manuel de déploiement de la divinité (1)
(terpnos logos)
la divinité en vous étant repliée sur elle-même
pliée un bon millier de fois
adoptez la position dite du lotus
pour sonder la caverne intérieure
cette nuit de l’être
à la recherche d’une clé
d’un point lumineux
dans le noir de l’abdomen
un coït potentiel
exponentiel
des feuillets se défroissent
se déplissent avec un bruit feutré
tapissent la caverne aux ombres
il y a dans ce mouvement
son flux et son reflux
l’infini
interrompu à chaque respiration
votre finitude vous y oblige
vous n’auriez pas le temps
vous contenterez de morceaux
c’est plus qu’il n’en faut
pouces joints
entre vos paumes une voie lactée sourd et palpite
volutes à vos tempes
dans l’obscurité des yeux clos
recevez l’éblouissement ultime de l’aveugle
devant l’esprit : une feuille blanche
su et insu enchevêtrent leurs signes
chaque respiration réussie double la surface de contact
celle d’une conscience avec elle-même
et d’elle-même avec l’univers
ressentez-vous sphère
planète
cosmos brûlant
la surface, c’est vous tel que vous croyez
accueillant les phénomènes
l’un des pôles est la mort
le retour à l’informe du mythe
l’autre pôle est l’éveil
c’est-à-dire la même chose
dissolution
à la surface, c’est vous qui parlez
la parole ordinaire utilisée à tout propos
pour rien
pour ne rien dire
étrangère à l’impensable profusion du dessous
force incantatoire arquant l’ombre électrique
inouïe, intarissable
taisez-vous et tendez l’oreille
la divinité en vous étant repliée sur elle-même
pliée un bon millier de fois
adoptez la position dite du lotus
pour sonder la caverne intérieure
cette nuit de l’être
à la recherche d’une clé
d’un point lumineux
dans le noir de l’abdomen
un coït potentiel
exponentiel
des feuillets se défroissent
se déplissent avec un bruit feutré
tapissent la caverne aux ombres
il y a dans ce mouvement
son flux et son reflux
l’infini
interrompu à chaque respiration
votre finitude vous y oblige
vous n’auriez pas le temps
vous contenterez de morceaux
c’est plus qu’il n’en faut
pouces joints
entre vos paumes une voie lactée sourd et palpite
volutes à vos tempes
dans l’obscurité des yeux clos
recevez l’éblouissement ultime de l’aveugle
devant l’esprit : une feuille blanche
su et insu enchevêtrent leurs signes
chaque respiration réussie double la surface de contact
celle d’une conscience avec elle-même
et d’elle-même avec l’univers
ressentez-vous sphère
planète
cosmos brûlant
la surface, c’est vous tel que vous croyez
accueillant les phénomènes
l’un des pôles est la mort
le retour à l’informe du mythe
l’autre pôle est l’éveil
c’est-à-dire la même chose
dissolution
à la surface, c’est vous qui parlez
la parole ordinaire utilisée à tout propos
pour rien
pour ne rien dire
étrangère à l’impensable profusion du dessous
force incantatoire arquant l’ombre électrique
inouïe, intarissable
taisez-vous et tendez l’oreille
manuel de préparation de la divinité (2)
par Rémy 
, lundi 11 juillet 2016, 00:38 (il y a 3059 jours) @ julien
~ second exercice ~
la divinité en vous étant éparpillée
en petits grains
poudre
poussière
saleté
massée par ci
dans l'appendice
brassée par là
dans le cœur qui mélange sans cesse
dans l'estomac
soufflée au loin d'autres endroits
contractez tour à tour
tout ce qui masse
tout ce qui presse
tout ce qui comprime
tout ce qui met en mouvement
tout ce qui meut
tout ce qui émeut
tout ce qui remue
tout ce qui bouge
tout ce qui agite
tout ce qui tremble et vibre
spasme
puis crampe
respirez fort et battez du cœur
et des ganglions lymphatiques
buvez et salivez et avalez
faites parvenir les fluides à la divinité
qu'elle les absorbe
touillez fort plusieurs fois
laissez gonfler
que le divin œdème se manifeste en tout vous
que chaque poussière dans chaque cellule devienne grain
puis pois
puis bille
puis boule
puis bulle
qu'en touchant la cellule d'à côté elle fusionne en fin fil
en fine feuille
enfin qu'elle occupe tout le volume
divinité colloïdale
qui vous tient
papier peint
surface futile sur mur dur
soyez conscient de la puissance sacrée
collante et molle
qui vous retient de rouler aussi sec à vos propres pieds
poussière dans la poussière
louez la colle
la bave
la morve et le braillement de l'enfance
croissez et multipliez-vous
vous êtes le sperme de la terre
la divinité en vous étant éparpillée
en petits grains
poudre
poussière
saleté
massée par ci
dans l'appendice
brassée par là
dans le cœur qui mélange sans cesse
dans l'estomac
soufflée au loin d'autres endroits
contractez tour à tour
tout ce qui masse
tout ce qui presse
tout ce qui comprime
tout ce qui met en mouvement
tout ce qui meut
tout ce qui émeut
tout ce qui remue
tout ce qui bouge
tout ce qui agite
tout ce qui tremble et vibre
spasme
puis crampe
respirez fort et battez du cœur
et des ganglions lymphatiques
buvez et salivez et avalez
faites parvenir les fluides à la divinité
qu'elle les absorbe
touillez fort plusieurs fois
laissez gonfler
que le divin œdème se manifeste en tout vous
que chaque poussière dans chaque cellule devienne grain
puis pois
puis bille
puis boule
puis bulle
qu'en touchant la cellule d'à côté elle fusionne en fin fil
en fine feuille
enfin qu'elle occupe tout le volume
divinité colloïdale
qui vous tient
papier peint
surface futile sur mur dur
soyez conscient de la puissance sacrée
collante et molle
qui vous retient de rouler aussi sec à vos propres pieds
poussière dans la poussière
louez la colle
la bave
la morve et le braillement de l'enfance
croissez et multipliez-vous
vous êtes le sperme de la terre
manuel de préparation de la divinité (2)
C'est quand même un peu mieux et plus drôle que ce que tu fais d'habitude ; du coup, c'est inutile que je poste la suite, tu t'en es chargé pour moi.
manuel de préparation de la divinité (2)
par Rémy , lundi 11 juillet 2016, 23:14 (il y a 3058 jours) @ julien
Ah non alors, il faut poster l'autre suite ! C'est pas d'jeu de mettre numéro 1 et d'arrêter aussi sec !
(Je n'ai plus d'inspiration qu'en réponse, mais il faut que le texte de départ soit inspirant.)
(Je n'ai plus d'inspiration qu'en réponse, mais il faut que le texte de départ soit inspirant.)
manuel de déploiement de la divinité (2) - versets vé(ri)diques
ainsi vous déployez ce que vous ignoriez être
ce caché qui est aussi en vous
monde souterrain, siège du cœur
sachez à quel vous vous vous adressez
si c’est vraiment vous ou bien juste un autre
choisissez celui qui du plus profond vous observe, latent
tapi dans la pénombre
tassé dans sa cuirasse
attendant son heure en trépignant
vous qui respirez
faites-le sans hâte un bon millier de fois
enveloppez-vous de conscience
transgressez l’existence
sentez votre peau brûler comme au bûcher
et sur votre visage le souffle
la fraîcheur qui aiguise l’attention
quelque chose brille désormais dans votre crâne
diffuse sa clarté
joyau à votre front
l’esprit est une forme du corps
à présent le plus difficile
sortez de vous-même pour vous regarder
examinez ce que vous faites avec ce que vous êtes
observez-vous respirer
quittez-vous
prenez congé
la vie vous jette dans le vide
redressez l’empilement vertébral
comme se détend un ressort
comme bondit l’animal
la divinité en vous se déploie
s’expose
explose
il se pourrait qu’elle parle par votre bouche
ce caché qui est aussi en vous
monde souterrain, siège du cœur
sachez à quel vous vous vous adressez
si c’est vraiment vous ou bien juste un autre
choisissez celui qui du plus profond vous observe, latent
tapi dans la pénombre
tassé dans sa cuirasse
attendant son heure en trépignant
vous qui respirez
faites-le sans hâte un bon millier de fois
enveloppez-vous de conscience
transgressez l’existence
sentez votre peau brûler comme au bûcher
et sur votre visage le souffle
la fraîcheur qui aiguise l’attention
quelque chose brille désormais dans votre crâne
diffuse sa clarté
joyau à votre front
l’esprit est une forme du corps
à présent le plus difficile
sortez de vous-même pour vous regarder
examinez ce que vous faites avec ce que vous êtes
observez-vous respirer
quittez-vous
prenez congé
la vie vous jette dans le vide
redressez l’empilement vertébral
comme se détend un ressort
comme bondit l’animal
la divinité en vous se déploie
s’expose
explose
il se pourrait qu’elle parle par votre bouche
manuel de déploiement de la divinité (2) - versets vé(ri)diques
par catrine , mardi 12 juillet 2016, 17:17 (il y a 3058 jours) @ Julien
j'ai lu quelque part (me souviens plus où) que ... «celui qui fourvoie ses hôtes ne peut manquer de s'être fourvoyé déjà.»
manuel de déploiement de la divinité (2) - versets vé(ri)diques
Je ne cherche à fourvoyer (?) personne ; en général on se débrouille très bien tout seul pour cela.
manuel de déploiement de la divinité (2) - versets vé(ri)diques
par Rémy , mercredi 13 juillet 2016, 23:07 (il y a 3056 jours) @ Julien
Quand on se fourvoie, c'est une fourvoirie, c'est-à-dire une fourrue, une fouravenue ou un fourlevard. Mais quand on se fourvoit, c'est une fourvision ! C'est vachement mieux que la division, la prévision et la télévision. Cela dit la lavelingeovision a aussi son charme. Et quand on se fourboit, on est fourbu, curieusement, parce que quand on se pourboit, c'est un pourboire et pas un pourbu. Quand à un fourvu, ça ne vient pas de Fourvière, c'est seulement un mot fourfelu.
manuel de préparation de la divinité (2)
eh tu vois : à force de nous expliquer comment on doit écrire, ça te revient :)
Ceci dit, c'est le thème aussi sans doute qui t'a inspiré.
Je poursuis l'échange malgré mes bonnes résolutions parce que ça devient intéressant, je trouve.
J'allais te dire que toutes tes recettes d'écriture, toutes les propositions de bonne humeur créative et de plaisir partagé que tu nous proposais ne fonctionnaient pas, ne provoquaient pas l'inspiration, parce qu'elles passaient à côté de l'essentiel : l'être humain, que ce soit dans le moment de la création ou dans le moment de l'accès à une œuvre d'art, cherche non pas seulement le plaisir et l'émotion (sinon Johnny Halliday serait le plus grand artiste français du XXème siècle), mais des réponses à des énigmes essentielles : sa naissance, sa mort, celle de ses proches, sa tendance au mal, sa souffrance, le sens du monde qui l'entoure, etc...
Ce ne sont pas (seulement) des questions qui appellent une réponse intellectuelle, que tentent de donner la philosophie et la psychologie, mais des questions qui ont une tonalité "tripale"...et cette dimension, ce sont l'art et la religion qui y répondent.
J'y réfléchis depuis un moment parce que j'ai été frappée par cette phrase de Paul Verhoeven : "L'espèce humaine est accro à la noirceur", qui me paraît assez juste.
L'art a toujours été "noir" en occident, et déjà bien avant le christianisme. Pas seulement noir, mais beaucoup quand même, il suffit de se promener dans le galerie des Offices à Florence ou dans l'équivalent de n'importe quel pays européen pour le constater. L'art oriental est différent, peut-être parce que les religions orientales répondent mieux au côté "tripal" des questionnements, parce qu'elles prennent soin du corps, l'intègrent à la pratique.
En tout cas le côté "tripal" de l'inspiration artistique est pour moi essentiel, et pour la majorité des artistes occidentaux, j'en suis convaincue. Tu confonds cela avec l'introspection, l'auto-thérapie, voire le geignardise, mais tu as tort.
Tu as raison quand tu interroges cette tendance au noir, ceci dit, comme un péché mignon ou une épice qu'on rajouterait à la soupe quand elle est un peu fade.
Et puis encore un truc : l'émotion esthétique dont on a déjà parlé est très particulière. Elle n'est pas dans les oppositions, elle n'oppose pas le gai au triste, le bien fini au brut, ni même le beau au laid. Je crois qu'elle a à voir avec une perception de la vérité, une vérité qui est au delà de l'intellectualisme.
Ceci dit, c'est le thème aussi sans doute qui t'a inspiré.
Je poursuis l'échange malgré mes bonnes résolutions parce que ça devient intéressant, je trouve.
J'allais te dire que toutes tes recettes d'écriture, toutes les propositions de bonne humeur créative et de plaisir partagé que tu nous proposais ne fonctionnaient pas, ne provoquaient pas l'inspiration, parce qu'elles passaient à côté de l'essentiel : l'être humain, que ce soit dans le moment de la création ou dans le moment de l'accès à une œuvre d'art, cherche non pas seulement le plaisir et l'émotion (sinon Johnny Halliday serait le plus grand artiste français du XXème siècle), mais des réponses à des énigmes essentielles : sa naissance, sa mort, celle de ses proches, sa tendance au mal, sa souffrance, le sens du monde qui l'entoure, etc...
Ce ne sont pas (seulement) des questions qui appellent une réponse intellectuelle, que tentent de donner la philosophie et la psychologie, mais des questions qui ont une tonalité "tripale"...et cette dimension, ce sont l'art et la religion qui y répondent.
J'y réfléchis depuis un moment parce que j'ai été frappée par cette phrase de Paul Verhoeven : "L'espèce humaine est accro à la noirceur", qui me paraît assez juste.
L'art a toujours été "noir" en occident, et déjà bien avant le christianisme. Pas seulement noir, mais beaucoup quand même, il suffit de se promener dans le galerie des Offices à Florence ou dans l'équivalent de n'importe quel pays européen pour le constater. L'art oriental est différent, peut-être parce que les religions orientales répondent mieux au côté "tripal" des questionnements, parce qu'elles prennent soin du corps, l'intègrent à la pratique.
En tout cas le côté "tripal" de l'inspiration artistique est pour moi essentiel, et pour la majorité des artistes occidentaux, j'en suis convaincue. Tu confonds cela avec l'introspection, l'auto-thérapie, voire le geignardise, mais tu as tort.
Tu as raison quand tu interroges cette tendance au noir, ceci dit, comme un péché mignon ou une épice qu'on rajouterait à la soupe quand elle est un peu fade.
Et puis encore un truc : l'émotion esthétique dont on a déjà parlé est très particulière. Elle n'est pas dans les oppositions, elle n'oppose pas le gai au triste, le bien fini au brut, ni même le beau au laid. Je crois qu'elle a à voir avec une perception de la vérité, une vérité qui est au delà de l'intellectualisme.
manuel de préparation de la divinité (2)
par Rémy , lundi 11 juillet 2016, 23:53 (il y a 3058 jours) @ Claire
Je n'oppose pas tripal à intellectuel, mais sublimé à flemmard, et inventif à banal.
Après, comment on s'y prend, c'est laissé à chacun ; ça ne m'empêche pas de proposer mes méthodes intellos, ça n'oblige personne à les adopter. Et je ne vois pas en quoi mes exhortations à faire mieux vous blessent tant.
Quant à l'art florentin, quelle somptuosité dans la noirceur ! Voilà des artistes qui n'étaient pas flemmards dans la manière, même si leurs sujets sont d'une répétitivité à mourir d'ennui.
Et peut-être bien que représenter vierges, christs et saints constitue un meilleur compromis entre universalité et banalité que de de raconter ses affres à soi perso à la première personne.
Après, comment on s'y prend, c'est laissé à chacun ; ça ne m'empêche pas de proposer mes méthodes intellos, ça n'oblige personne à les adopter. Et je ne vois pas en quoi mes exhortations à faire mieux vous blessent tant.
Quant à l'art florentin, quelle somptuosité dans la noirceur ! Voilà des artistes qui n'étaient pas flemmards dans la manière, même si leurs sujets sont d'une répétitivité à mourir d'ennui.
Et peut-être bien que représenter vierges, christs et saints constitue un meilleur compromis entre universalité et banalité que de de raconter ses affres à soi perso à la première personne.
manuel de préparation de la divinité (2)
par catrine , mardi 12 juillet 2016, 00:33 (il y a 3058 jours) @ Rémy
écoute Rémy, là tu commences à me faire vraiment chier avec ta morale et ton raplapla ; tu sais très bien que je tu il elle nous vous ils elles on etc, sont des représentations, des niveaux représentatifs même si tu veux, pas de problème. que n'importe qui ici utilise l'un de ces pronoms personnels et que tu les accuses de les utiliser c'est débile. que moi j'écrive je dans un texte ou une suite ou un brouillon (câlice d'estie de ciboire de marde!) comprends donc et vite s'il te plaît que ce n'est pas mon je à moi (tabarnac faut être épais en criss pour penser comme ça).
maintenant, s'il te plaît, pourrais-tu cesser de vinaigrer le forum, ce n'est pas nécessaire, et aussi, si tu as des choses à me dire, pourquoi ne pas me les dire à moi aussi directement que le permet le courriel, on pourrait en discuter bien autrement, parce que là, franchement, très très très franchement, ta vendetta pour ta copine, on l'a compris, ton fiel indirecte de couillon aussi. et ça me sort du cul, littéralement. merci.
maintenant, s'il te plaît, pourrais-tu cesser de vinaigrer le forum, ce n'est pas nécessaire, et aussi, si tu as des choses à me dire, pourquoi ne pas me les dire à moi aussi directement que le permet le courriel, on pourrait en discuter bien autrement, parce que là, franchement, très très très franchement, ta vendetta pour ta copine, on l'a compris, ton fiel indirecte de couillon aussi. et ça me sort du cul, littéralement. merci.
manuel de blablabla
par catrine , mardi 12 juillet 2016, 00:35 (il y a 3058 jours) @ julien
il n'y a pas de divinité
manuel de blablabla
péremptoire comme la voix de Dieu
manuel de blablabla
par catrine , mardi 12 juillet 2016, 16:47 (il y a 3058 jours) @ Julien
..désolée, c'est très loin de moi, et probablement que ma mauvaise humeur d'hier soir y est pour beaucoup dans cette laconique réponse que je n'aurais sans doute pas dû te faire. il n'en reste pas moins que je le pense, les dieux, invention des hommes, rendent les humains serviles et stupides, prêts à tuer pour eux, horriblement ; le plus grand handicape des humains restera toujours le manque de conscience.
ceci dit, à la première lecture, le jour où tu l'as posté, j'ai eu envie d'écrire à Claire avec émerveillement parce que 1) tu es là et tu donnes à lire, 2) parce que je me suis demandé si c'était conscient de ta part de fourvoyez "la divinité" et la conscience, précisément, et que j'allais lui demander son avis mais bon (elle est occupée et en attendant...) j'ai relu encore ton texte et j'y ai lu de l'ironie et du sarcasme, alors j'ai relu encore et j'ai eu la nausée, une nausée profonde en fait parce que le texte est fourbe.
Julien, si certaines fourberies sont drôles elles sont contondantes à la fois.
ceci dit, à la première lecture, le jour où tu l'as posté, j'ai eu envie d'écrire à Claire avec émerveillement parce que 1) tu es là et tu donnes à lire, 2) parce que je me suis demandé si c'était conscient de ta part de fourvoyez "la divinité" et la conscience, précisément, et que j'allais lui demander son avis mais bon (elle est occupée et en attendant...) j'ai relu encore ton texte et j'y ai lu de l'ironie et du sarcasme, alors j'ai relu encore et j'ai eu la nausée, une nausée profonde en fait parce que le texte est fourbe.
Julien, si certaines fourberies sont drôles elles sont contondantes à la fois.
manuel de blablabla
moi j'ai lu "divinité" au sens des philosophies orientales : la divinité en soi, la conscience, pas du tout un Dieu barbu qui chauffe ses troupes. Du coup le texte m'a semblé un tout petit peu scolaire, un tout petit peu calqué sur les livres qui parlent de ça.
la vacance on s'en fatigue vite dès que les débats renaissent :)
la vacance on s'en fatigue vite dès que les débats renaissent :)
manuel de blablabla
par catrine , mardi 12 juillet 2016, 17:12 (il y a 3058 jours) @ Claire
oui, c'est en partie ce dont je désirais échanger avec toi, l'aspect scolaire, l'approche orientaliste... (et le truc louche qui se promène dans le texte) tout en ne perdant pas de vue la "patte" julienb dans son historique de textes apportés à délivre, son propre contexte d'écriture..