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Cette interruption mérite une explication, quand bien même tout le monde la devine sans mal. La raison est que j’en ai ras la casquette, entre les accusations de censure, les accusations de trop de neutralité, les schémas qui se répètent depuis des années, les crêpages de chignons, les attaques contre le lieu lui-même, les volontés de le dépouiller etc.
N’ayant plus envie de jouer au gendarme ni au ramasse-miettes, la politique de délivre change assez radicalement. Plutôt que de serrer la visse, celle-ci est retirée complètement. Désormais rien ne sera plus supprimé (sauf dans les cas extrêmes mentionnés plus bas).
Je n'ai jamais vraiment aimé les suppressions (la censure diront certains) et je suis persuadé maintenant que celles-ci participent à entretenir un certain cercle vicieux.
Il existe toujours une fenêtre de 4 heures pendant laquelle les auteurs des messages peuvent supprimer/éditer leurs interventions, ce qui est largement suffisant.
Advienne que pourra comme on dit. Chacun est responsable de ses mots et libre d’aider à faire de cet endroit un dépotoir ou un espace de création littéraire.
Les cas extrêmes sont :
- Quand des informations personnelles sont publiées contre l’avis de la personne concernée.
- Suppression de textes pour des questions de droits, en cas de publication papier essentiellement.
- Contenu clairement illicite (ex pédophilie etc.)
N’ayant plus envie de jouer au gendarme ni au ramasse-miettes, la politique de délivre change assez radicalement. Plutôt que de serrer la visse, celle-ci est retirée complètement. Désormais rien ne sera plus supprimé (sauf dans les cas extrêmes mentionnés plus bas).
Je n'ai jamais vraiment aimé les suppressions (la censure diront certains) et je suis persuadé maintenant que celles-ci participent à entretenir un certain cercle vicieux.
Il existe toujours une fenêtre de 4 heures pendant laquelle les auteurs des messages peuvent supprimer/éditer leurs interventions, ce qui est largement suffisant.
Advienne que pourra comme on dit. Chacun est responsable de ses mots et libre d’aider à faire de cet endroit un dépotoir ou un espace de création littéraire.
Les cas extrêmes sont :
- Quand des informations personnelles sont publiées contre l’avis de la personne concernée.
- Suppression de textes pour des questions de droits, en cas de publication papier essentiellement.
- Contenu clairement illicite (ex pédophilie etc.)