la fin
je voudrais m'en foutre, de toi, des autres, des meurtres de la langue au nom de la langue
des assassinants verbaux, de la laideur parfaite qui s'incarne par la bouche, m'en foutre
carrément parce qu'on fond chacun aime se tuer et tuer l'autre en même temps avec les
paroles de l'amour que personne n'a comprises puisque la haine gagne tes mots chaque
jours comme chaque fois que tu ouvres la bouche pour répondre comme on frappe sur la
gueule comme on écrasse un visage avec sa chaussure sale qui a pilé dans la crotte de
la chienne de la voisine qui crie tous les jours que personne ne l'entend et qui crie encore
plus pour écraser son mari, sa chienne, sa vie, sa naissance, son coeur pourri parce que
forcément à être née dans un monde de tueurs et étrangleurs de la parole ça oblige la loy-
ôté et le meurtre de tout ce qui ne se dit pas dans tes noms et mots la puissance parfaite
et toute masculine du cadre de la parlure son pouvoir sa loi et je regarde mourir par ta bou
che, je te regarde mourir aussi dans ta parole et sa fuite, je vois comme tu me meurs un
peu tous les jours que le monde fait et où il est de plus en plus impossible de tenter de
comprendre de plus en plus impossible car chacun crie infiniment son mal sa peur et crie
si fort que chacun devient sourd à soi, à l'autre, à l'ami.e, au monde, et c'est ça la fin.
des assassinants verbaux, de la laideur parfaite qui s'incarne par la bouche, m'en foutre
carrément parce qu'on fond chacun aime se tuer et tuer l'autre en même temps avec les
paroles de l'amour que personne n'a comprises puisque la haine gagne tes mots chaque
jours comme chaque fois que tu ouvres la bouche pour répondre comme on frappe sur la
gueule comme on écrasse un visage avec sa chaussure sale qui a pilé dans la crotte de
la chienne de la voisine qui crie tous les jours que personne ne l'entend et qui crie encore
plus pour écraser son mari, sa chienne, sa vie, sa naissance, son coeur pourri parce que
forcément à être née dans un monde de tueurs et étrangleurs de la parole ça oblige la loy-
ôté et le meurtre de tout ce qui ne se dit pas dans tes noms et mots la puissance parfaite
et toute masculine du cadre de la parlure son pouvoir sa loi et je regarde mourir par ta bou
che, je te regarde mourir aussi dans ta parole et sa fuite, je vois comme tu me meurs un
peu tous les jours que le monde fait et où il est de plus en plus impossible de tenter de
comprendre de plus en plus impossible car chacun crie infiniment son mal sa peur et crie
si fort que chacun devient sourd à soi, à l'autre, à l'ami.e, au monde, et c'est ça la fin.
la fin
il faut mourir depuis longtemps et avoir été touché par sa main
pour entendre comme elle te désire et te peaufine une disparition
depuis ta naissance ou le premier instant où tu as commencé à
mourir, plongé dans un biotope et langé dans ta merde et il faut
avoir été mort comprends tu autrement la vie te regarde passer
à côté d'elle et continue d'attendre que tu l'embrasses même si
tu es en train de te mourir elle ne fait que t'aimer en passant puis
la vie n'attend plus, tu vois bien qu'elle ne t'attend pas, la mort, oui.
pour entendre comme elle te désire et te peaufine une disparition
depuis ta naissance ou le premier instant où tu as commencé à
mourir, plongé dans un biotope et langé dans ta merde et il faut
avoir été mort comprends tu autrement la vie te regarde passer
à côté d'elle et continue d'attendre que tu l'embrasses même si
tu es en train de te mourir elle ne fait que t'aimer en passant puis
la vie n'attend plus, tu vois bien qu'elle ne t'attend pas, la mort, oui.
la fin
c'est la mort mon parent, c'est elle qui me tient par la main, qui
m'éduque, me guète, c'est elle qui patiente et s'inquiète il ne
faudrait pas que je tombe amoureuse de la vie, non, la vie c'est
bien trop dangereux, il n'y a qu'à regarder pour voir comment
tout le monde a peur de vivre pour de vrai, ça fait trop mal d'être
vivant, pire, d'aimer ça, ça fait trop mal de se tromper et de le
découvrir, il ne faut rien entendre ni ouvrir les fenêtres noires
tout à coup qu'on se mettrait à voir la vie, ce qu'on veut pas voir
m'éduque, me guète, c'est elle qui patiente et s'inquiète il ne
faudrait pas que je tombe amoureuse de la vie, non, la vie c'est
bien trop dangereux, il n'y a qu'à regarder pour voir comment
tout le monde a peur de vivre pour de vrai, ça fait trop mal d'être
vivant, pire, d'aimer ça, ça fait trop mal de se tromper et de le
découvrir, il ne faut rien entendre ni ouvrir les fenêtres noires
tout à coup qu'on se mettrait à voir la vie, ce qu'on veut pas voir
la fin
Aime la vie.
La vie c'est le commencement, et la mort, peut-être, on peut penser comme cela, un recommencement.
Autant mieux vivre, quitte à survivre par moments.
La vie c'est le commencement, et la mort, peut-être, on peut penser comme cela, un recommencement.
Autant mieux vivre, quitte à survivre par moments.
la fin
l'autre qui disait qu'on est tous des putains de coupables il avait raison
l'être est encore et toujours son propre assassin. je le regarde dans
tes yeux, dans tes gestes et ta parole forte comme une lame trempée.
ainsi tu coupes les mains tendues, les yeux, paroles, actes, tu tues.
volontiers. et si je tue ta tuance pour que la vie arrive enfin, tu
m'accuses de trahison et m'assassines dans le seul fait d'être vers toi.
l'être est encore et toujours son propre assassin. je le regarde dans
tes yeux, dans tes gestes et ta parole forte comme une lame trempée.
ainsi tu coupes les mains tendues, les yeux, paroles, actes, tu tues.
volontiers. et si je tue ta tuance pour que la vie arrive enfin, tu
m'accuses de trahison et m'assassines dans le seul fait d'être vers toi.
la fin
ben c'est ce que dit le texte
tsé, c't'un texte, une adresse à ..
tsé, c't'un texte, une adresse à ..
la fin
J'avais pas fini là
la fin
Amen. :)
la fin
est-ce que je dois compter combien de fois j'ai échappée à la mort
et combien de fois elle me chante sa chanson noire, aurais-je dû
l'embrasser plus tôt, la laisser me prendre, la laisser gagner sur
la maigre et décharnée vivance dont je ramasse les miettes de joie ?
et si encore la mort n'avait été là pour moi, qui l'aurait été ? tu vois,
je sais penser pour mourir, j'ai accepter de penser comme toi et elle.
et combien de fois elle me chante sa chanson noire, aurais-je dû
l'embrasser plus tôt, la laisser me prendre, la laisser gagner sur
la maigre et décharnée vivance dont je ramasse les miettes de joie ?
et si encore la mort n'avait été là pour moi, qui l'aurait été ? tu vois,
je sais penser pour mourir, j'ai accepter de penser comme toi et elle.
la fin
as tu autre chose que des niaiseries à me répondre à propos de ces textes (qui me sont affreusements difficiles) ?
la fin
tu te dis que ce sont des niaiseries, mais ce n'en est pas pas.
la fin // François peux tu effacer ?
manifestement, je ne peux pas ou plus poster de textes ici
merci kelig pour le sabotage et la non-réception
merci kelig pour le sabotage et la non-réception
la fin
répondre "amen" comme tu le fais veut dire "ferme ta gueule"
as tu un problème avec les textes ?
les sujets ?
les formes ?
les fonds ?
autrement "ferme ta gueule", comme tu me le dis
as tu un problème avec les textes ?
les sujets ?
les formes ?
les fonds ?
autrement "ferme ta gueule", comme tu me le dis
la fin
Je suis croyant. Je pensais que tu savais. Donc, c'est : au contraire. De ce que tu dis de moi là
la fin // François peux tu effacer ?
Tu me comprends pas du tout là. Du tout du tout.
la fin
bon, maintenant tu vois vouloir me refaire ma culture de pauvre francophone du qc qui ne sait pas écrire le français politiquement correcte et imposé par la France et m'expliquer ce que veut dire amen — surtout répondu à la fin d'une strophe — ?
la fin
Tous tes textes là sont beaux, je souhaitais t'encourager, et tu interprètes l'inverse dommage.
la fin
Désolé si je suis croyant !
François peux tu effacer cette suite qui dérange kelig ?
..parce que faut qu'on me ferme la gueule ! absolument !
la fin
Amen pour moi, c'est : j'approuve, je trouve ça bon, simplement.
la fin +
mais voyons, je fais l'exacte réplique de ce je reçois quand je commente ou réponds
je fais exactement comme toi et d'autres, je vire les choses comme ça vous arrange ;)
votre super jeu ici c'est de faire tricher les mots pour pas qu'on découvre à quel point vous trichez
delivre, ce n'est plus de l'écriture.
je fais exactement comme toi et d'autres, je vire les choses comme ça vous arrange ;)
votre super jeu ici c'est de faire tricher les mots pour pas qu'on découvre à quel point vous trichez
delivre, ce n'est plus de l'écriture.
la fin
que c'est beau la francophonie !
viens remettre ta godasse sale sur ma bouche pour voir quel effet ça me fera
viens remettre ta godasse sale sur ma bouche pour voir quel effet ça me fera
rien à foutre
ta gueule toi même
suis de mauvaise humeur, là,
ça m'a foutu en rogne
...pourquoi est-ce que je poste des textes ici, franchement, je me le demande de plus en plus..
à quoi bon écrire, finalement, puisque de toute évidence, c'est inutile
comme découvrir est inutile
ouvrir un passage est inutile
échanger et communiquer c'est inutile
suis de mauvaise humeur, là,
ça m'a foutu en rogne
...pourquoi est-ce que je poste des textes ici, franchement, je me le demande de plus en plus..
à quoi bon écrire, finalement, puisque de toute évidence, c'est inutile
comme découvrir est inutile
ouvrir un passage est inutile
échanger et communiquer c'est inutile
la fin / note
la suite ne sera pas transmise ni achevée ici
et pour votre grand bonheur j'arrête d'écrire
suis dégoûtée
carrément
et pour votre grand bonheur j'arrête d'écrire
suis dégoûtée
carrément
ben pour moi, ça finit là.
- pas de texte -
la fin
Ok, si ça t'arrange d'interpréter l'inverse de ce que j'ai mis dans dans mes réponses.
Autant le savoir.
Autant le savoir.
la fin
Mes pieds sont propres et je ne suis pas un chapron, c'est-à-dire une brute. Ils me servent seulement à avancer, reculer ou danser.
la fin
yo dans la partie francophone hors-france dans laquelle je vis, dire amen quand une personne s'exprime, c'est vraiment très grossier, d'abord parce que l'institution a trahi "mon peuple" et les autochtones de ce pays-là, ensuite parce que ce n'était que des mâles (censureurs et castrant), ensuite encore parce que cela signifie que "tout est dit" = fin de non-recevoir.
c'est facile de penser que t'as raison, dans ton sens européen de l'affaire, mais l'insulte ou l'affront qu'un Français ou un européen peut faire en parlant, ça il ne faudrait jamais en parler voyons, ça ne se fait pas, z'êtes si parfaits hahah j'ai l'goût de vous déchirer ça !!
hey moman, chu bleumarinvertjaunecaille pis en estie
c'est facile de penser que t'as raison, dans ton sens européen de l'affaire, mais l'insulte ou l'affront qu'un Français ou un européen peut faire en parlant, ça il ne faudrait jamais en parler voyons, ça ne se fait pas, z'êtes si parfaits hahah j'ai l'goût de vous déchirer ça !!
hey moman, chu bleumarinvertjaunecaille pis en estie
la fin / note
Qu'en sais-tu ? De mon bonheur (celui des autres j'en sais rien.)
Tu te dis que c'est comme ça.
Alors que non, voire au contraire. Je redis que j'apprécie tes écrits. Mes commentaires vont dans ce sens, malgré ton refus de l'entendre.
Ca t'arrange peut-être après tout.
Tu te dis que c'est comme ça.
Alors que non, voire au contraire. Je redis que j'apprécie tes écrits. Mes commentaires vont dans ce sens, malgré ton refus de l'entendre.
Ca t'arrange peut-être après tout.
la fin
Je m'appelle Kelig et je suis à part.
Je suis content que ça tombe sur moi, tiens, vu que ça peut pas me blesser, ces histoires là.
Je suis content que ça tombe sur moi, tiens, vu que ça peut pas me blesser, ces histoires là.
la fin
amen!
câlis, faut que je te le dise comment ? lâche l'affaire
(suis tellement fâchée !!)
câlis, faut que je te le dise comment ? lâche l'affaire
(suis tellement fâchée !!)
la fin
Sois fâchée, à fond les ballons.
la fin / note
nenon, j'ai rien à dire de plus, ni à toi ni à personne, que chacun continue de se croire, moi, je n'ai plus du tout le goût.
là maintenant si je pouvais perdre l'usage de la parole, du sens, et avoir les mains coupées, ça m'arrangerait bien.
ha tiens, autant mourir !
je ferme ma porte et le reste.
là maintenant si je pouvais perdre l'usage de la parole, du sens, et avoir les mains coupées, ça m'arrangerait bien.
ha tiens, autant mourir !
je ferme ma porte et le reste.
à la fin
c'que t'es chiant des fois
à la fin
Sans doute mais toi aussi des fois hein t'es carrément..chiante
ceci dit j'apprécie de te lire, tes écrits, et les textes là.
ceci dit j'apprécie de te lire, tes écrits, et les textes là.
Veuillez additionner ces deux nombres : 8 + 5 =
.
ta gueule
serre les poings
continues
les paupières aussi
si tu veux
mais ta gueule
et les pieds et les paumes
continues de remplir ou de vider
d'ouvrir et de fermer les yeux
tout au fond de toi
dans toi
dehors
autour
mais putain
continues d'écrire
parce que moi
j'aime bien te lire
et le reste je m'en fous
de toute façon
le truc est enclenché
depuis trop longtemps
t'as coupé ta natte
et tu peux plus t'arrêter
d'écrire parce qu'un jour
tu vas crever
alors continues
écris
ou ferme les yeux
écris
et ne la ferme pas
jamais
que ça te crasse les doigts
la chatte
le cul
la bitte
tout
écris
jusqu'à ne plus respirer
carrément
du tout
suis
.
ta gueule
serre les poings
continues
les paupières aussi
si tu veux
mais ta gueule
et les pieds et les paumes
continues de remplir ou de vider
d'ouvrir et de fermer les yeux
tout au fond de toi
dans toi
dehors
autour
mais putain
continues d'écrire
parce que moi
j'aime bien te lire
et le reste je m'en fous
de toute façon
le truc est enclenché
depuis trop longtemps
t'as coupé ta natte
et tu peux plus t'arrêter
d'écrire parce qu'un jour
tu vas crever
alors continues
écris
ou ferme les yeux
écris
et ne la ferme pas
jamais
que ça te crasse les doigts
la chatte
le cul
la bitte
tout
écris
jusqu'à ne plus respirer
carrément
du tout
suis
.
Veuillez additionner ces deux nombres : 8 + 5 =
Et toi sinon, div, tu va comment ? Parce que j'ai l'impression que t'es perdu souvent.
T'es pas raciste ? Rassure-moi.
T'es pas raciste ? Rassure-moi.
Aglaé
Aglaé m'a envoyé son dernier cahier, c'est superchouette, comme d'habitude, ça fait rire de partout. Si tu lui demandes gentiment, elle t'en enverra sûrement un. Envoie-lui un mail avec ton adresse papier : edouard.vadet@sfr.fr (Édouard c'est son mari). Et dans le mail, tu écris tu viens de ma part et que s'il y a des frais, je les lui rembourserai (çladi jusqu'à présent elle n'a jamais voulu que je lui paie ni ses livres ni ses tableaux ni les timbres pour me les envoyer, j'ai une dette longue comme ça envers elle) (çladi aussi elle pourrait bien te l'envoyer en PDF par mail, ça ne coûterait rien du tout) (d'un autre côté le vrai cahier relié et tout, même dédicacé, c'est quand même plus touchant qu'un fichier) (enfin bon démerdez-vous entre vous sur les détails techniques).
Aglaé
Ho oui ! je l'adore !!
c'est super gentil, merci Rémy !
c'est super gentil, merci Rémy !
Veuillez additionner ces deux nombres : 8 + 5 =
=13, et.. merci toi
à la fin
ben, forcément que je suis chiante ! à force !
imagine 'tout miel' ...ce qu'on dit de moi est pire !
imagine 'tout miel' ...ce qu'on dit de moi est pire !
à la fin
Bon je vais me coucher.
T'en es au point d'apprécier les racistes div et remy, je jette l'éponge.
T'en es au point d'apprécier les racistes div et remy, je jette l'éponge.
Ne lâche pas
J’étais au fond du trou Catrine
Séparation avec ma femme Lily, 10 ans de vie commune
Sans violences mais avec la solitude et la dégradation qui pointaient, au bout
Il y a quelques mois j’ai aperçu une montagne à franchir
Et le peu de mes forces qui me restaient
Mes mauvaises habitudes, et mon inaptitude patentée au réel
J’ai tout retourné
L’esprit de l’écrivain rêveur, triste, solitaire et chérophobe
Tel que celui de Kafka ou Beckett, Proust, Rimbaud, Baudelaire ou de beaucoup d’autres que j’admire
Qui ont rêvé un amour sincère tout en le fuyant
Comme eux j’avais chevillée au corps cette propension à la fuite et au désordre
J’ai tout de même fait un vœu sincère
Tracé une ligne claire
Ramassé mon intégrité
J’ai fait sauter le loquet, ouvert la grille donnant sur la vie
Puis je suis allé la trouver
Quelque part dans un autre pays un peu plus loin
Je me suis présenté tel quel, ouvert à tous les vents
Elle, beauté à se damner (comment aurais-je pu même espérer être avec une créature aussi sublime à tous les niveaux ?)
Un amour battant, réciproque, sincère et illimité dont je n’avais pas idée
Qui est venu me donner de mes propres nouvelles
M’a rendu vivant de nouveau
Je réalise seulement maintenant que j’ai tressé, préparé toute ma vie pratiquement
Ce bonheur là, avec mes poèmes mélancoliques, mes tourments
Je l’ai fait, bon dieu Catrine, je l’ai fait, pour de bon
L’amour spirituel, animal, magique
Et si simple
Voilà pour mon histoire
Tout ça pour dire : ne lâche pas Catrine
Ne lâche pas
Séparation avec ma femme Lily, 10 ans de vie commune
Sans violences mais avec la solitude et la dégradation qui pointaient, au bout
Il y a quelques mois j’ai aperçu une montagne à franchir
Et le peu de mes forces qui me restaient
Mes mauvaises habitudes, et mon inaptitude patentée au réel
J’ai tout retourné
L’esprit de l’écrivain rêveur, triste, solitaire et chérophobe
Tel que celui de Kafka ou Beckett, Proust, Rimbaud, Baudelaire ou de beaucoup d’autres que j’admire
Qui ont rêvé un amour sincère tout en le fuyant
Comme eux j’avais chevillée au corps cette propension à la fuite et au désordre
J’ai tout de même fait un vœu sincère
Tracé une ligne claire
Ramassé mon intégrité
J’ai fait sauter le loquet, ouvert la grille donnant sur la vie
Puis je suis allé la trouver
Quelque part dans un autre pays un peu plus loin
Je me suis présenté tel quel, ouvert à tous les vents
Elle, beauté à se damner (comment aurais-je pu même espérer être avec une créature aussi sublime à tous les niveaux ?)
Un amour battant, réciproque, sincère et illimité dont je n’avais pas idée
Qui est venu me donner de mes propres nouvelles
M’a rendu vivant de nouveau
Je réalise seulement maintenant que j’ai tressé, préparé toute ma vie pratiquement
Ce bonheur là, avec mes poèmes mélancoliques, mes tourments
Je l’ai fait, bon dieu Catrine, je l’ai fait, pour de bon
L’amour spirituel, animal, magique
Et si simple
Voilà pour mon histoire
Tout ça pour dire : ne lâche pas Catrine
Ne lâche pas
la fin // François peux tu effacer ?
Tête de noeud.
la fin
Putain... le conseil... lol
Non mais quel crétin.. et fat avec ça...
Non mais quel crétin.. et fat avec ça...
la fin
écoute, je sais - nous savons toutes les deux - que tout cela et ce qui suit m’est adressé et c’est un peu trop pour moi. je ne suis pas ton ennemie, je ne te méprise pas, au contraire, simplement je n’aime pas la façon dont tu essaies d’imposer parfois ton point de vue sur un texte et à ce moment-là je te le dis, ce qui déclenche un drame.
Bon, pour le coup c’est moi qui ai besoin d’aller prendre l’air.
à +
Bon, pour le coup c’est moi qui ai besoin d’aller prendre l’air.
à +
à la fin
Triple con.
à la fin
Par contre, tes textes sont tous nuls tandis que tu es chiant en permanence.
la fin
La fin
la fin,signe avant-coureur me dit la tortue, lente il est vrai, mais appliquée, ne pas se fier à la carapace,l'aspect n'est point critère, quand l'enjeu est patience .
À toutes fins utiles, il y a une raison, pas celle du plus fort, celle de l'âge, car vieillir à comme conséquence de prendre son temps.
Dès lors, la fin en soi anticipe l'idée de n'avoir une suite favorable, quand elle est moyen pour aller à l'encontre de la raison.
Raison gardée d'avoir en tête que, si la fin se justifie, elle peut être épreuve, preuve en ait,la fin des haricots.
En finir avec les certitudes, dont l'outrecuidance dessine la caricature qui sied quand la fin se veut absurde dans un monde aux inégalités pernicieuses, faisant la part belle à l'absence de raison.
l'écho sans fin résonne de rumeurs,mais la fine fleur s'évertue à brouiller les pistes d'un prolétariat en demande de vérités,sauf qu'elles ne sont pas bonnes à dire s'exclame la fin de non-recevoir.
D'une fine champagne on s'accoutume , d'une fine de claire l'écume , in fine autre chapitre de célébrer la fin.
alors le fin du fin, l'ultime, le deo gracias , serait que l'usage est pour fin , la raison du coeur
la fin,signe avant-coureur me dit la tortue, lente il est vrai, mais appliquée, ne pas se fier à la carapace,l'aspect n'est point critère, quand l'enjeu est patience .
À toutes fins utiles, il y a une raison, pas celle du plus fort, celle de l'âge, car vieillir à comme conséquence de prendre son temps.
Dès lors, la fin en soi anticipe l'idée de n'avoir une suite favorable, quand elle est moyen pour aller à l'encontre de la raison.
Raison gardée d'avoir en tête que, si la fin se justifie, elle peut être épreuve, preuve en ait,la fin des haricots.
En finir avec les certitudes, dont l'outrecuidance dessine la caricature qui sied quand la fin se veut absurde dans un monde aux inégalités pernicieuses, faisant la part belle à l'absence de raison.
l'écho sans fin résonne de rumeurs,mais la fine fleur s'évertue à brouiller les pistes d'un prolétariat en demande de vérités,sauf qu'elles ne sont pas bonnes à dire s'exclame la fin de non-recevoir.
D'une fine champagne on s'accoutume , d'une fine de claire l'écume , in fine autre chapitre de célébrer la fin.
alors le fin du fin, l'ultime, le deo gracias , serait que l'usage est pour fin , la raison du coeur
la fin
ha... ? bien vois tu, l'adresse ici est ouverte vers une forme de morbidité très infiltrée dans "la manière de vivre", je fouille ça depuis presqu'un an, cela touche plusieurs degrés et j'explorais cela par le language en premier, puis l'enfance.. une autre section de textes se tourne vers l'aliment (mais ces textes sont dans ma machine et ils y restent).. donc ..et une troisième flirt avec ... mais à quoi bon... tu es CONVAINCUE, il faut te croire alors, vive les CROYANCES !
la fin
savais-tu chère claire que l'écriture est une adresse à soi-même, au futur de soi ?
je trouve ça FOU, complètement, le fait que tu crois être l'objet de l'adresse
(méchant nombril va)
je trouve ça FOU, complètement, le fait que tu crois être l'objet de l'adresse
(méchant nombril va)
la fin
ça pourrait être fou sans le mail que j’ai trouvé ce matin.
allez, au revoir Catrine.
allez, au revoir Catrine.
t'es grave, là
hey là, ça suffit ta maladie de te sentir concernée.
ça suffit ton power-trip sur catrine.
c'est malade, ça, claire, et c'est malsain pour le forum.
ça suffit ton power-trip sur catrine.
c'est malade, ça, claire, et c'est malsain pour le forum.
la fin
"mon point de vue", je l'expose (ça me prend beaucoup de force et d'audace pour le faire, dailleurs) pour l'explorer et explorer à plusieurs le sens le sous-jacent et plein d'autres choses. car l'important c'est de réfléchir ensemble/autrement et de voir où cela mène et ce qui sera possiblement et ultérieurement découvert. c'est tout.
comme souvent "mon point de vue" semble "venu d'ailleurs" (pourquoi pas ?), je l'ouvre ici vers l'écrivant, comme on ouvre une piste ou un sentier à explorer (hey, ça c'est québécois) ;)
j'impose rien j'offre/donne, rien oblige personne
mais par contre, toi, tu imposes ta police/clinique psy à tout ce forum, et il ne faut pas le dire... hmhmm..
comme souvent "mon point de vue" semble "venu d'ailleurs" (pourquoi pas ?), je l'ouvre ici vers l'écrivant, comme on ouvre une piste ou un sentier à explorer (hey, ça c'est québécois) ;)
j'impose rien j'offre/donne, rien oblige personne
mais par contre, toi, tu imposes ta police/clinique psy à tout ce forum, et il ne faut pas le dire... hmhmm..
la fin
j'étouffe de toi. tu m'étouffes.
bon, on va dire que je vais te faire un gros plaisir, prends tous les textes ici comme étant très spécialement et spécifiquement écrits et dédiés à ta petite personne et MANGE-LES !!! prends-en plein la gueule !!!
ton nombril en est-il plus heureux ? (j'crois pas que..)
bon, on va dire que je vais te faire un gros plaisir, prends tous les textes ici comme étant très spécialement et spécifiquement écrits et dédiés à ta petite personne et MANGE-LES !!! prends-en plein la gueule !!!
ton nombril en est-il plus heureux ? (j'crois pas que..)
la fin
le drame c'est ton aveuglement.
là, ça suffit pour moi, j'en ai soupé de tes névroses pas réglées.
là, ça suffit pour moi, j'en ai soupé de tes névroses pas réglées.
la fin
Juste, il arrive parfois dans la vie certaines coïncidences dans les relations entre personnes qui donnent à penser que, alors que ce n'est pas le cas du tout.
Je dis ça car j'en ai rencontré beaucoup, et j'en rencontre encore régulièrement.
Je dis ça car j'en ai rencontré beaucoup, et j'en rencontre encore régulièrement.
la fin
Oui, j'avais saisi.
François peux tu effacer cette suite qui dérange kelig ?
Elle ne m'a pas dérangé, au contraire.
J'ai lu cette suite comme une forme de prière, d'où mon "amen" accompagné d'un sourire (Et un sourire...) sincère.
J'ai lu cette suite comme une forme de prière, d'où mon "amen" accompagné d'un sourire (Et un sourire...) sincère.
la fin
ben tsé, si elle croit que chaque texte que j'écris ici lui est adressé, ça ne va pas bien du tout
mais si elle me disait : tes textes me parlent ou m'atteignent ou résonnent, je dirais "D'accord, il y a résonance, donc "connexion" possible entre le fond du sujet et le lecteur", ce qui est le résultat d'un "travail communiquant de l'écrit", ce qui est exactement ce que j'explore.
mais là, elle charrie, carrément, c'est délire
mais si elle me disait : tes textes me parlent ou m'atteignent ou résonnent, je dirais "D'accord, il y a résonance, donc "connexion" possible entre le fond du sujet et le lecteur", ce qui est le résultat d'un "travail communiquant de l'écrit", ce qui est exactement ce que j'explore.
mais là, elle charrie, carrément, c'est délire
effacer cette suite
euh.. ben.. on peut dire ça oui... sorte de prières (exhortations ?)
prière libre
à la vie (maudit qu'on a peur de vivre! c'est effarant)
désolée d'avoir eu les dents serrées hier et de m'être vénerf
j'ai pris ta réponse à rebrousse poil - réécrire des textes neufs ici, ça me plonge dans un état de "danger", je mets mon ėcriture en danger - là j'étais en transcription et revalidation du discours de fond (ça me brasse moi-même ces textes) et sans doute qu'il aurait été sage de ma part de reculer du forum pendant trois jours au moins... parce que la brèche ouverte (des textes) "me parle sensible".. mais bon, je finirai ça de mon côté ou.. pas du tout (plus du tout envie de me servir d'un clavier—je retourne aux crayons et aux pinceaux, je me prescris ça pour un an)(parce que l'écriture me met à vif)
prière libre
à la vie (maudit qu'on a peur de vivre! c'est effarant)
désolée d'avoir eu les dents serrées hier et de m'être vénerf
j'ai pris ta réponse à rebrousse poil - réécrire des textes neufs ici, ça me plonge dans un état de "danger", je mets mon ėcriture en danger - là j'étais en transcription et revalidation du discours de fond (ça me brasse moi-même ces textes) et sans doute qu'il aurait été sage de ma part de reculer du forum pendant trois jours au moins... parce que la brèche ouverte (des textes) "me parle sensible".. mais bon, je finirai ça de mon côté ou.. pas du tout (plus du tout envie de me servir d'un clavier—je retourne aux crayons et aux pinceaux, je me prescris ça pour un an)(parce que l'écriture me met à vif)
effacer cette suite qui impact
... l'impactant est aussi l'une de mes approches de l'écriture (je n'ai pas encore écrit la théorie de l'impact — j'espère que je serai capable de ne jamais l'écrire lol) et j'ai omis une ceinture de sécurité :(
la fin de la fin
j'aimerais et préfèrerais que tu t'exprimes plutôt autour des textes
si un jour on mange ensemble et prenons le temps de la rencontre, tu pourras me parler de ce que tu penses/perçois de ma personne, mais c'est pas très intéressant et on en est surtout pas là, tu ne m'as jamais rencontrée.. donc.. parlons textes.
si un jour on mange ensemble et prenons le temps de la rencontre, tu pourras me parler de ce que tu penses/perçois de ma personne, mais c'est pas très intéressant et on en est surtout pas là, tu ne m'as jamais rencontrée.. donc.. parlons textes.
la fin de la fin de tes enfantillages.
alors "attaque" le point de vue, retournes-le, argumentes! (grandis donc, tabarnak)
mais n'attaques pas ma personne, parce que c'est puéril, lâche, c'est pleûtre et petit (11ans et 1/4 dans la cour d'école, par jalousie?)
quand tu attaques ma personne, tu commets un acte très dangereux (pour toi-même, par incidence) — tu ne sais pas de quoi/qui tu parles.
mais n'attaques pas ma personne, parce que c'est puéril, lâche, c'est pleûtre et petit (11ans et 1/4 dans la cour d'école, par jalousie?)
quand tu attaques ma personne, tu commets un acte très dangereux (pour toi-même, par incidence) — tu ne sais pas de quoi/qui tu parles.
effacer cette suite
Ouf.
Avec ce que tu envoies, normal d'être à vif.
Je comprends bien, oui il y a prise de risque.
Pour ta résolution d'un an, ça parait beaucoup non ? Tu verras au fil du temps.
Avec ce que tu envoies, normal d'être à vif.
Je comprends bien, oui il y a prise de risque.
Pour ta résolution d'un an, ça parait beaucoup non ? Tu verras au fil du temps.
la fin de la fin de tes enfantillages.
écriture dans l'air du temps, tripale, asphyxiée, au rythme locomotive...
déroulant bien sûr notre mal être, suscitant des réactions car il y a des chances que chacun y retrouve son ras le bol, métaphysique, social, esthétique...
la profusion du style ne nivelle-t-elle pas le contenu ?
chacun balance souvent entre le moins et le plus, là malgré la connivence avec ce genre, je ne sais plus où aller... quoi qu'il en soit toute position sera critiquable
finalement on peut s'arrêter et regarder simplement et laisser monter en soi
les rares mots qui seront le fruit de ton regard
déroulant bien sûr notre mal être, suscitant des réactions car il y a des chances que chacun y retrouve son ras le bol, métaphysique, social, esthétique...
la profusion du style ne nivelle-t-elle pas le contenu ?
chacun balance souvent entre le moins et le plus, là malgré la connivence avec ce genre, je ne sais plus où aller... quoi qu'il en soit toute position sera critiquable
finalement on peut s'arrêter et regarder simplement et laisser monter en soi
les rares mots qui seront le fruit de ton regard
effacer cette suite
Le mot exact, c'est pas que l'écriture te "met à vif", c'est qu'elle te siphonne. Ton show, là, ç'qu'en ressort, c'est que t'es complètement siphonnée.
T'es pas la première ni la dernière, rmarc, mais tu ne peux pas reprocher à Claire d'exercer sa vocation après lui avoir mis des scènes comme ça sous le nez à répétition.
La peinture, ça saoûle moins. Le temps d'étalement freine les neurotransmetteurs, sans parler des temps de séchage et du manque de place. Faisan donc, et pis poste-les ici en photo ou en scans, STP : moi je tourne un peu en rond dans mes peinturlures ces derniers temps, ça m'évaderait peut-être...
(C'est ça, le nom d'Agla : é Vadet.) (Quand on pense qu'elle a été infirmière de prison la moitié de sa vie !)
T'es pas la première ni la dernière, rmarc, mais tu ne peux pas reprocher à Claire d'exercer sa vocation après lui avoir mis des scènes comme ça sous le nez à répétition.
La peinture, ça saoûle moins. Le temps d'étalement freine les neurotransmetteurs, sans parler des temps de séchage et du manque de place. Faisan donc, et pis poste-les ici en photo ou en scans, STP : moi je tourne un peu en rond dans mes peinturlures ces derniers temps, ça m'évaderait peut-être...
(C'est ça, le nom d'Agla : é Vadet.) (Quand on pense qu'elle a été infirmière de prison la moitié de sa vie !)
effacer cette suite
tsé, il y a les textes, (comme si je me jouais dans l'os, à froid)
puis il y a la glissade avec kelig, que ça m'a urtiquée qu'il se précipite sur un précipité d'où "j'étais en remontée",
puis encore, il y a cet hideux confrontement puéril — "de la couleur et de la longueur de mes rubans"...et j'en serai la seule responsable, évidemment—.avec un magnifique esprit, une femme extraordinaire qui un jour a glissé (dansj'ensaisrien) et a choisi de décider la conviction que je lui étais une menace (...) et que mes textes lui sont/seraient spécifiquement dédiés ...
...ça fait peur (depuis presque cinq que ça dure... je trouve que c'est trop bizarre) alors, exascerbée, ben oui, je le suis ; inflammable, ben oui absolument ; ça me siphonne, ben oui (pis je le sais ce que tu veux dire sans le dire)
..ha puis il y a, en plus de tout ça, que la francophonie n'existe pas (plein de paniers de crabes)
et finalement je ressens le besoin de tasser ça ou de me tasser de ça... donc je vais mel'agir
des bises
et ciao
puis il y a la glissade avec kelig, que ça m'a urtiquée qu'il se précipite sur un précipité d'où "j'étais en remontée",
puis encore, il y a cet hideux confrontement puéril — "de la couleur et de la longueur de mes rubans"...et j'en serai la seule responsable, évidemment—.avec un magnifique esprit, une femme extraordinaire qui un jour a glissé (dansj'ensaisrien) et a choisi de décider la conviction que je lui étais une menace (...) et que mes textes lui sont/seraient spécifiquement dédiés ...
...ça fait peur (depuis presque cinq que ça dure... je trouve que c'est trop bizarre) alors, exascerbée, ben oui, je le suis ; inflammable, ben oui absolument ; ça me siphonne, ben oui (pis je le sais ce que tu veux dire sans le dire)
..ha puis il y a, en plus de tout ça, que la francophonie n'existe pas (plein de paniers de crabes)
et finalement je ressens le besoin de tasser ça ou de me tasser de ça... donc je vais mel'agir
des bises
et ciao
effacer cette suite
c'est juste j'aurais dû attendre pour commenter
j'ai pensé encourager, mais trop tôt
sorry.
j'ai pensé encourager, mais trop tôt
sorry.
aprés il fait soleil
tout est critiquable,
mais oui, c'est même très ...facile
facile aussi me taper sur les doigts parce qu'une amorce de suite fonce "en locomotive" "écrite comme on respire" (dans l'air du temps ?) avec ses "wagons" à pleine charge...
j'ai le goût de te dire : essaie pour voir, essaie de sortir de ta propre main, pour voir comme l'écrire apparaît quand tu ne le tiens pas en laisse, pour te voir toi (tes pièges d'écrire), te percevoir dans se dépasser (jaillir de, (se)délivrer) au lieu de couler dans le béton de la technique d'une forme une main mais encore la pensée, pour voir si ta maîtrise d'écrire est si intégrée à ton être qu'elle te permette "l'expression réelle" et son choc — soit, la rencontre ..ou la libération... que cette écriture exige.
(le ton est détendu et conversationnel)
mais oui, c'est même très ...facile
facile aussi me taper sur les doigts parce qu'une amorce de suite fonce "en locomotive" "écrite comme on respire" (dans l'air du temps ?) avec ses "wagons" à pleine charge...
j'ai le goût de te dire : essaie pour voir, essaie de sortir de ta propre main, pour voir comme l'écrire apparaît quand tu ne le tiens pas en laisse, pour te voir toi (tes pièges d'écrire), te percevoir dans se dépasser (jaillir de, (se)délivrer) au lieu de couler dans le béton de la technique d'une forme une main mais encore la pensée, pour voir si ta maîtrise d'écrire est si intégrée à ton être qu'elle te permette "l'expression réelle" et son choc — soit, la rencontre ..ou la libération... que cette écriture exige.
(le ton est détendu et conversationnel)
aprés il fait soleil
j'ai le goût de, mais bien plus que cette communication d'incommunicables (je te lis beaucoup..).
aprés il fait davantage soleil
...je me demande également ce que la profusion de ta main ...
;
c'est intéressant et emmerdant, ton commentaire. ça fait du bien.
;
c'est intéressant et emmerdant, ton commentaire. ça fait du bien.
Rémy ?
pourrais-tu me (re)transmettre les info par mail pour le cahier d'Aglaé Merveille Vadet ?
de cette suite
(le plus beau c'est qu'on a pas abordé ni les textes ni leurs sujets ni rien sauf "des réactants-actifs") — et ça c'est très parlant)
la fin
ça pourrait être dit en slam / poésie sonore.
l'intérêt c'est le dérèglement, comme quelque chose qui part en roue libre.
j'avais fait des trucs un peu comme ça vers 2008.
la difficulté c'est de gommer les bavures (retravailler) sans perdre le souffle.
l'intérêt c'est le dérèglement, comme quelque chose qui part en roue libre.
j'avais fait des trucs un peu comme ça vers 2008.
la difficulté c'est de gommer les bavures (retravailler) sans perdre le souffle.
merci
oui, j'entends ce que tu veux dire, oui, slam mais pas slamé, c'est dans cette énergie là oui, sans la forme.
..le mot juste je crois est : scandé..
et en effet, tu soulignes bien et l'intérêt et l'exigence
c'était l'amorce d'un livret. avant la remarque de périscope, je lisais l'amorce plutôt comme une embâcle de glace qui craque et cède, lâche..
et les strophes subséquantes (chaque poème court qui suit) comme un "morceau dur" qui trouve son passage sur "le fleuve"
suis plutôt entre deux chaises avec ce projet, assez risqué, mais en même temps, si j'essaie pas il n'y a aucune chance que ça fonctionne.
merci denis
..le mot juste je crois est : scandé..
et en effet, tu soulignes bien et l'intérêt et l'exigence
c'était l'amorce d'un livret. avant la remarque de périscope, je lisais l'amorce plutôt comme une embâcle de glace qui craque et cède, lâche..
et les strophes subséquantes (chaque poème court qui suit) comme un "morceau dur" qui trouve son passage sur "le fleuve"
suis plutôt entre deux chaises avec ce projet, assez risqué, mais en même temps, si j'essaie pas il n'y a aucune chance que ça fonctionne.
merci denis