hic
par sobac, samedi 25 février 2017, 13:46 (il y a 2829 jours)
il se fait tard tard
me dit un moujik
au regard bolchevik
dans ce blizzard
me dit un moujik
au regard bolchevik
dans ce blizzard
hic
par sobac , lundi 27 février 2017, 19:17 (il y a 2827 jours) @ sobac
"Contre toute attente, il partit à l'heure, cultiver sa poésie.
Le ciel avait son air indécis, comme un train en partance,
quand la gare le pousse vers l'oubli, d'un jour monotone.
La rime, elle, hésitait entre l'envie, l'ennui, ou la nuance.
Comme quand tout ronronne,et que le temps imparti,
impose sa cadence, dicte son charivari ,offre sa connivence."
Le ciel avait son air indécis, comme un train en partance,
quand la gare le pousse vers l'oubli, d'un jour monotone.
La rime, elle, hésitait entre l'envie, l'ennui, ou la nuance.
Comme quand tout ronronne,et que le temps imparti,
impose sa cadence, dicte son charivari ,offre sa connivence."
hic
par Rémy , mercredi 01 mars 2017, 09:31 (il y a 2826 jours) @ sobac
L'écume des jours, pas légumes du jour !
- Eh, Youri ! Grégarine ou coccidie ?
- Gagarine, velu du lombric !
- Eh, Youri ! Grégarine ou coccidie ?
- Gagarine, velu du lombric !
hic
par sobac , mercredi 01 mars 2017, 11:03 (il y a 2825 jours) @ sobac
c'est poète épicurien, fan de jardinage
hic
par Chrys la liseuse, samedi 04 mars 2017, 08:44 (il y a 2823 jours) @ sobac
Merci pour ce plaisant tableau de jardinier qui nous ressemble et me fait penser au Petit Poucet rêveur égrenant dans sa course des rimes
Il en faut plus je pense pour dérider les censeurs de ce forum ;)
Il en faut plus je pense pour dérider les censeurs de ce forum ;)
hic
par le Rouge-gorge, samedi 04 mars 2017, 11:01 (il y a 2822 jours) @ Chrys la liseuse
Merci Sobac pour ce jardin travaillé.
Voltaire cultivait doublement son potager et son intellect. Ces deux actes allaient d'un même chemin.
Pour te remercier, (suite à la saine proposition de Chrys) je poste ici le poème Lubie.
C’est comme une lubie, j’ai pris la malsaine habitude
compulsion assassine, contrainte maniaque
usage de ne laisser aucun outil s’user d’indifférence
auditionner au quotidien notre commune devise
sonder nos coutumes, retrouver sens aux principes
fourbir chaque lame pour en retrouver la pureté
aiguiser chaque larme pour en questionner le tranchant
polir chaque pensée, proverbe, idole, idée, idylle
affiner le vin des mots, laisser mûrir en bouche
porter aux nues la nudité de l’esquisse
au firmament, finement, libérer les éthers.
Fabrice Selingant
Voltaire cultivait doublement son potager et son intellect. Ces deux actes allaient d'un même chemin.
Pour te remercier, (suite à la saine proposition de Chrys) je poste ici le poème Lubie.
C’est comme une lubie, j’ai pris la malsaine habitude
compulsion assassine, contrainte maniaque
usage de ne laisser aucun outil s’user d’indifférence
auditionner au quotidien notre commune devise
sonder nos coutumes, retrouver sens aux principes
fourbir chaque lame pour en retrouver la pureté
aiguiser chaque larme pour en questionner le tranchant
polir chaque pensée, proverbe, idole, idée, idylle
affiner le vin des mots, laisser mûrir en bouche
porter aux nues la nudité de l’esquisse
au firmament, finement, libérer les éthers.
Fabrice Selingant
hic
par C, samedi 04 mars 2017, 08:50 (il y a 2823 jours) @ sobac
Il est trop tôt
me dit la réplique
au regard polytechnique
c'est un fiasco
me dit la réplique
au regard polytechnique
c'est un fiasco