la fenêtre
Mais si on n'a plus envie de tout ça
Alors se coucher
Sous les étoiles
Et ne plus rien penser du tout
En attendant que ça passe
Et si ça ne passe toujours pas
Continuer de regarder les étoiles
Parce qu'il n'y a rien d'autre à faire
Faut taper à la porte
Si elle ne répond pas
Laisser des fleurs
Revenir le lendemain
Tenter le cailloux lancé sur la fenêtre
Mais si on n'a plus envie de tout ça
Alors se coucher
Sous les étoiles
Et ne plus rien penser du tout
En attendant que ça passe
Et si ça ne passe toujours pas
Continuer de regarder les étoiles
Parce qu'il n'y a rien d'autre à faire
De soi à toi
On se montre on semble se confondre
soi-même avec autre
inspire expire – nouvelle inspiration
on s'échappe on se rattrape
à cache-cache sans chausse-trappe
on y voit clair tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
on avance comme on se double
à la seconde où on est là
moins on en parle mieux on raconte
c'est une drôle d'impression.
Quelquefois on s'écharpe on se pends au cou
on se coupe on se lame de fond
se recoud se trame des histoires
se pique quand ça serpente on se doute
des effets loupe.
Regards de soi.
Plus on y pense moins on en est sûr
sens dessus dessous
plus ça va vite moins y arrive
et tourneboulent des spirales
on travaille moins en rêve.
En flânant à la suite
dans les ligne entremêlées
boucles sans fin de chevelure
courbes en formes.
Plus on s'effronte moins on affronte
– on fond même quand ça s'averse
désarmes de larmes
aux rires de lyres
musique de pluie coule.
Que se dit-on ou se tait-on ?
A la beauté vague à l'âme
versée de mais.
Et danse, dansons à pieds nus écoulés petits ruisseaux
aux pas dérivent nos oui no
en ronde à x temps et passent
les impairs et manques en impasse.
En visage la lune
se taire-à-taire
les cils au ciel.
Désenchantant
lune chute en montant
tel écrit vivant dans le vent
échoué en hommage au perdant
de vue noyée à la rue toute pareille
libre des voix aux fenêtres grandes ouvertes.
soi-même avec autre
inspire expire – nouvelle inspiration
on s'échappe on se rattrape
à cache-cache sans chausse-trappe
on y voit clair tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
on avance comme on se double
à la seconde où on est là
moins on en parle mieux on raconte
c'est une drôle d'impression.
Quelquefois on s'écharpe on se pends au cou
on se coupe on se lame de fond
se recoud se trame des histoires
se pique quand ça serpente on se doute
des effets loupe.
Regards de soi.
Plus on y pense moins on en est sûr
sens dessus dessous
plus ça va vite moins y arrive
et tourneboulent des spirales
on travaille moins en rêve.
En flânant à la suite
dans les ligne entremêlées
boucles sans fin de chevelure
courbes en formes.
Plus on s'effronte moins on affronte
– on fond même quand ça s'averse
désarmes de larmes
aux rires de lyres
musique de pluie coule.
Que se dit-on ou se tait-on ?
A la beauté vague à l'âme
versée de mais.
Et danse, dansons à pieds nus écoulés petits ruisseaux
aux pas dérivent nos oui no
en ronde à x temps et passent
les impairs et manques en impasse.
En visage la lune
se taire-à-taire
les cils au ciel.
Désenchantant
lune chute en montant
tel écrit vivant dans le vent
échoué en hommage au perdant
de vue noyée à la rue toute pareille
libre des voix aux fenêtres grandes ouvertes.
Au modérateur
Tu as raison d'être partial, je ne suis pas une femmelette.
Bon, je renfourche mon cheval d'orgueil.
Salut !
Bon, je renfourche mon cheval d'orgueil.
Salut !
Au modérateur
Oui, tu n'es pas une femmelette ! que diable
De soi à toi
C'est mignon et ça chantonne !
De soi à toi
Mieux que mignon :))
ça chantonne en rap :))
C'est pas moi qui décide :))
Ma lecture (surtout le début)c'est faite d'office en rap :))
ça chantonne en rap :))
C'est pas moi qui décide :))
Ma lecture (surtout le début)c'est faite d'office en rap :))
Léonora Miona, écrivaine prophète artiste
Léonora Miona, écrivaine prophète artiste
Je la connais. Elle n'est pas n'importe qui.
alors si c'est fini si c'est mort, je dépose cette chanson sur ta tombe, joseph...
Je fus cellule, puis cellules, et puis je suis entré dans le labyrinthe.
Il y avait des gens ils ne regardaient rien ils ne m’intéressaient pas.
Je ne marchais pas je glissais sur une surface plane trop lisse.
Tout le monde se cassait la gueule et personne ne s’en rendait compte.
Je sentais bien que je n’avais pas la force d’avancer avec eux.
Pas d’inspiration d’inclination pas d’idées sauf celle de quitter la place.
Je voulais creuser mon sillon tout seul laisser mon empreinte invisible.
Il y avait des gens ils ne regardaient rien ils ne m’intéressaient pas.
Je ne marchais pas je glissais sur une surface plane trop lisse.
Tout le monde se cassait la gueule et personne ne s’en rendait compte.
Je sentais bien que je n’avais pas la force d’avancer avec eux.
Pas d’inspiration d’inclination pas d’idées sauf celle de quitter la place.
Je voulais creuser mon sillon tout seul laisser mon empreinte invisible.
Autrepart
On se montre on se confond
soi et autre, inspire expire
nouvelle inspiration
on s'échappe on se rattrape
à cache-cache sans chausse-trappe
on y voit clair tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
on avance comme on se double
à la seconde où on est là
moins on en parle mieux on raconte
drôle d'impression
quelquefois on s'écharpe on se pend au cou
on se coupe on se lame de fond
se recoud se trament des histoires
ça pique quand ça serpente on se doute
des effets loupe
regards de l'autre,
plus on y pense moins on est sûr
sens dessus dessous
plus ça va vite moins y arrive
tourneboulent des spirales
on travaille moins en rêve
à la suite
ligne entremêlées
boucles sans fin chevelure
courbes en formes
plus on s'effronte moins on affronte
on fond même quand ça s'averse
désarmes de rires
en lyres
musique de pluie coule
que se dit-on et se tait-on ?
A la beauté vague à l'âme
versée de mais
danse,
dansons à pieds nus écoulés petits ruisseaux
aux pas dérivent nos oui no
ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
quand c'est âpre ça rap
envisage la lune
où l'esprit migre
et toutes nos cellules
fertiles cycles
vies morts naissances
chahute en montant
tel écrit vivant dans le vent
échoué comme perdu
de vue noyée à la rue toute pareille
libre de voix aux fenêtres grandes ouverte
soi et autre, inspire expire
nouvelle inspiration
on s'échappe on se rattrape
à cache-cache sans chausse-trappe
on y voit clair tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
on avance comme on se double
à la seconde où on est là
moins on en parle mieux on raconte
drôle d'impression
quelquefois on s'écharpe on se pend au cou
on se coupe on se lame de fond
se recoud se trament des histoires
ça pique quand ça serpente on se doute
des effets loupe
regards de l'autre,
plus on y pense moins on est sûr
sens dessus dessous
plus ça va vite moins y arrive
tourneboulent des spirales
on travaille moins en rêve
à la suite
ligne entremêlées
boucles sans fin chevelure
courbes en formes
plus on s'effronte moins on affronte
on fond même quand ça s'averse
désarmes de rires
en lyres
musique de pluie coule
que se dit-on et se tait-on ?
A la beauté vague à l'âme
versée de mais
danse,
dansons à pieds nus écoulés petits ruisseaux
aux pas dérivent nos oui no
ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
quand c'est âpre ça rap
envisage la lune
où l'esprit migre
et toutes nos cellules
fertiles cycles
vies morts naissances
chahute en montant
tel écrit vivant dans le vent
échoué comme perdu
de vue noyée à la rue toute pareille
libre de voix aux fenêtres grandes ouverte
"Ne vous laissez pas prendre au jeu de la colère (...) il faut rire" ;)
Léonora Miona, écrivaine prophète artiste
Certes non. Et elle ne dit pas n'importe quoi, au contraire !
:o)
:o)
Le mollusque
Tip-top ! Un de mes favoris.
Le mollusque
Qu'est-ce qui est un de tes favoris ? je n'ai pas compris
Le mollusque
Une oeuvre là-haut.
Ensemble
On se montre et on fond
soi en l'autre, inspire désire
j'expire, j'espère
échappés on s'attrape
à cache-cache, sans chausse-trappe
on y voit clair où c'est trouble
c'est étonnant
on avance
on se dédouble
au même moment on s'unit
une écharpe et on s'enroule
ça picote ça fourmille
effets loupe
aux regards de l'autre
les dessous lianes
ça va vite puis
ça ralentit
tourneboule en spirales
tout près, si lointain
des fois on travaille des fois on rêve
nos ligne entremêlées
tresses de chevelures
coupes éclairs
courbes de corps
la musique de pluie coule
en lyres de soleil
beauté de nos baisers
donnés sans mais
on danse à pieds nus, s'écoulent petits ruisseaux
ronde à x temps
en retenue on s'attend
parfois c'est âpre
alors ça rap
avec la lune
nos esprit naviguent
et toutes nos cellules
aux fertiles cycles
les vies les morts les naissances
on se chahute marée montante
et tel écrit vivant dans le vent
s'échoue de plus belle
perdu de vue
noyée à la rue toute pareille
de vives voix
aux fenêtres grandes ouverte
soi en l'autre, inspire désire
j'expire, j'espère
échappés on s'attrape
à cache-cache, sans chausse-trappe
on y voit clair où c'est trouble
c'est étonnant
on avance
on se dédouble
au même moment on s'unit
une écharpe et on s'enroule
ça picote ça fourmille
effets loupe
aux regards de l'autre
les dessous lianes
ça va vite puis
ça ralentit
tourneboule en spirales
tout près, si lointain
des fois on travaille des fois on rêve
nos ligne entremêlées
tresses de chevelures
coupes éclairs
courbes de corps
la musique de pluie coule
en lyres de soleil
beauté de nos baisers
donnés sans mais
on danse à pieds nus, s'écoulent petits ruisseaux
ronde à x temps
en retenue on s'attend
parfois c'est âpre
alors ça rap
avec la lune
nos esprit naviguent
et toutes nos cellules
aux fertiles cycles
les vies les morts les naissances
on se chahute marée montante
et tel écrit vivant dans le vent
s'échoue de plus belle
perdu de vue
noyée à la rue toute pareille
de vives voix
aux fenêtres grandes ouverte
Ensemble
On se montre et on fond
soi en l'autre, on s'inspire se désire
on se témoigne
échappés on s'attrape
à cache-cache, sans chausse-trappe
on y voit clair où c'est trouble
c'est bon
on avance
on se dédouble on s'unit
une écharpe et on s'enroule
ça picote ça fourmille
effets loupe
aux regards de l'autre
les dessous lianes
ça va vite puis
ça ralentit
tourneboule en spirales
tout près, si lointain
des fois on travaille des fois on rêve
nos ligne entremêlées
tresses de chevelures
coupes éclairs
courbes de corps
la musique de pluie coule
en lyres de soleil
beauté de nos baisers
donnés sans mais
on danse à pieds nus, s'écoulent petits ruisseaux
ronde à x temps
en retenue on s'attend
parfois c'est âpre
ça rap
avec la lune
nos esprit naviguent
et toutes nos cellules
aux fertiles cycles
les vies les morts les naissances
on se chahute marée montante
faisant l'amour en jouant
et tel écrit vivant dans le vent
s'échoue de plus belle
perdu de vue
noyée à la rue toute pareille
de vives voix
aux fenêtres ouverte
soi en l'autre, on s'inspire se désire
on se témoigne
échappés on s'attrape
à cache-cache, sans chausse-trappe
on y voit clair où c'est trouble
c'est bon
on avance
on se dédouble on s'unit
une écharpe et on s'enroule
ça picote ça fourmille
effets loupe
aux regards de l'autre
les dessous lianes
ça va vite puis
ça ralentit
tourneboule en spirales
tout près, si lointain
des fois on travaille des fois on rêve
nos ligne entremêlées
tresses de chevelures
coupes éclairs
courbes de corps
la musique de pluie coule
en lyres de soleil
beauté de nos baisers
donnés sans mais
on danse à pieds nus, s'écoulent petits ruisseaux
ronde à x temps
en retenue on s'attend
parfois c'est âpre
ça rap
avec la lune
nos esprit naviguent
et toutes nos cellules
aux fertiles cycles
les vies les morts les naissances
on se chahute marée montante
faisant l'amour en jouant
et tel écrit vivant dans le vent
s'échoue de plus belle
perdu de vue
noyée à la rue toute pareille
de vives voix
aux fenêtres ouverte