ni "je", ni "elle"
je cherche l'alambique du texte mais je ne le trouve pas hûhûil y a une ambiguité certaine et certainement voulue,
un moment on pense qu'il s'agit d'un être
puis le moment d'ensuite on pense qu'il s'agit de la poésie
puis ensuite encore on a c't'impression que la poésie avait pris corps
s'incarnant (corps-pensé devenu réel) dans un espace plus que senti
et j'aime assez l'espèce d'affleurement, l'archi délicatesse
cette manière qu'a Cerval ici de rendre l'intemporalité d'une essence
et l'idée que cette parole narrative n'en restitue qu'une infime part.
cette évocation, pour détaillée qu'elle soit, me rend curieux d'en lire plus
(tiens, c'est aussi séquentiel et porteur qu'une bande annonce de film)
Fil complet:
- ni "je", ni "elle" -
Cerval,
08/07/2015, 01:03
- ni "je", ni "elle" -
julienb,
13/07/2015, 09:59
- ni "je", ni "elle" - little raven, 14/07/2015, 20:00
- ni "je", ni "elle" -
julienb,
13/07/2015, 09:59