Projet martien (suite)
Un pêcheur au bord du fleuve compte ses prises une
Femme dort dans le fleuve reste immobile comme
Le sabre dans son fourreau un homme coupable
Sera pendu demain car on manque de balles les
Soldats de la caserne ont eu une permission ils vont boire
Leur paie lentement les lampadaires s'allument une
Ombre s'infiltre dans une rue sale toque à une porte
Qui s'ouvre muets dans la journée les esprits s'échauffent
Alors qu'un homme prend la parole en-dehors de la ville de
Petites lumières rouges apparaissent se rassemblent en un
Cercle dansent quelque chose que nos yeux ne comprennent
Pas mais quelque chose pousse au centre quelque chose
Comme une drogue qui donne un profond sommeil la
Femme sort du fleuve ses cheveux sont longs le pêcheur
Se frotte les yeux comme si il voyait une morte reste ahuri la
Femme se dirige hors de la ville rejoint les petites lumières
Rouges qui l'accueillent lui font comme une fête elle s’assoit
Parmi eux ses longs cheveux sont rouges elle comprend elle
Sourie tandis qu'un sifflement puissant se fait entendre les
Petites lumières rouges disparaissent quelque chose de
Grand de fort qu'on ne saurait décrire s'approche de la
Femme lui parle dans une langue que l'on ne connaît pas
Ils discutent longuement si bien que dans la ville les
Lampadaires s'éteignent les soldats rentrent à la caserne le
Pêcheur est rentré chez lui raconter à sa femme une histoire
Qu'elle ne croira pas.
Femme dort dans le fleuve reste immobile comme
Le sabre dans son fourreau un homme coupable
Sera pendu demain car on manque de balles les
Soldats de la caserne ont eu une permission ils vont boire
Leur paie lentement les lampadaires s'allument une
Ombre s'infiltre dans une rue sale toque à une porte
Qui s'ouvre muets dans la journée les esprits s'échauffent
Alors qu'un homme prend la parole en-dehors de la ville de
Petites lumières rouges apparaissent se rassemblent en un
Cercle dansent quelque chose que nos yeux ne comprennent
Pas mais quelque chose pousse au centre quelque chose
Comme une drogue qui donne un profond sommeil la
Femme sort du fleuve ses cheveux sont longs le pêcheur
Se frotte les yeux comme si il voyait une morte reste ahuri la
Femme se dirige hors de la ville rejoint les petites lumières
Rouges qui l'accueillent lui font comme une fête elle s’assoit
Parmi eux ses longs cheveux sont rouges elle comprend elle
Sourie tandis qu'un sifflement puissant se fait entendre les
Petites lumières rouges disparaissent quelque chose de
Grand de fort qu'on ne saurait décrire s'approche de la
Femme lui parle dans une langue que l'on ne connaît pas
Ils discutent longuement si bien que dans la ville les
Lampadaires s'éteignent les soldats rentrent à la caserne le
Pêcheur est rentré chez lui raconter à sa femme une histoire
Qu'elle ne croira pas.