anecdotiquement parlant
JE SUIS À UN CAFÉ. LES PENSÉES PASSENT AVEC UN AIR AIMABLE. LE PAYSAGE ME REGARDE DROIT DANS LES YEUX, ET CILLE. C'EST DÉCIDÉMENT UNE JOURNÉE COMME UNE AUTRE.
le divers s'habille de milles façons qu'on apprend plus vite qu'un poème. on se lasse. il y a des demoiselles aux principes, je suis un garçons à opinions. malheureusement, ma pensée, c'est le paysage, rien qu'on ne puisse exprimer. je reste coi lorsqu'ailleurs les portes s'ouvrent.
tout le monde s'y promène, dans vous ou dans vous, x ou y, l'alphabet. récursivément on en déviderait la pelote du monde. parfois une migraine : c'est aléatoire : le mouvement répétée rebute ou apaise, je me demande à quelle disposition intérieure cette conséquence se détermine, ou le contraire, c'est à chaque fois comme une pièce lancée.
heureusement aujourd'hui je me sens aimable, mais fatigué. je me promène avec lenteur comme si j'étais venise.
les dispositions hésitent. tout est à sa margelle mais sur le point d'en sortir. les jambes des objets fourmillent, les regards les dégourdissent (certains les perdent). voir une chose, c'est la connaître, il faut pourtant toujours s'obliger à en dire, alors que tout est en dehors comme une grimace.
le monde ne ressemble pas à ce que je dis de lui. lorsque j'en parle, rien ne m'assure que je fasse d’avantage que parler de moi-même, et il n'est pas, pour fournir argument contraire, loisible de mobiliser un élément extérieur. mais le langage est pourtant extérieur, il a un beau corps, souple, léger, mobile, dont la grâce partagée habille bien des lèvres. mes phrases, s’il fallait le prouver, ont de belles épaules.
le divers s'habille de milles façons qu'on apprend plus vite qu'un poème. on se lasse. il y a des demoiselles aux principes, je suis un garçons à opinions. malheureusement, ma pensée, c'est le paysage, rien qu'on ne puisse exprimer. je reste coi lorsqu'ailleurs les portes s'ouvrent.
tout le monde s'y promène, dans vous ou dans vous, x ou y, l'alphabet. récursivément on en déviderait la pelote du monde. parfois une migraine : c'est aléatoire : le mouvement répétée rebute ou apaise, je me demande à quelle disposition intérieure cette conséquence se détermine, ou le contraire, c'est à chaque fois comme une pièce lancée.
heureusement aujourd'hui je me sens aimable, mais fatigué. je me promène avec lenteur comme si j'étais venise.
les dispositions hésitent. tout est à sa margelle mais sur le point d'en sortir. les jambes des objets fourmillent, les regards les dégourdissent (certains les perdent). voir une chose, c'est la connaître, il faut pourtant toujours s'obliger à en dire, alors que tout est en dehors comme une grimace.
le monde ne ressemble pas à ce que je dis de lui. lorsque j'en parle, rien ne m'assure que je fasse d’avantage que parler de moi-même, et il n'est pas, pour fournir argument contraire, loisible de mobiliser un élément extérieur. mais le langage est pourtant extérieur, il a un beau corps, souple, léger, mobile, dont la grâce partagée habille bien des lèvres. mes phrases, s’il fallait le prouver, ont de belles épaules.