mort d'un quiétiste
.
.
.
le temps comme un point
et non comme une ligne
macération et codéine
soleil entouré de flammes
les branches de l'arbre de néant
atteignent le centre silencieux de la roue
le corps assassiné qui ne pèse plus
le manteau de misère posé sur l'épaule
glisse à terre comme peau de serpent
un autre que moi-même s'éveille ce matin
les gouttes d'eau de la douche
dispersent des années de crasse et d'ennui
mais ce qui est dépassé reste
encore présent dans les arrière-mondes
un pont a été construit
sur lequel nous nous rejoignons
je connais bien le chemin de la négation
je ne me trahis pas en t'aimant
ma main sur ta peau
atteint une vérité
.
.
.
.
.
le temps comme un point
et non comme une ligne
macération et codéine
soleil entouré de flammes
les branches de l'arbre de néant
atteignent le centre silencieux de la roue
le corps assassiné qui ne pèse plus
le manteau de misère posé sur l'épaule
glisse à terre comme peau de serpent
un autre que moi-même s'éveille ce matin
les gouttes d'eau de la douche
dispersent des années de crasse et d'ennui
mais ce qui est dépassé reste
encore présent dans les arrière-mondes
un pont a été construit
sur lequel nous nous rejoignons
je connais bien le chemin de la négation
je ne me trahis pas en t'aimant
ma main sur ta peau
atteint une vérité
.
.
.