from the craddle to the grave
que c'est difficile à commenter, et que c'est beau ! J'ai cherché quels pouvaient être ces noms de rue, mais sans rien demander à Mr Google dont l'aide m'aurait semblé une insulte au mystère, à l'association, à l'opaque d'où tout jaillit, aux glissements du sens. Je me suis dit que peut-être tu es vraiment né rue Alain Blanchard, as vraiment habité enfant rue Champ des Oiseaux puis plus tard rue Monmousseau. On sait la puissance du nom des rues qui nous ont hébergés.C'est poignant et triste comme la chanson du pauvre Gaspard, et ça renvoie à des ressentis que nous avons tous traversés, qui nous ont construits.
Je me suis demandé en te lisant quelle sorte de solidité, de nostalgie et de vérité cela évoquait pour moi.
D'une certaine façon, notre solitude est quand même notre plus puissant rempart, notre maison, le lieu où nous existons le plus fort.
Fil complet:
- Jeu de rue avec le je -
Périscope,
26/02/2017, 12:06
- Jeu de rue avec le je - sobac, 26/02/2017, 13:38
- from the craddle to the grave -
Claire,
02/03/2017, 21:31
- from the craddle to the grave -
Périscope,
07/03/2017, 10:01
- from the craddle to the grave - Claire, 07/03/2017, 10:17
- from the craddle to the grave -
Périscope,
07/03/2017, 10:01