div
un div en farsi ou daeva (daēuua, daāua, daēva) en avestique est un esprit maléfique de la mythologie iranienne qui aime causer la douleur et la destruction. L'étymologie de ce nom vient du mot indo-européen deiva signifiant « céleste, brillant ». Leur chef est Ahriman. Leurs opposants sont les Izeds ou génies bienfaisants qui obéissent à Ormuzd.
Un div célèbre est Div-e sephid, signifiant « Div blanc », qui intervient dans l'histoire de Rostam et du démon blanc. Il existe aussi dans les histoires du Mazandaran.
L'écriture a été prise aux div après leur défaite devant Jamshid, d'où le nom de diwan ou divan associé à l'endroit où l'on pratiquait l'art des div (et par extension à toute chose ayant une relation avec l'écriture, comme l'administration ou les collections de poèmes). Le mot, après avoir pris en français le sens « salle remplie de coussin » à ensuite désigné le fauteuil où l'on s'assoie1.
Étymologiquement, div (dew) en persan et les dérivations latines de deus (comme « dieu » en français) sont reliés, grâce au fond commun indo-européen. Les iraniens pré-zoroastriens considéraient que les div étaient des êtres saints et sacrés ; mais Zoroastre a rejeté Daeva et l'appela le mal. Malgré cela, les persans vivant au sud de la mer Caspienne ont continué à adorer les div et ont résisté à la pression visant à leur faire accepter le zoroastrisme.
Un div célèbre est Div-e sephid, signifiant « Div blanc », qui intervient dans l'histoire de Rostam et du démon blanc. Il existe aussi dans les histoires du Mazandaran.
L'écriture a été prise aux div après leur défaite devant Jamshid, d'où le nom de diwan ou divan associé à l'endroit où l'on pratiquait l'art des div (et par extension à toute chose ayant une relation avec l'écriture, comme l'administration ou les collections de poèmes). Le mot, après avoir pris en français le sens « salle remplie de coussin » à ensuite désigné le fauteuil où l'on s'assoie1.
Étymologiquement, div (dew) en persan et les dérivations latines de deus (comme « dieu » en français) sont reliés, grâce au fond commun indo-européen. Les iraniens pré-zoroastriens considéraient que les div étaient des êtres saints et sacrés ; mais Zoroastre a rejeté Daeva et l'appela le mal. Malgré cela, les persans vivant au sud de la mer Caspienne ont continué à adorer les div et ont résisté à la pression visant à leur faire accepter le zoroastrisme.