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Il est sympathique ce poèmeJe regrette juste qu'il laisse tomber les octosyllabes en cours de route
La fin aussi tombe à plat à mon sens : "si longues qu'elles perçeront ton âme", c'est vraiment banal
Sinon ça me fait fortement penser à la cérémonie des lézards dans le premier livre de Castaneda. Peut-être un hasard. Le lézard aux yeux cousus, et celui qui s'en va, revient au petit matin raconter ce qu'il a vu.
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