abrège
Tels sont mes rêves. C'est toujours la raison humaine se débattant contre la douleur et l'impuissance. Un semblable sommeil abrège la vie au lieu de la prolonger. Il dépense une énorme énergie. Le travail de la pensée, plus désordonné, plus fantasque dans les songes, est aussi plus violent et plus rude. G. Sand, Lélia,1833, p. 128.Fil complet: