aphorismes générés par ordinateur
aphorismes générés par ordinateur à partir d'un corpus constitué de mes textes et de quelques textes de maurice blanchot
Exister est une habitude de la chair.
La pensée aussi a son chez lui.
La nuit s'ouvre une deuxième fois vers 3, 4 ou 5 heures, lorsqu'on finit par se sentir vieillir. Le passé se raidit comme un geste d’excuse.
Moi-même, je sais qu'aucun individu sérieux ne prendra la peine d'être mémorisé.
Les gens s'ouvrent toujours au même endroit : ils disent, c'est ma vie, je me suis détournée d’elle et je l'ai oubliée.
tes yeux ont un usage général, ils sont sourds, étouffants, bourdonnants. Tout est flou en eux, et pourtant nous savons qu’ils varient imperceptiblement pour répondre à la variation insensible du ciel.
Il y a des jambes sur mon vocabulaire, par quoi elles s’ennoblissent.
Tout nous est commun, sauf le ciel. La nuit qui tombe, épaule dégrafée comme la lune doit éclairer les amants la première fois qu'on en prend l'habitude.
Il faut un profond oubli : le langage refuse d'être tué.
Il y a plusieurs façons d'être triste parce qu'il n'y a qu'une seule façon de reconnaître tout ce que ne dément pas l'absence d'activités alentour.
Le quotidien est humain. On disperse les pensées qui courent comme une eau trop agile.
S'il faut chercher le soleil j'aurais fini par n'en plus croire la lumière, la nuit elle-même continue de dire bonjour à la mort, va-t’en.
Le but de la nature c'est que l'enfant soit dans la rue.
L'absence de pensée est un kaléidoscope.
Ce qui peut arriver après l’action ne fait pas plus banal.
Le ciel est plein d'une lumière jaune et cassante dont le but est la seule page imprimée du roman pas écrit.
Le texte, posté. la journée qui s'en va me déchire le coeur. j'aurais voulu pouvoir changer de soleil. Ce n’est pas remarquable pour moi.
Exister est une habitude de la chair.
La pensée aussi a son chez lui.
La nuit s'ouvre une deuxième fois vers 3, 4 ou 5 heures, lorsqu'on finit par se sentir vieillir. Le passé se raidit comme un geste d’excuse.
Moi-même, je sais qu'aucun individu sérieux ne prendra la peine d'être mémorisé.
Les gens s'ouvrent toujours au même endroit : ils disent, c'est ma vie, je me suis détournée d’elle et je l'ai oubliée.
tes yeux ont un usage général, ils sont sourds, étouffants, bourdonnants. Tout est flou en eux, et pourtant nous savons qu’ils varient imperceptiblement pour répondre à la variation insensible du ciel.
Il y a des jambes sur mon vocabulaire, par quoi elles s’ennoblissent.
Tout nous est commun, sauf le ciel. La nuit qui tombe, épaule dégrafée comme la lune doit éclairer les amants la première fois qu'on en prend l'habitude.
Il faut un profond oubli : le langage refuse d'être tué.
Il y a plusieurs façons d'être triste parce qu'il n'y a qu'une seule façon de reconnaître tout ce que ne dément pas l'absence d'activités alentour.
Le quotidien est humain. On disperse les pensées qui courent comme une eau trop agile.
S'il faut chercher le soleil j'aurais fini par n'en plus croire la lumière, la nuit elle-même continue de dire bonjour à la mort, va-t’en.
Le but de la nature c'est que l'enfant soit dans la rue.
L'absence de pensée est un kaléidoscope.
Ce qui peut arriver après l’action ne fait pas plus banal.
Le ciel est plein d'une lumière jaune et cassante dont le but est la seule page imprimée du roman pas écrit.
Le texte, posté. la journée qui s'en va me déchire le coeur. j'aurais voulu pouvoir changer de soleil. Ce n’est pas remarquable pour moi.