Au présent
Oui il arrive de douter. Des questions taraudent.
Chasse les mauvais esprit. Palabres au grand arbre Kosipo.
Garde les lumières, comme les prunelles de tes yeux.
Les mauvaises pensées, les mauvais doutes, laisse aller, file.
Accueille les bonnes choses. Vois. Ecoute. Entends. Donne. Reçois.
Et combien belle est la nature, inquantifiable, bien inestimable, ses racines sont aussi profondes que le commencement de la vie.
Qu'en faisons-nous, au quotidien ? Comme vivons-nous avec elle ? Comme avec nous-mêmes.
Nous avons certainement lutté pour subsister, lutté pour grandir, en son sein. Ne nous-donne-t-elle pas la vie ? Qu'en faisons-nous chaque jour ? Quels sont mérites et nos lâchetés. Nous n'avons pas le droit de faire n'importe quoi. Dilapider ainsi ce qui nous a été légué. Pourtant c'est ce qui est fait, avec les forêts, les océans, les animaux, les écosystèmes...
Et que faisons-nous de nos frères, de nos sœurs, de nos cousins, ne sommes-nous pas tou(te)s humain(e)s ? Au grand arbre de toutes les branches. Pourquoi alors, encore de la misère, des guerres d'accaparement, encore plus d'inégalité, et de cupidité de la minorité dominante. Pourquoi tant d'égoïsme, de cécité volontaire. Quel est ce système qui promeut tout ce qui est bas ? Au nom du sacro-saint Marché. Pourquoi l'autodestruction par la consommation sans limite ? Pourquoi saccager, détruire, haïr. Faire semblant, agir vide. Ne penser qu'à soi c'est ne penser à personne. On ne peut pas continuer à aller dans ce sens : c'est ajouter les crimes aux crimes.
Il faut prendre conscience, changer, en son âme et conscience, pour offrir une possibilité d'avenir aux enfants déjà et chacun, chacun(e) à la droit à la dignité de vivre.
La nature mérite plus que notre respect. Voici une feuille.
Chasse les mauvais esprit. Palabres au grand arbre Kosipo.
Garde les lumières, comme les prunelles de tes yeux.
Les mauvaises pensées, les mauvais doutes, laisse aller, file.
Accueille les bonnes choses. Vois. Ecoute. Entends. Donne. Reçois.
Et combien belle est la nature, inquantifiable, bien inestimable, ses racines sont aussi profondes que le commencement de la vie.
Qu'en faisons-nous, au quotidien ? Comme vivons-nous avec elle ? Comme avec nous-mêmes.
Nous avons certainement lutté pour subsister, lutté pour grandir, en son sein. Ne nous-donne-t-elle pas la vie ? Qu'en faisons-nous chaque jour ? Quels sont mérites et nos lâchetés. Nous n'avons pas le droit de faire n'importe quoi. Dilapider ainsi ce qui nous a été légué. Pourtant c'est ce qui est fait, avec les forêts, les océans, les animaux, les écosystèmes...
Et que faisons-nous de nos frères, de nos sœurs, de nos cousins, ne sommes-nous pas tou(te)s humain(e)s ? Au grand arbre de toutes les branches. Pourquoi alors, encore de la misère, des guerres d'accaparement, encore plus d'inégalité, et de cupidité de la minorité dominante. Pourquoi tant d'égoïsme, de cécité volontaire. Quel est ce système qui promeut tout ce qui est bas ? Au nom du sacro-saint Marché. Pourquoi l'autodestruction par la consommation sans limite ? Pourquoi saccager, détruire, haïr. Faire semblant, agir vide. Ne penser qu'à soi c'est ne penser à personne. On ne peut pas continuer à aller dans ce sens : c'est ajouter les crimes aux crimes.
Il faut prendre conscience, changer, en son âme et conscience, pour offrir une possibilité d'avenir aux enfants déjà et chacun, chacun(e) à la droit à la dignité de vivre.
La nature mérite plus que notre respect. Voici une feuille.