à toi, à moi, à nous (revu)
plus je me montre plus tu me confonds
en moi-même avec un autre
plus j'inspire plus j'expire
- nouvelle inspiration
plus j'échappe mieux tu me rattrapes
à cache-cache mais sans chausse-trappe
plus j'y vois clair plus tu me troubles
c'est étonnant en y songeant
plus j'avance plus tu me doubles
à la seconde où je suis là
moins je parle mieux je raconte
quand je m'écharpe tu te pends à mon cou
je me coupe quand tu me lames de fond
tu me recouds je me trame des histoires
tu me piques quand je serpente je me doute
des effets loupe
regarde-nous
plus j'y pense moins suis sûr
en dessus dessous
plus ça va moins y arrive
ça tourneboule en spirale
plus on travaille moins on rêve
plus c'est flâne mieux je suis
parmi les ligne emtremêlées
en boucles sans fin
les formes en formes
plus je m'effronte moins j'affronte
je fonds quand on s'arrête
désarme de larmes
aux rires de lyres
la musiques de pluie sèche
que dis-je tais-je
sourires de guiguigne
souvenirs de grissignes
depuis que né à nez
après la festnozh ajournée
la beauté vague à l'âme
l'écume nous enrhume
aux souhaits vers de mais
danse danse à pieds nus déployés les ruisseaux
à nos pas dérivent nos oui no
dans la ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
les visages dans la lune
se taire-à-taire
les cils à ciel
désenchanté je chante
la chute en montant
tu te rappelles quand j'oublie ?
je veux dire quand on échoue
me gène l'écrit vivant, va ! Vis, vent !
me rends en perdant
retrouver la vue
la rue est libre de voix
en apparté à la fenêtre...
grâce à toi
en moi-même avec un autre
plus j'inspire plus j'expire
- nouvelle inspiration
plus j'échappe mieux tu me rattrapes
à cache-cache mais sans chausse-trappe
plus j'y vois clair plus tu me troubles
c'est étonnant en y songeant
plus j'avance plus tu me doubles
à la seconde où je suis là
moins je parle mieux je raconte
quand je m'écharpe tu te pends à mon cou
je me coupe quand tu me lames de fond
tu me recouds je me trame des histoires
tu me piques quand je serpente je me doute
des effets loupe
regarde-nous
plus j'y pense moins suis sûr
en dessus dessous
plus ça va moins y arrive
ça tourneboule en spirale
plus on travaille moins on rêve
plus c'est flâne mieux je suis
parmi les ligne emtremêlées
en boucles sans fin
les formes en formes
plus je m'effronte moins j'affronte
je fonds quand on s'arrête
désarme de larmes
aux rires de lyres
la musiques de pluie sèche
que dis-je tais-je
sourires de guiguigne
souvenirs de grissignes
depuis que né à nez
après la festnozh ajournée
la beauté vague à l'âme
l'écume nous enrhume
aux souhaits vers de mais
danse danse à pieds nus déployés les ruisseaux
à nos pas dérivent nos oui no
dans la ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
les visages dans la lune
se taire-à-taire
les cils à ciel
désenchanté je chante
la chute en montant
tu te rappelles quand j'oublie ?
je veux dire quand on échoue
me gène l'écrit vivant, va ! Vis, vent !
me rends en perdant
retrouver la vue
la rue est libre de voix
en apparté à la fenêtre...
grâce à toi
à toi, à moi, à nous (revu)
plus je me montre plus tu me confonds
en moi-même avec un autre
plus j'inspire plus j'expire
- nouvelle inspiration
plus j'échappe mieux tu me rattrapes
à cache-cache mais sans chausse-trappe
plus j'y vois clair plus tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
plus j'avance plus tu me doubles
à la seconde où je suis là
moins je parle mieux je raconte
quand je m'écharpe tu me pends à ton cou
je me coupe quand tu me lames de fond
tu me recouds je me trame des histoires
tu me piques quand je serpente je me doute
des effets loupe
regarde-nous
plus j'y pense moins suis sûr
en dessus dessous
plus ça va moins on y arrive
ça tourneboule des spirales
plus on travaille moins on rêve
plus on flâne mieux je suis
parmi les ligne emtremêlées
en boucles sans fin
les formes en formes
plus je m'effronte moins j'affronte
je fonds quand on s'arrête
désarme de larmes
aux rires de lyres
la musiques de pluie sèche
que dis-je tais-je
sourires de guiguigne
souvenirs de grissignes
depuis que né à nez
après la festnozh ajournée
la beauté vague à l'âme
l'écume nous enrhume
aux souhaits vers de mais
danse danse à pieds nus déployés les petits ruisseaux
à nos pas dérivent nos oui no
dans la ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
les visages dans la lune
se taire-à-taire
les cils à ciel
désenchanté je chante
la chute en montant
tu te rappelles quand j'oublie ?
je veux dire quand on échoue
me gène l'écrit vivant, vas ! Vis, vent !
me rends en perdant
me fondant
retrouver la vue
noyée la rue est libre de voix
en aparté à la fenêtre...
de grâce, à nous
en moi-même avec un autre
plus j'inspire plus j'expire
- nouvelle inspiration
plus j'échappe mieux tu me rattrapes
à cache-cache mais sans chausse-trappe
plus j'y vois clair plus tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
plus j'avance plus tu me doubles
à la seconde où je suis là
moins je parle mieux je raconte
quand je m'écharpe tu me pends à ton cou
je me coupe quand tu me lames de fond
tu me recouds je me trame des histoires
tu me piques quand je serpente je me doute
des effets loupe
regarde-nous
plus j'y pense moins suis sûr
en dessus dessous
plus ça va moins on y arrive
ça tourneboule des spirales
plus on travaille moins on rêve
plus on flâne mieux je suis
parmi les ligne emtremêlées
en boucles sans fin
les formes en formes
plus je m'effronte moins j'affronte
je fonds quand on s'arrête
désarme de larmes
aux rires de lyres
la musiques de pluie sèche
que dis-je tais-je
sourires de guiguigne
souvenirs de grissignes
depuis que né à nez
après la festnozh ajournée
la beauté vague à l'âme
l'écume nous enrhume
aux souhaits vers de mais
danse danse à pieds nus déployés les petits ruisseaux
à nos pas dérivent nos oui no
dans la ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
les visages dans la lune
se taire-à-taire
les cils à ciel
désenchanté je chante
la chute en montant
tu te rappelles quand j'oublie ?
je veux dire quand on échoue
me gène l'écrit vivant, vas ! Vis, vent !
me rends en perdant
me fondant
retrouver la vue
noyée la rue est libre de voix
en aparté à la fenêtre...
de grâce, à nous
à toi, à moi, à nous (revu)
plus je me montre plus tu me confonds
en moi-même avec un autre
plus j'inspire plus j'expire
- nouvelle inspiration
plus j'échappe mieux tu me rattrapes
à cache-cache mais sans chausse-trappe
plus j'y vois clair plus tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
plus j'avance plus tu me doubles
à la seconde où je suis là
moins on parle mieux on se raconte
quand je m'écharpe tu me pends à ton cou
je me coupe quand tu me lames de fond
tu me recouds je me trame des histoires
tu me piques quand je serpente je me doute
des effets loupe
regarde-nous
plus j'y pense moins suis sûr
en dessus dessous
plus ça va vite moins on y arrive
ça tourneboule des spirales
plus on travaille moins on rêve
plus on flâne mieux je suis
parmi les ligne emtremêlées
en boucles sans fin des cheveux
courbes en formes
plus je m'effronte moins j'affronte
je fonds même quand on s'arrête
désarme de larmes
aux rires de lyres
la musiques de pluie sèche
que dis-je tais-je
sourires de guiguigne
la beauté vague à l'âme
à nos souhaits vers de mais
danse danse à pieds nus déployés les petits ruisseaux
à nos pas dérivent nos oui no
dans la ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
les visages dans la lune
se taire-à-taire
les cils à ciel
désenchanté je chante
la chute en montant
tu te rappelles quand j'oublie ?
je veux dire quand on échoue
à l'écrit vivant, et cri, vis, vent !
me rends en perdant
retrouver la vue noyée
à la rue libre de voix
en aparté à la fenêtre
de grâce à nous!
en moi-même avec un autre
plus j'inspire plus j'expire
- nouvelle inspiration
plus j'échappe mieux tu me rattrapes
à cache-cache mais sans chausse-trappe
plus j'y vois clair plus tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
plus j'avance plus tu me doubles
à la seconde où je suis là
moins on parle mieux on se raconte
quand je m'écharpe tu me pends à ton cou
je me coupe quand tu me lames de fond
tu me recouds je me trame des histoires
tu me piques quand je serpente je me doute
des effets loupe
regarde-nous
plus j'y pense moins suis sûr
en dessus dessous
plus ça va vite moins on y arrive
ça tourneboule des spirales
plus on travaille moins on rêve
plus on flâne mieux je suis
parmi les ligne emtremêlées
en boucles sans fin des cheveux
courbes en formes
plus je m'effronte moins j'affronte
je fonds même quand on s'arrête
désarme de larmes
aux rires de lyres
la musiques de pluie sèche
que dis-je tais-je
sourires de guiguigne
la beauté vague à l'âme
à nos souhaits vers de mais
danse danse à pieds nus déployés les petits ruisseaux
à nos pas dérivent nos oui no
dans la ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
les visages dans la lune
se taire-à-taire
les cils à ciel
désenchanté je chante
la chute en montant
tu te rappelles quand j'oublie ?
je veux dire quand on échoue
à l'écrit vivant, et cri, vis, vent !
me rends en perdant
retrouver la vue noyée
à la rue libre de voix
en aparté à la fenêtre
de grâce à nous!