printemps
Printemps sans insolences
errer se conjugue en
autant de pas voulu
liberté s’en rend compte
chiens et chats de concert
pactisent avec leurs maîtres
le genre humain s’étiole
dans un séisme altier
il neige des sanctions
effet climatique, ou,
miroir didacticiel
dans des mains anonymes
au coin des parcs atones
lueur absente dans l’œil
fixé sur les ombres blêmes
d’êtres en pèlerinage
lentement patiemment
se meurent les heures stériles
d’une saison en enfer
alors on sucre les fraises
errer se conjugue en
autant de pas voulu
liberté s’en rend compte
chiens et chats de concert
pactisent avec leurs maîtres
le genre humain s’étiole
dans un séisme altier
il neige des sanctions
effet climatique, ou,
miroir didacticiel
dans des mains anonymes
au coin des parcs atones
lueur absente dans l’œil
fixé sur les ombres blêmes
d’êtres en pèlerinage
lentement patiemment
se meurent les heures stériles
d’une saison en enfer
alors on sucre les fraises
Puisqu'on ne sait d'où nous venons...
L'hirondelle du désert, le rêve du loup,
Tout concourt à la mort la plus preste, avec ou
Sans Vous. Sans amour et sans haine, où irions-nous,
Vous qui sachiez dès avant Vous-même où
Et quand, ce grand pourquoi qui nous donne comment.
N'importe, maintenant et pas ailleurs semblant
S'unir ensemble dans un même mouvement,
J'aurais bien de la peine à le dire autrement.
Et c'est sûrement aussi sans ce rien qui n'a
Rien à dire, sans ces à-côtés de reines aux
Mains d'argile, sans eux qui auront sommeillé
Pour deux, que nous voici au seuil d'un Incana.
Oh mais mes Quatre Vents sont néanmoins bien à
Vous, ô Vous sans pitié d'un rêve éveillé.
Tout concourt à la mort la plus preste, avec ou
Sans Vous. Sans amour et sans haine, où irions-nous,
Vous qui sachiez dès avant Vous-même où
Et quand, ce grand pourquoi qui nous donne comment.
N'importe, maintenant et pas ailleurs semblant
S'unir ensemble dans un même mouvement,
J'aurais bien de la peine à le dire autrement.
Et c'est sûrement aussi sans ce rien qui n'a
Rien à dire, sans ces à-côtés de reines aux
Mains d'argile, sans eux qui auront sommeillé
Pour deux, que nous voici au seuil d'un Incana.
Oh mais mes Quatre Vents sont néanmoins bien à
Vous, ô Vous sans pitié d'un rêve éveillé.
Puisqu'on ne sait d'où nous venons...
merci de ton écrit