matin
Oui, tu as raison, la dernière strophe est inutile, philosophico-filandreuse, ce genre d'interrogation inutile qu'on ne peut s'empêcher d'évoquer face à l'évidence de la vision. Mais la précédente, cette question sur un lieu à trouver, cet exil, ou plutôt cette impression qu'on pourrait avoir vécu dans tous les lieux, toutes les maisons, avec leurs caractéristiques, c'est un sentiment très personnel que je ressens souvent. Particulièrement dans les trains en regardant les endroits traversés, dont on ne sait rien même pas leur nom ni leur emplacement sur la carte.Simplement, je vais inverser les strophes, pour finir comme tu dis.
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