la poésie, c'est fini ?
par dh, mardi 23 août 2016, 15:08 (il y a 3016 jours)
la poésie, c'est fini ?
par Écrire, mercredi 24 août 2016, 01:03 (il y a 3015 jours) @ dh
Bien à toi,
JM.
la poésie, c'est fini ?
par Lectrice :)), jeudi 25 août 2016, 06:52 (il y a 3014 jours) @ Écrire
Le mois dâôût ne lui réussi pas :))
Si ceux qui savent correctement lire et correctement écrire -( ça va de pair :))-, renoncent à éditer, la littérature de bas-arts (l'ennuyeuse, l'attendue :)) a de beaux jours devant elle
Il n'empêche
Sage conseil que tu lui as soumis Ecrire :))
la poésie, c'est fini ?
par Essim, jeudi 25 août 2016, 22:34 (il y a 3013 jours) @ Lectrice :))
Ca dépend comment on se sent
Ah tous ces moi d'out.
la poésie, c'est fini ?
par Claire, mercredi 24 août 2016, 14:28 (il y a 3015 jours) @ dh
C'est revenu, appelé par un hasard, mais dans un moment de transition, d'intériorisation.
Les deux sont bien, ce n'est pas à ramener à "aller bien/aller mal".
la poésie, c'est fini ?
par dh, mercredi 24 août 2016, 15:38 (il y a 3015 jours) @ Claire
ce n'est pas à ramener à "aller bien/aller mal". >>>
ah si, pour moi un peu quand même.
la poésie, c'est fini ?
par dh, jeudi 25 août 2016, 09:18 (il y a 3014 jours) @ dh
alors que le bonheur rend mou et improductif.
la poésie, c'est fini ?
par Essim, jeudi 25 août 2016, 11:32 (il y a 3014 jours) @ dh
la poésie, c'est fini ?
par dh, jeudi 25 août 2016, 11:37 (il y a 3014 jours) @ Essim
la poésie, c'est fini ?
par Essim, jeudi 25 août 2016, 12:10 (il y a 3014 jours) @ dh
la poésie, c'est fini ?
par Écrire, jeudi 25 août 2016, 16:59 (il y a 3014 jours) @ dh
Nous pouvons donc en déduire que Kelig s'emploie à nous emmerder. C'est le but.
L'intéressé verouille son forum (ce qui ne me dérange aucunement), mais pollue un espace ouvert. Ouvert à la création littéraire. Point.
la poésie, c'est fini ?
par Essim, jeudi 25 août 2016, 21:48 (il y a 3013 jours) @ Écrire
Si ces posts toxiques et répétés sont avérés, avec emploi du temps et ce qui s'ensuit, ce comportement est inqualifiable et doit être unanimement dénoncé, et condamné.
Surtout qu'il y a de l'espace, et ouvert qui plus est !
J'en parlerai à mon ch'val. Point. (...)
la poésie, c'est fini ?
par cantilène, jeudi 25 août 2016, 22:05 (il y a 3013 jours) @ Essim
vous apprendre encore à ne pas chier dans tous les coins et à ne point vous torcher aux tapisseries ?
la poésie, c'est fini ?
par Essim, jeudi 25 août 2016, 22:10 (il y a 3013 jours) @ cantilène
Au modérateur
par Essim, vendredi 26 août 2016, 01:35 (il y a 3013 jours) @ Essim
J'aimerais que l'ensemble de mes messages de ce fil soient supprimés.
Je regrette d'être revenu tel le fantôme de l'opéra déranger le fil conducteur creative poétic.
En ce moment j'arrête la cigarette par un passage à la cigarette électronique.
Une addiction telle ne se guérit pas en un jour ni d'un coup, ou substitut, sauf dans l'idéal.
On est chaque fois désolé quand se produit une rechute, aussi brève soit-elle.
Foin de comparaison, je préfère avoir craqué un soufre d'allumette ici qu'une clope. Pétard, oui c'est égoïste, quoi que.
En espérant que ma demande sera prise en compte, cette fois.
(j'ai cru voir que pour d'autres c'était systématique)
Salut'
Au modérateur
par zeio, mardi 30 août 2016, 00:34 (il y a 3009 jours) @ Essim
De soi à toi
par Essim, mardi 30 août 2016, 07:49 (il y a 3009 jours) @ zeio
soi-même avec autre
inspire expire – nouvelle inspiration
on s'échappe on se rattrape
à cache-cache sans chausse-trappe
on y voit clair tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
on avance comme on se double
à la seconde où on est là
moins on en parle mieux on raconte
c'est une drôle d'impression.
Quelquefois on s'écharpe on se pends au cou
on se coupe on se lame de fond
se recoud se trame des histoires
se pique quand ça serpente on se doute
des effets loupe.
Regards de soi.
Plus on y pense moins on en est sûr
sens dessus dessous
plus ça va vite moins y arrive
et tourneboulent des spirales
on travaille moins en rêve.
En flânant à la suite
dans les ligne entremêlées
boucles sans fin de chevelure
courbes en formes.
Plus on s'effronte moins on affronte
– on fond même quand ça s'averse
désarmes de larmes
aux rires de lyres
musique de pluie coule.
Que se dit-on ou se tait-on ?
A la beauté vague à l'âme
versée de mais.
Et danse, dansons à pieds nus écoulés petits ruisseaux
aux pas dérivent nos oui no
en ronde à x temps et passent
les impairs et manques en impasse.
En visage la lune
se taire-à-taire
les cils au ciel.
Désenchantant
lune chute en montant
tel écrit vivant dans le vent
échoué en hommage au perdant
de vue noyée à la rue toute pareille
libre des voix aux fenêtres grandes ouvertes.
De soi à toi
par zeio, mercredi 31 août 2016, 00:08 (il y a 3008 jours) @ Essim
De soi à toi
par Lectrice :)), mercredi 31 août 2016, 06:43 (il y a 3008 jours) @ zeio
ça chantonne en rap :))
C'est pas moi qui décide :))
Ma lecture (surtout le début)c'est faite d'office en rap :))
Autrepart
par Essim, mardi 13 septembre 2016, 23:40 (il y a 2994 jours) @ Lectrice :))
soi et autre, inspire expire
nouvelle inspiration
on s'échappe on se rattrape
à cache-cache sans chausse-trappe
on y voit clair tout se trouble
c'est étonnant en y songeant
on avance comme on se double
à la seconde où on est là
moins on en parle mieux on raconte
drôle d'impression
quelquefois on s'écharpe on se pend au cou
on se coupe on se lame de fond
se recoud se trament des histoires
ça pique quand ça serpente on se doute
des effets loupe
regards de l'autre,
plus on y pense moins on est sûr
sens dessus dessous
plus ça va vite moins y arrive
tourneboulent des spirales
on travaille moins en rêve
à la suite
ligne entremêlées
boucles sans fin chevelure
courbes en formes
plus on s'effronte moins on affronte
on fond même quand ça s'averse
désarmes de rires
en lyres
musique de pluie coule
que se dit-on et se tait-on ?
A la beauté vague à l'âme
versée de mais
danse,
dansons à pieds nus écoulés petits ruisseaux
aux pas dérivent nos oui no
ronde à x temps et passe
impair et manque impasse
quand c'est âpre ça rap
envisage la lune
où l'esprit migre
et toutes nos cellules
fertiles cycles
vies morts naissances
chahute en montant
tel écrit vivant dans le vent
échoué comme perdu
de vue noyée à la rue toute pareille
libre de voix aux fenêtres grandes ouverte
Ensemble
par Essim, vendredi 23 septembre 2016, 13:43 (il y a 2985 jours) @ Essim
soi en l'autre, inspire désire
j'expire, j'espère
échappés on s'attrape
à cache-cache, sans chausse-trappe
on y voit clair où c'est trouble
c'est étonnant
on avance
on se dédouble
au même moment on s'unit
une écharpe et on s'enroule
ça picote ça fourmille
effets loupe
aux regards de l'autre
les dessous lianes
ça va vite puis
ça ralentit
tourneboule en spirales
tout près, si lointain
des fois on travaille des fois on rêve
nos ligne entremêlées
tresses de chevelures
coupes éclairs
courbes de corps
la musique de pluie coule
en lyres de soleil
beauté de nos baisers
donnés sans mais
on danse à pieds nus, s'écoulent petits ruisseaux
ronde à x temps
en retenue on s'attend
parfois c'est âpre
alors ça rap
avec la lune
nos esprit naviguent
et toutes nos cellules
aux fertiles cycles
les vies les morts les naissances
on se chahute marée montante
et tel écrit vivant dans le vent
s'échoue de plus belle
perdu de vue
noyée à la rue toute pareille
de vives voix
aux fenêtres grandes ouverte
Ensemble
par Essim, samedi 24 septembre 2016, 13:31 (il y a 2984 jours) @ Essim
soi en l'autre, on s'inspire se désire
on se témoigne
échappés on s'attrape
à cache-cache, sans chausse-trappe
on y voit clair où c'est trouble
c'est bon
on avance
on se dédouble on s'unit
une écharpe et on s'enroule
ça picote ça fourmille
effets loupe
aux regards de l'autre
les dessous lianes
ça va vite puis
ça ralentit
tourneboule en spirales
tout près, si lointain
des fois on travaille des fois on rêve
nos ligne entremêlées
tresses de chevelures
coupes éclairs
courbes de corps
la musique de pluie coule
en lyres de soleil
beauté de nos baisers
donnés sans mais
on danse à pieds nus, s'écoulent petits ruisseaux
ronde à x temps
en retenue on s'attend
parfois c'est âpre
ça rap
avec la lune
nos esprit naviguent
et toutes nos cellules
aux fertiles cycles
les vies les morts les naissances
on se chahute marée montante
faisant l'amour en jouant
et tel écrit vivant dans le vent
s'échoue de plus belle
perdu de vue
noyée à la rue toute pareille
de vives voix
aux fenêtres ouverte
Au modérateur
par Essim, mardi 30 août 2016, 11:18 (il y a 3009 jours) @ zeio
Bon, je renfourche mon cheval d'orgueil.
Salut !
Au modérateur
par zeio , mardi 30 août 2016, 12:33 (il y a 3009 jours) @ Essim
Léonora Miona, écrivaine prophète artiste
par Essim, mercredi 31 août 2016, 21:45 (il y a 3007 jours) @ zeio
Léonora Miona, écrivaine prophète artiste
par zeio, jeudi 01 septembre 2016, 00:44 (il y a 3007 jours) @ Essim
"Ne vous laissez pas prendre au jeu de la colère (...) il faut rire" ;)
par Essim, jeudi 15 septembre 2016, 12:39 (il y a 2993 jours) @ zeio
Léonora Miona, écrivaine prophète artiste
par Essim, jeudi 15 septembre 2016, 12:57 (il y a 2993 jours) @ zeio
:o)
Le mollusque
par Essim, jeudi 15 septembre 2016, 20:36 (il y a 2992 jours) @ zeio
la poésie, c'est fini ?
par Essim, jeudi 25 août 2016, 22:18 (il y a 3013 jours) @ Essim
la poésie, c'est fini ?
par Essim, jeudi 25 août 2016, 22:52 (il y a 3013 jours) @ dh
A la suite de ton truc sans sujet. Le bonheur n'est pas un sujet...
Alors franchement vu le niveau... C'est réjouissant.
Pas parce qu'il y a poésie dans le sujet que c'en est ! Ni que ça parle.
Et puis relis-toi correctement, tu y liras glissée comme une fine peau de banane "comme dit Hollande" etc.
Qui se moque de qui ?
Ce n'est pas au singe qu'on apprend à faire la grimace !
la poésie, c'est fini ?
par Rémy , vendredi 26 août 2016, 00:40 (il y a 3013 jours) @ dh
Un bonheur mou ?
par Écrire, vendredi 26 août 2016, 01:53 (il y a 3013 jours) @ Rémy
Quant au "bonheur" susceptible de nous anesthésier, il relèverait plutôt d'une forme de fuite en avant, de distraction ou d'évitement permettant d'échapper à la fragilité de notre condition. Le bonheur qu'on peut atteindre est cultivé par nos soins. Il ne saurait s'avérer "mou".
Content de te retrouver Rémy !
la poésie, c'est fini ?
par zeio, mardi 30 août 2016, 00:47 (il y a 3009 jours) @ Rémy
Il y a parfois un mouvement lent vers le bonheur, qui fermente au fond d'un poème triste, que tu ne sais pas toujours voir, obnubilé que tu es par l'arc-en-ciel.
la poésie, c'est fini ?
par zeio, mardi 30 août 2016, 00:27 (il y a 3009 jours) @ dh
la poésie, c'est fini ?
par 4tr, jeudi 25 août 2016, 19:21 (il y a 3013 jours) @ dh
le piano bleu
la poésie, c'est fini ?
par dh, vendredi 26 août 2016, 09:52 (il y a 3013 jours) @ 4tr
je suis très touché.
alors si c'est fini si c'est mort, je dépose cette chanson sur ta tombe, joseph...
par d i v, jeudi 25 août 2016, 20:48 (il y a 3013 jours) @ dh
JOSEPH
c’est quoi un rouge gorge maintenant je suis fatigué je tends le bras il pleut l’escalier est glissant trempé je me tiendrais plus tard à ton bras je n’attends plus je me tiendrais plus tard quand je serais plus grand plus beau plus élégant avec toute la suite qui va avec et tout et tout j’attends je suis là ils viendront peut-être me chercher comme avant avec les autres pour me mettre dans un endroit calme où tout est blanc je serais bien là-bas je dormirais pour oublier qui je suis vraiment je suis joseph comment tout ça à commencer comment mettre la bonne porte dans la bonne clé la vie est un jeu si transparent pour réussir à tous les coups la zone pavillonnaire l’endroit où je suis né l’endroit où j’ai vécu toute mon enfance l’endroit déjà tout tracé sur la route du bonheur quelqu’un m’écoutait derrière la porte j’ai mal au ventre j’ai mal à la tête je crois bien qu’on parle de moi j’entends des voix des voix me veulent du mal jusqu’à demain matin me cherchent je dors déjà c’est comme avec les femmes j’ai du renoncé et prendre sur moi la robe en éventail pour en faire une camisole de force une seconde peau et puis regarde mes mains regarde comment physiquement je tremble comment je peux tenir comment je peux tenir encore t’as raison de dire ça l’enfance est une limite à ne pas dépasser parfois j’ai peur parfois j’aimerais tuer ma mère aller à l’essentiel nager marcher mourir près du bord quand vivre m’est difficile écarter les bras d’un gratte ciel pour sauter dans le vide et disparaître et qu’on n’en parle plus de joseph de l’alcool assourdissant pour trouver le sommeil et qu’on n’en parle plus des belles lettres d’accompagnements dans les livres qui pourriront peut-être un jour sûrement j’en sais rien demain je vois f et puis l’autre à 17 heures et on parlera d’électro choque du temps qu’il fait dehors on parlera de rien on parlera de codéine d’atmosphère pour écrire le mieux possible après la chute après la remontée des différentes phases qu’il faut traverser pour être heureux le monde est surprenant je dois manquer de fibre un peu d’atome un peu d’amour le reste fera le reste voilà c’est tout une simple forme évolutive de la matière à la matière et je suis là devant vous je suis joseph et je m’enroule j’ai froid je vais vomir un peu je vais pouvoir rentrer dans moi labyrinthe labyrinthe posé comme un endroit une plateforme sous le ventre soulevé détache-moi je suis dans un jeu de quilles on est lancé des gens me frôlent des gens me regardent on laisse passer les beaux tissus pour mieux les détruire ensuite chacun ses armes son double et sa façon de se défaire dans le regard de l’autre j’avance j’avance mais j’avance mal j’avance pas quelqu’un est entré et n’en n’ai jamais ressorti je m’oublie pour boire j’aimerais des fois écrire comme Houellebecq sur le bonheur sur le rapport aux femmes les gares les trains à prendre pour être un homme heureux moi j’en sais rien je suis au ralenti
.
merci olivier
par dh, vendredi 26 août 2016, 12:49 (il y a 3013 jours) @ d i v
alors si c'est fini si c'est mort, je dépose cette chanson sur ta tombe, joseph...
par julien, jeudi 01 septembre 2016, 17:06 (il y a 3007 jours) @ d i v
Il y avait des gens ils ne regardaient rien ils ne m’intéressaient pas.
Je ne marchais pas je glissais sur une surface plane trop lisse.
Tout le monde se cassait la gueule et personne ne s’en rendait compte.
Je sentais bien que je n’avais pas la force d’avancer avec eux.
Pas d’inspiration d’inclination pas d’idées sauf celle de quitter la place.
Je voulais creuser mon sillon tout seul laisser mon empreinte invisible.
la poésie, c'est fini ?
par Rémy , vendredi 26 août 2016, 00:11 (il y a 3013 jours) @ dh
Mais faut pas non plus pour autant renier ce qu'on a fait !
L'inspiration, ça va ça vient, on se balance d'art en art comme un trapéziste chimpanzé, c'est surprenant mais bien agréable.
Avec qui tu joues du 4 mains ?
la poésie, c'est fini ?
par dh, vendredi 26 août 2016, 09:53 (il y a 3013 jours) @ Rémy
la poésie, c'est fini ?
par Rémy , samedi 27 août 2016, 09:50 (il y a 3012 jours) @ dh
(Hé mais Denis c'était une perche tendue, tu vois ? Une invitation à filer à 4 mains avec moi la métaphore quadrumane. Quand j'écris "d'art en art comme un trapéziste chimpanzé ; avec qui tu fais du 4 mains ?", il faut répondre "avec mes pieds", tu vois l'idée ? Ou encore mieux, vu les circonstances, renvoyer la balle en écrivant "avec ma moitié". Bon, on ressaiera une autre fois.)
la poésie, c'est fini ?
par zeio, mardi 30 août 2016, 00:58 (il y a 3009 jours) @ Rémy
Faut taper à la porte
Si elle ne répond pas
Laisser des fleurs
Revenir le lendemain
Tenter le cailloux lancé sur la fenêtre
Mais si on n'a plus envie de tout ça
Alors se coucher
Sous les étoiles
Et ne plus rien penser du tout
En attendant que ça passe
Et si ça ne passe toujours pas
Continuer de regarder les étoiles
Parce qu'il n'y a rien d'autre à faire
la poésie, c'est fini ?
par zeio, mardi 30 août 2016, 00:20 (il y a 3009 jours) @ dh