Demeures Qu'on Ne Possède Pas
.
DEMEURES QU'ON NE POSSEDE PAS
Je n’ai plus peur des fantômes
Ni des voix que j’entends
Mais j’ai peur des orages
Car c’est toujours présent
Comme un vieil arbre
Au milieu de la cour
Dans le vacarme
Des enfants qui jouent
C’est comme un insecte
Qui voyage sous la peau
Ça ne changera jamais
On dit
Que ça disparaîtra un jour
Puis ça revient
Comme une bataille
Ou comme un cri
Ou comme une plaie
Qui vous travaille
Qui vous réveille
Sur un même quai
Mais on est seul
On est trop près
On est trop loin de nous
Puis ça revient
Puis ça revient
Tu n’y crois plus vraiment
Au bonheur
Au soleil miraculeux
Des fontaines
Qui parfumaient la ville
Quand nous étions dehors
Pour oublier cette vie
Il faudra donc
Oublier tout
Notre passé
Notre présent
Pour vivre un peu plus fort
Et dieu là-bas
Qui tend ses bras
Comme un seul homme
Pour dire que le combat
N’est pas fini
Jamais
Jamais tu m’entends
Il recommence
Pour prendre une autre forme
Tu dois donner
Maintenant
Un autre sens à ta vie
Car tu n’as plus le choix
Es-tu prêt
A sacrifier ta vie
Pour une idée
Pour un combat
Je sais c’est difficile
Il faut mourir
Pour ouvrir une autre porte
Tu dois comprendre ça
Ton corps n’est qu’une enveloppe
Un lac sacré
Ou le secret est transparent
Un sac un récipient
Une éponge un sas
Un élément
Pour que ton esprit repose
Enfin
Voyage
Tout recommence
Tu dois apprendre
Qui tu es
Ce que tu fais
Ce que tu cherches
Ce que tu fais
Ce que tu cherches
Quand êtes-vous déjà mortes
8+7=13
DEMEURES QU'ON NE POSSEDE PAS
Je n’ai plus peur des fantômes
Ni des voix que j’entends
Mais j’ai peur des orages
Car c’est toujours présent
Comme un vieil arbre
Au milieu de la cour
Dans le vacarme
Des enfants qui jouent
C’est comme un insecte
Qui voyage sous la peau
Ça ne changera jamais
On dit
Que ça disparaîtra un jour
Puis ça revient
Comme une bataille
Ou comme un cri
Ou comme une plaie
Qui vous travaille
Qui vous réveille
Sur un même quai
Mais on est seul
On est trop près
On est trop loin de nous
Puis ça revient
Puis ça revient
Tu n’y crois plus vraiment
Au bonheur
Au soleil miraculeux
Des fontaines
Qui parfumaient la ville
Quand nous étions dehors
Pour oublier cette vie
Il faudra donc
Oublier tout
Notre passé
Notre présent
Pour vivre un peu plus fort
Et dieu là-bas
Qui tend ses bras
Comme un seul homme
Pour dire que le combat
N’est pas fini
Jamais
Jamais tu m’entends
Il recommence
Pour prendre une autre forme
Tu dois donner
Maintenant
Un autre sens à ta vie
Car tu n’as plus le choix
Es-tu prêt
A sacrifier ta vie
Pour une idée
Pour un combat
Je sais c’est difficile
Il faut mourir
Pour ouvrir une autre porte
Tu dois comprendre ça
Ton corps n’est qu’une enveloppe
Un lac sacré
Ou le secret est transparent
Un sac un récipient
Une éponge un sas
Un élément
Pour que ton esprit repose
Enfin
Voyage
Tout recommence
Tu dois apprendre
Qui tu es
Ce que tu fais
Ce que tu cherches
Ce que tu fais
Ce que tu cherches
Quand êtes-vous déjà mortes
8+7=13
demeures
.
pris dans le cours des choses
on oublie
qu’on habite ailleurs
qu’on habite chez quelqu’un d’autre.
c’est seulement là
qu’on peut enlever son manteau
et s’asseoir.
passé le seuil.
pris dans le cours des choses
on oublie
qu’on habite ailleurs
qu’on habite chez quelqu’un d’autre.
c’est seulement là
qu’on peut enlever son manteau
et s’asseoir.
passé le seuil.
passé le seuil
.
Tu n’y crois plus vraiment au bonheur
Au soleil miraculeux des fontaines
Qui parfumaient la ville
Quand nous étions dehors
Je n’ai plus peur des fantômes
Ni des voix que j’entends
Mais j’ai peur des orages
Car c’est toujours présent
C’est comme un voyage
C’est comme un insecte
C’est comme le temps qui passe
C’est comme une lumière blanche
C’est comme une lumière noire
C’est comme un vieil arbre
Au milieu de la cour
Dans le vacarme
Des enfants qui jouent
Quand êtes-vous déjà morte
Quand êtes-vous déjà morte
On dit ça disparaîtra un jour
Puis ça revient comme une bataille
Comme un cri comme un silence
Comme une forêt perdue
Moi aussi j’ai cherché
L’issue la clé le souvenir
Et je suis revenu
Je n’ai rien retrouvé
On est trop près
On est trop loin de nous
Et puis ça revient de temps en temps
Tu dois comprendre ça
Ton corps n’est une enveloppe
Un lac sacré
Ou le secret est transparent
Bien gardé au fond
Un sac un récipient
Une éponge un sas
Un élément
Pour que ton esprit repose en paix
3+6=13
Tu n’y crois plus vraiment au bonheur
Au soleil miraculeux des fontaines
Qui parfumaient la ville
Quand nous étions dehors
Je n’ai plus peur des fantômes
Ni des voix que j’entends
Mais j’ai peur des orages
Car c’est toujours présent
C’est comme un voyage
C’est comme un insecte
C’est comme le temps qui passe
C’est comme une lumière blanche
C’est comme une lumière noire
C’est comme un vieil arbre
Au milieu de la cour
Dans le vacarme
Des enfants qui jouent
Quand êtes-vous déjà morte
Quand êtes-vous déjà morte
On dit ça disparaîtra un jour
Puis ça revient comme une bataille
Comme un cri comme un silence
Comme une forêt perdue
Moi aussi j’ai cherché
L’issue la clé le souvenir
Et je suis revenu
Je n’ai rien retrouvé
On est trop près
On est trop loin de nous
Et puis ça revient de temps en temps
Tu dois comprendre ça
Ton corps n’est une enveloppe
Un lac sacré
Ou le secret est transparent
Bien gardé au fond
Un sac un récipient
Une éponge un sas
Un élément
Pour que ton esprit repose en paix
3+6=13
passé le seuil
Édité à la demande de l'auteur.
passé le seuil
pleure pas l'amie
y a macron
qui passe à la télé
c'est rigolo
et puis merci
si t'as trouvé
ça beau
c'est moi
maintenant
qui suis touché
dans le 1 000
y a macron
qui passe à la télé
c'est rigolo
et puis merci
si t'as trouvé
ça beau
c'est moi
maintenant
qui suis touché
dans le 1 000
passé le seuil
tu vois la guerre pour ton corps
sa verticalité - le temps qui souffle.
le sommeil traversant comme un passeur la montagne, que tu suis dans l'obscurité.
en bas, les rêves forment des villages : lumières coagulées, maisons que tu aurais habitées.
tu te souviens des vallées glaciaires sans issue, où il fallait bien s'asseoir dans la boue, et pleurer.
les mains posées
comme des petites cabanes
des oiseaux chauds.
sa verticalité - le temps qui souffle.
le sommeil traversant comme un passeur la montagne, que tu suis dans l'obscurité.
en bas, les rêves forment des villages : lumières coagulées, maisons que tu aurais habitées.
tu te souviens des vallées glaciaires sans issue, où il fallait bien s'asseoir dans la boue, et pleurer.
les mains posées
comme des petites cabanes
des oiseaux chauds.
Demeures Qu'on Ne Possède Pas
Tu as fait ma nuit
Demeures Qu'on Ne Possède Pas
j'espère que tu vas passer
une belle journée
alors
avec tout ça...
la bise zeio
une belle journée
alors
avec tout ça...
la bise zeio
Demeures Qu'on Ne Possède Pas
Oui, c'est des plus belles choses que j'aie entendues.
Ça m'accompagnera, merci d i v.
Ça m'accompagnera, merci d i v.
Demeures Qu'on Ne Possède Pas
quand je suis en demeure, mon âme hante
Demeures Qu'on Ne Possède Pas
ça claque
Masquée, dans un nuage musqué, elle va à la mosquée
Maquée avec un mec musclé, faut pas s'en moquer.