non titré encore...
Je t'écris d'un pays
sans parapets ni ancrage
sinon la stridence d'un autre temps.
Je t'écris de là-bas où rien ne tient
où tout dévale vers la nuit.
Arbres noirs noués
une odeur marine tel un aiguillon
ravive chuintements crissements
ces bruits intimes
qui masquent l’attente
et percent le sommeil.
Naîtra peut-être un espace autre
source où s'anime l'inerte
où l'infini nous pénètre
et nous assemble.
sans parapets ni ancrage
sinon la stridence d'un autre temps.
Je t'écris de là-bas où rien ne tient
où tout dévale vers la nuit.
Arbres noirs noués
une odeur marine tel un aiguillon
ravive chuintements crissements
ces bruits intimes
qui masquent l’attente
et percent le sommeil.
Naîtra peut-être un espace autre
source où s'anime l'inerte
où l'infini nous pénètre
et nous assemble.
non titré encore...
..hm c'était une sorte de genèse d'avant genèse.. non ?
ça a un quelque chose de placentaire .. comme une présence d'avant présence..
et bienvenue à toi, a.
;)
ça a un quelque chose de placentaire .. comme une présence d'avant présence..
et bienvenue à toi, a.
;)
non titré encore...
Merci Caterine !
J'ai vainement cherché un endroit où me présenter...
En deux mots : j'écris depuis des années. J'ai été invitée à vous rejoindre, j'ai hésité car je suis plutôt ourse, ascendant farouche. :-)
J'ai vainement cherché un endroit où me présenter...
En deux mots : j'écris depuis des années. J'ai été invitée à vous rejoindre, j'ai hésité car je suis plutôt ourse, ascendant farouche. :-)
ourse, ascendant farouche
bienvenue alizarine, ici il n'y a pas d'endroit pour se présenter, tout est dans le même espace.
Il me semble que ton poème est de ceux qui décrivent un territoire intérieur, mais aussi un voyage, un trajet. Celui-ci est d'une sauvage rigueur, attirant malgré, ou à cause, du risque qu'on y perçoit, de sa nature extrême, de ses menaces et de ses mystères.
Il y a un bel équilibre dans le poème entre les éboulis, les failles, la nature indifférente et minérale et le pressentiment d'une combe protectrice, animée par l'apparition de l'eau.
Il me semble que ton poème est de ceux qui décrivent un territoire intérieur, mais aussi un voyage, un trajet. Celui-ci est d'une sauvage rigueur, attirant malgré, ou à cause, du risque qu'on y perçoit, de sa nature extrême, de ses menaces et de ses mystères.
Il y a un bel équilibre dans le poème entre les éboulis, les failles, la nature indifférente et minérale et le pressentiment d'une combe protectrice, animée par l'apparition de l'eau.
non titré encore...
Bienvenue alors Alizarine, dans l'auberge à la grande-ourse
non titré encore...
Beau poème, fluide, j'aime.
non titré encore...
Merci à vous. Je viendrai vous lire dès que la maison aura retrouvé son calme (réunion de famille : 2 très jeunes enfants à surveiller 24h/24 ! dur ! :-) )
non titré encore...
Merci à vous !
Je vous lirai quand la réunion de famille me laissera le temps d'être attentive à vos ots... :-)
Je vous lirai quand la réunion de famille me laissera le temps d'être attentive à vos ots... :-)