Ein Streitgedicht.

par quatre sans onze, dimanche 16 août 2015, 12:38 (il y a 3389 jours) @ Florian

On sent le rebond dans l'association des mots, on sent une pensée vive, qui saute d'un tout à un autre, jusqu'à ce poisson chat, détail physique, animalisation soudaine (puis situation: la Seine) au beau milieu d'un questionnement métaphysique. Je ne sais pas si je dois dire que tout tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, ou que ce poème est surprenant. En tout cas ça s'emboîte, même si l'on sent que tout cela est improvisé, et peut-être pas pris au sérieux par l'auteur lui-même. Ca sent la poésie, désinvolte et cathartique.

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