prolégomènes
1. Le monde est la somme de tous les nombres.
1.1. Je me soustrais en tant qu’innombrable à la somme de tous les nombres, car si j’étais du monde je ne pourrais pas en parler ni le poser devant moi, c’est-à-dire en faire l’objet de ma pensée.
2. Le monde est la somme de tous les noms, êtres et choses.
2.1. Je me soustrais en tant qu’innommable à la somme de tous les noms ; ainsi je m’en tiens à penser le monde sans y ajouter le méta-monde qui m’inclurait.
3. Le monde est la somme de toutes ses ombres.
3.1. Je me soustrais en tant qu’être tangible à la somme des ombres du monde, puisque une ombre, serait-elle mienne, ne peut être moi.
4. Le sujet est l’innombrable innommable qui s’extrait du monde pour le penser. Il n’est pas l’ombre de lui-même.
1.1. Je me soustrais en tant qu’innombrable à la somme de tous les nombres, car si j’étais du monde je ne pourrais pas en parler ni le poser devant moi, c’est-à-dire en faire l’objet de ma pensée.
2. Le monde est la somme de tous les noms, êtres et choses.
2.1. Je me soustrais en tant qu’innommable à la somme de tous les noms ; ainsi je m’en tiens à penser le monde sans y ajouter le méta-monde qui m’inclurait.
3. Le monde est la somme de toutes ses ombres.
3.1. Je me soustrais en tant qu’être tangible à la somme des ombres du monde, puisque une ombre, serait-elle mienne, ne peut être moi.
4. Le sujet est l’innombrable innommable qui s’extrait du monde pour le penser. Il n’est pas l’ombre de lui-même.