L'intermède Calypso
Depuis que son visage s'est posé sur mes nuits, je rêve les yeux ouverts. Peut être que je m'assoupis un peu, pour redevenir normal, quand le jour s'invite aux persiennes. Ensuite, je me réveille, fourbu et content. J'embauche mon organisme et revêt ma silhouette sociale. Bras dessus bras dessous, nous ressemblons assez aux innombrables travailleurs de l'apparence. Mais au fond, j'ai perdu la tête. Et cette secrète démence recèle ma meilleure raison d'être.
L'intermède Calypso
Magnifique poème, où ce qui ressemble et différencie tient dans la subtilité de l'amour fou. j'aime ce réveil où l'on s'habille d'apparence afin de camoufler le bonheur tonitruant.
Fraternellement. Fabrice le Rouge-gorge
Fraternellement. Fabrice le Rouge-gorge
L'intermède Calypso
chaque qu'aurore comme un renouveau
L'intermède Calypso
Merci Fabrice !
L'intermède Calypso
merci écrire
L'intermède Calypso
Merci à toi, Sobac.