jmdp n°1 : le thermogryphe
(pour ceux qui l'ont, les autres imagineront)
Un petit mot à partir du "thermogryphe" de Catrine.
J'ai mis longtemps à bien sentir l'exact point de rencontre entre ces trois réalités :
- la vitre de la fenêtre, celle qui tous les jours nous montre le monde du dehors, à la fois toujours le même (même lieu) et toujours différent (heures, saisons)
- écrire à quelqu'un, essayer de lui dire des choses qu'on a soi-même du mal à explorer, très subtiles, y renoncer.
- vivre un instant de présence et d'ouverture.
le point de rencontre, l'objet symbolique, c'est la vitre de la fenêtre, membrane entre dedans et dehors, soi et non-soi, représentation quasi picturale de ce qui sera bientôt sensation vécue, quand on plongera dans le monde du dehors...
mais aussi, par le regard qui la traverse, lieu de création d'un moment d'équilibre et d'immobilité dans lequel la communication est complète.
Un petit mot à partir du "thermogryphe" de Catrine.
J'ai mis longtemps à bien sentir l'exact point de rencontre entre ces trois réalités :
- la vitre de la fenêtre, celle qui tous les jours nous montre le monde du dehors, à la fois toujours le même (même lieu) et toujours différent (heures, saisons)
- écrire à quelqu'un, essayer de lui dire des choses qu'on a soi-même du mal à explorer, très subtiles, y renoncer.
- vivre un instant de présence et d'ouverture.
le point de rencontre, l'objet symbolique, c'est la vitre de la fenêtre, membrane entre dedans et dehors, soi et non-soi, représentation quasi picturale de ce qui sera bientôt sensation vécue, quand on plongera dans le monde du dehors...
mais aussi, par le regard qui la traverse, lieu de création d'un moment d'équilibre et d'immobilité dans lequel la communication est complète.