ici
ici se suffit
écrire attire
mots en bouquet de maux
espace corporel bien réel
chacun livre
son ici à vivre
entre les flaques
ou la peur suffoque
dans l'impasse des silences
ici intrigue
dire le pire
simple évidence
de mots en attente
univers protégé, égaré dans l’illusion
ou l'absence serait enivrante
comme sont
les masques de la vie
délivrant quelques perceptions
ici qui s'en soucie
d'avoir le pouvoir
de sombrer dans les mots
sans que la main tendue
soit celle de l'ennemi
le temps de noircir la page
à son image
et puis rire
la tête dans les nuages
écrire attire
mots en bouquet de maux
espace corporel bien réel
chacun livre
son ici à vivre
entre les flaques
ou la peur suffoque
dans l'impasse des silences
ici intrigue
dire le pire
simple évidence
de mots en attente
univers protégé, égaré dans l’illusion
ou l'absence serait enivrante
comme sont
les masques de la vie
délivrant quelques perceptions
ici qui s'en soucie
d'avoir le pouvoir
de sombrer dans les mots
sans que la main tendue
soit celle de l'ennemi
le temps de noircir la page
à son image
et puis rire
la tête dans les nuages
ici
ici c'est endormi
en balayant devant sa porte
le poids de l'insomnie
et l'inutile cohorte
des petits riens étourdis
fuyant les amours mortes
en balayant devant sa porte
le poids de l'insomnie
et l'inutile cohorte
des petits riens étourdis
fuyant les amours mortes
ici
ici Londres
nan pas la bonne date
surtout pas confondre
ici pénates
nan pas la bonne date
surtout pas confondre
ici pénates
"ici ça va" - arthur h
"ici ça va" - arthur h
belle interpretation , avec un clip bien adapté
chercheur d'or, voila la vraie liberté
chercheur d'or, voila la vraie liberté
ici
chacun livre
son ici à vivre
entre les flaques
ou la peur suffoque
dans l'impasse des silences
ou l'absence serait enivrante
comme sont
les masques de la vie
délivrant quelques perceptions
Je retiens ceci. on pourrait réécrire à partir de tes poèmes. te piller ce qu'on aime. et poursuivre. tu es la charrue. nous sommes le sillon.
beau champ
son ici à vivre
entre les flaques
ou la peur suffoque
dans l'impasse des silences
ou l'absence serait enivrante
comme sont
les masques de la vie
délivrant quelques perceptions
Je retiens ceci. on pourrait réécrire à partir de tes poèmes. te piller ce qu'on aime. et poursuivre. tu es la charrue. nous sommes le sillon.
beau champ
ici
merci beaucoup, ami internet