Sur "le Chant de la batteuse" d'Emilienne KERHOAS
Le texte d'Emilienne K. fait 7 pages, écrit à l'époque où elle était institurice, peut-être pendant les "devoirs". Un tapuscrit à l'ancienne prêté lors d'une visite au Faou, à sa grande table en bois où elle étale tout son passé et son présent avec un bonheur et une force de vivre qui me régénèrent à chaque fois, comme toute autre personne qui a la chance de pouvoir la rencontrer. En le lisant j'ai été frappé par la tournure "où j'accroche une moisson trop lourde" et j'ai relu le texte en entourant sur ma photocopie des extraits de phrases avec en tête l'idée d'herbes coupées. Ça à fait l'objet de cinq travaux d'études successives, le cinquième, je lui ai donné, ou plutôt posé par sa fenêtre ouverte sur sa grande table de bois un jour où je passais devant chez elle.
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'toM,
11/07/2015, 15:42
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Claire,
12/07/2015, 17:24
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