tao
L'esprit de la vallée ne meurt pas ; on l'appelle le féminin secret.
La porte du féminin secret s'appelle la racine du ciel et de la terre. Il est éternel ; il est bien réel. Si l'on en fait usage, on n'éprouve aucune fatigue.
(Laozi - Tao te king, livre I, 6)
La porte du féminin secret s'appelle la racine du ciel et de la terre. Il est éternel ; il est bien réel. Si l'on en fait usage, on n'éprouve aucune fatigue.
(Laozi - Tao te king, livre I, 6)
tao
ah le taoïsme, une de mes grandes passions.
si ça t'intéresse il faut absolument lire l'oeuvre de tchouang tseu.
si ça t'intéresse il faut absolument lire l'oeuvre de tchouang tseu.
tao
et puis aussi maître eckhart, les similitudes sont parfois saisissantes.
tao
Intéressant. Je dois avouer que je ne connais rien au taoïsme. Vais méditer là-dessus.
tao
oui, j'y suis arrivée par le bouquin de Baret sur les tantras que je suis en train de relire.
J'aimerais bien échanger à ce sujet, il s'appelle : "le seul désir, dans la nudité des tantras". C'est un livre dont je vois les imperfections, mais peu importe, l'essentiel me baigne et me donne envie de vivre. Il est basé sur le shivaismes cachemirien.
Je le relis parce que je me suis rendu compte que j'avais perdu quelque chose de libre et d'heureux dans mon écriture, que j'avais quand j'étais imprégnée de ce livre. Je le relis à voix haute.
Ca me paraît très proche aussi de ce que perçois du tao.
J'aimerais bien échanger à ce sujet, il s'appelle : "le seul désir, dans la nudité des tantras". C'est un livre dont je vois les imperfections, mais peu importe, l'essentiel me baigne et me donne envie de vivre. Il est basé sur le shivaismes cachemirien.
Je le relis parce que je me suis rendu compte que j'avais perdu quelque chose de libre et d'heureux dans mon écriture, que j'avais quand j'étais imprégnée de ce livre. Je le relis à voix haute.
Ca me paraît très proche aussi de ce que perçois du tao.
nt
aimer quelqu’un c’est tellement particulier
le centre de cette émotion, qui se soulève quand on le voit
comme une aile juste au dessus de l’eau
qui ressemble à la pitié qu’on a pour soi enfant
qui ressemble aux territoires perdus
à ce qu’on n’arrive pas à dire
qui va, en soi, et soudain se lève
petit soleil particulier invisible
aimer quelqu’un ne mourra pas
ni quand on mourra ni quand il mourra
c’est une chose, ce n’est pas un être....c’est une virgule,
ça n'a pas de fin.
le centre de cette émotion, qui se soulève quand on le voit
comme une aile juste au dessus de l’eau
qui ressemble à la pitié qu’on a pour soi enfant
qui ressemble aux territoires perdus
à ce qu’on n’arrive pas à dire
qui va, en soi, et soudain se lève
petit soleil particulier invisible
aimer quelqu’un ne mourra pas
ni quand on mourra ni quand il mourra
c’est une chose, ce n’est pas un être....c’est une virgule,
ça n'a pas de fin.
nt
Oui ! Non ça ne meurt jamais.
(pourquoi "pitié" ? de la tendresse et de la compréhension)
(pourquoi "pitié" ? de la tendresse et de la compréhension)
nt
pourquoi "pitié" ? Parce que c'est ce mot-là qui m'est venu. Ce n'est pas un texte réflexif, c'est de la poésie.
nt
"Ce n'est pas un texte réflexif, c'est de la poésie."
(je sais oui)
(je sais oui)
à Mona
née le dimanche de Pâques.
à Mona
Bravo Claire, tous mes vœux de bonheur (et de pouponnage) :-)
à Mona
là j'ai pas fait grand chose :)