ôôoooôôôôoooô
sans rangement la mémoire
la lumière désordonnée
la même depuis que je suis né
étend le linge des objets, sé
chés par le corps frais, épar
pillé à coups de dés non
chalands du vent, très
habile à ce qu'il sème
sans l'avoir touché
à la marmite de soi-même
on s’ennuie comme jamais
on ne s'est amusé
puisqu'on peut y repenser
mitonnent les saisons, tout
recommence, tout recommence
qui serre son objet pré
cisément, sans en faire un
geste savant, en dépossédant l'étonnement
hoquet glissé des mains
j'aimais bien demain
lorsque j’en
savais battement de cils
le jour me rattrape qui m'habille
et la nuit ne retient rien
tout après moi est à son fil
j'ouvre une voix malhabile
la lumière désordonnée
la même depuis que je suis né
étend le linge des objets, sé
chés par le corps frais, épar
pillé à coups de dés non
chalands du vent, très
habile à ce qu'il sème
sans l'avoir touché
à la marmite de soi-même
on s’ennuie comme jamais
on ne s'est amusé
puisqu'on peut y repenser
mitonnent les saisons, tout
recommence, tout recommence
qui serre son objet pré
cisément, sans en faire un
geste savant, en dépossédant l'étonnement
hoquet glissé des mains
j'aimais bien demain
lorsque j’en
savais battement de cils
le jour me rattrape qui m'habille
et la nuit ne retient rien
tout après moi est à son fil
j'ouvre une voix malhabile
ôôoooôôôôoooô
quelle impression de liberté, c'est comme si tu captais l'haleine du temps.
ôôoooôôôôoooô
J'aime bien jusqu'aux saisons, puis les deux derniers vers.
Le troisième passage me semble ne pas aller avec le poème, mais je ne l'ai pas saisi non plus, mais il me parait l'alourdir.
Le troisième passage me semble ne pas aller avec le poème, mais je ne l'ai pas saisi non plus, mais il me parait l'alourdir.
merci voici une version mieux
sans rangement dans la mémoire :
la lumière désordonnée
la même depuis que je suis né
étend de ses mains le linge des
objets, sé
chés par le corps épars
pillé à coups de dés (nonchalamment)
du vent, très
habile à ce qu'il sème
sans l'avoir pourtant touché
à la marmite de soi-même
on s'ennuie comme jamais
on ne s'est amusé
puisqu'on peut y repenser
mitonnent les saisons, tout
recommence, tout recommence
qui serre son objet pré
cisément, sans en faire un
geste savant, en dépossédant seulement l'étonnement
hoquet glissé des mains
pourtant j'aimais bien
demain lorsque j’en savais ba
ttement de cils
mais le jour me rattrape qui m'habille
et la nuit ne retient rien
tout après moi est à son fil
commence une histoire malhabile
la lumière désordonnée
la même depuis que je suis né
étend de ses mains le linge des
objets, sé
chés par le corps épars
pillé à coups de dés (nonchalamment)
du vent, très
habile à ce qu'il sème
sans l'avoir pourtant touché
à la marmite de soi-même
on s'ennuie comme jamais
on ne s'est amusé
puisqu'on peut y repenser
mitonnent les saisons, tout
recommence, tout recommence
qui serre son objet pré
cisément, sans en faire un
geste savant, en dépossédant seulement l'étonnement
hoquet glissé des mains
pourtant j'aimais bien
demain lorsque j’en savais ba
ttement de cils
mais le jour me rattrape qui m'habille
et la nuit ne retient rien
tout après moi est à son fil
commence une histoire malhabile
merci voici une version mieux
ah oui, c'est vraiment beaucoup mieux.
merci voici une version mieux
Tu es ironique? Je ne me vexerai pas, je trouve ça plutôt caca dans les deux cas, mais moins au second.
merci voici une version mieux
Louis, je reste sur ma prime lecture, l'autre commentaire.
Ton poème n'est nul.
Ton poème n'est nul.
ôôoooôôôôoooô
Ces vers aussi j'aime bien
hoquet glissé des mains
j'aimais bien demain
le jour me rattrape qui m'habille
et la nuit ne retient rien
hoquet glissé des mains
j'aimais bien demain
le jour me rattrape qui m'habille
et la nuit ne retient rien