Jamais seul(e)

par au phil de la vie, dimanche 23 septembre 2018, 00:40 (il y a 2032 jours)

Fais de ton mieux, fais ce que tu peux, et ce que tu as à faire. Essaye simplement. Quand tu as besoin, tu peux chaque chose te dire et penser. Ne te force pas, personne ne te dira quoi ne pas te dire, ne te taira en toi-même, toi même tu ne le feras pas. T'inquiète.
Sens venir du ventre palpitant, écoute simplement, le flow de tes émotions.
Laisse passer les peurs, couler les larmes si elles viennent, trouve le calme au fond tu n'es jamais seul(e).
Il arrive que tu te sentes en phase avec une voie infime du dedans – silencieuse quand tu penses, quand tu fais, mais présentes attentives patientes, lumières simples, lueurs du fond du coeur du jour qui résiste, tu crois aux étoiles en swing. Reste auprès, encore, sois en digne, écoute le souffle de la mer dans la conque si tes yeux s’absentent, sens mieux quand tu ne vois plus, si tu te sens perdu(e), comme abandonné(e), si tu sens que tu te vas tromper, de chemin, sur tes désirs, parfois, quand tu ne sais plus où tu vas ni où tu en es, lorsque tu as le sentiment de ne plus entendre rien à rien, laisse, écoute, regarde en attendant sur le bord des chemins monter le blues.
Immobile dans la nuit du bout du monde, souffle un instant, respire, debout tel au vent à l'herbe qui t’intime. Embrasse le doute, embrasse le tout, à la vie en rappel.
Partant du bas en remontant la pente gravis. Tout le temps une poésie t'accompagne et te donne, là.





http://aufildelavie.hautetfort.com/

Jamais seul(e)

par au phil de la vie, dimanche 23 septembre 2018, 09:41 (il y a 2032 jours) @ au phil de la vie

Fais de ton mieux, fais ce que tu peux, et ce que tu as à faire. Essaye simplement. Quand tu as besoin, tu peux chaque chose te dire et penser. Ne te force pas, personne ne te dira quoi ne pas te dire, ne te taira en toi-même, toi même tu ne le feras pas. T'inquiète.
Sens venir du ventre palpitant, écoute, le flow de tes émotions.
Laisse passer les peurs, couler les larmes si elles viennent, trouve le calme, au fond tu n'es jamais seul(e).
Il arrive que tu te sentes en phase avec une voie infime du dedans – silencieuse quand tu penses, quand tu fais, mais présentes attentives patientes, lumières simples, lueurs du fond du coeur du jour qui résiste, elles te gardent, et tu crois aux étoiles, en swing.
Reste auprès, encore, sois digne, écoute le souffle de la mer dans la conque si tes yeux s’absentent, sens mieux quand tu ne vois plus, si tu te sens perdu(e), comme abandonné(e), si tu sens que tu te vas tromper, de chemin, sur tes désirs, parfois, quand tu ne sais plus où tu vas ni où tu en es, lorsque tu as le sentiment de ne plus entendre rien à rien, laisse, écoute, chaque fois, regarde en attendant sur le bord des chemins monter le blues.
Immobile dans la nuit du bout du monde, souffle un temps, respire, debout tel au vent à l'herbe qui t’intime. Embrasse le doute, embrasse le tout, à la vie en rappel te sourire.
Partant du bas en remontant la pente gravis. Tout le temps une poésie t'accompagne et donne, là.

Jamais seul(e)

par sobac @, dimanche 23 septembre 2018, 11:00 (il y a 2032 jours) @ au phil de la vie

j'ai le LA donc jamais seul, profitons de tous les instants

Jamais seul(e)

par au phil de la vie, vendredi 05 octobre 2018, 08:25 (il y a 2020 jours) @ au phil de la vie

Fais de ton mieux, fais ce que tu peux, et ce que tu as à faire. Essaye simplement. Quand tu as besoin, tu peux chaque chose te dire et penser. Ne te force pas, personne ne te dira quoi ne pas te dire, ne te taira en toi-même, toi même tu ne le feras pas, t'inquiète.
Monte du ventre palpitant, écoute, le flow d'émotions.
Laisse passer les peurs, couler les larmes si elles viennent, trouve le calme, au fond tu n'es jamais seul(e).
Il arrive que tu te sentes en phase avec une voie infime du dedans – silencieuse quand tu penses, quand tu fais, mais présentes attentives patientes, lumières simples, lueurs du fond du coeur du jour qui résiste, elles te gardent, tu crois aux étoiles, en swing.
Reste auprès, encore, sois digne, écoute le souffle de la mer dans la conque si tes yeux s’absentent, sens mieux quand tu ne vois plus, si tu te sens perdu(e), comme abandonné(e), si tu sens que tu te vas tromper, de chemin, sur tes désirs, parfois, quand tu ne sais plus où tu vas ni où tu en es, lorsque tu as le sentiment de ne plus entendre rien à rien, laisse, écoute, chaque fois, regarde en attendant sur le bord des chemins monter le blues.
Partant du bas en remontant la pente gravis.
Immobile dans la nuit du bout du monde, souffle un temps, respire, debout tel au vent à l'herbe qui t’intime. Embrasse le doute, embrasse le tout, à la vie en rappel te sourire.
Tout le temps une poésie t'accompagne et donne le la.



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