néon ou nez on ne sait pas ou
le néon pendouillait, le reste à l'avenantelle somnolait sur un vieux transat pourri
ici et la quelques canettes qui jonchaient
le cendrier plein, un filtre se consumait
relents nauséabonds, plus yeux rougis,
ce n'est pas exagéré de dire, quel torchis
en cause les fuites et autres inconvénients
du même acabit, la misère ou bien alors
la vie,ses déboires, ses excès, ses faits
dont on entend les échos,ici et là, et même
au rayon des fruits et légumes, achalandé,
sous la torpeur assassine,d'un mois de juin
ou l'on attend l'orage, les éclairs bien sur
qui font peur, quand la mort rôde encore
aux sons de, c'est l'apocalypse sûrement
nul doute, quand le court-circuit arriva
l'explosion balaya ce décor ubuesque
digne d'un roman des indigents associés
sauf que voilà,c'est a coté, enfin presque
entre le boulevard, l'impasse et manque
sous les cris quotidiens assourdissants
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