Petites pensées contemporaines
En 2018, on se demande ce qui pousse la majorité des commentateurs sportifs à dénigrer encore l'équipe de France, arrivée déjà en quart de finale de la coupe du Monde... Ils semblent dépités de leur réussite, ils sont aigris, on dirait des politiciens à la ramasse. Ils se sont trouvés comme bouc émissaire Pogba, qui leur répond par micro que tout se joue sur le terrain. Ils perdent à chaque coup avec leur mentalité triste.
Au bout d'un certain temps, tant la bêtise gouvernante semble tombée sous le sceau de l'évidence, reprise en choeur par des médias serviles et aux bottes, les quinquennats s'enchaînant comme de concert, résister demande de plus en plus d'efforts.
La façon dont nous traitons les réfugiés d'Afrique subsaharienne, notamment, me fait triplement honte, au moins. Ceux qui se donnent la peine de réfléchir comprendront aisément les trois raisons, à minima. Si seulement ce sentiment pouvait être majoritairement partagé... Au moins ai-je formulé ce voeu.
Je n'arrive plus à être en esprit poésie, d'écriture, je ne sais pourquoi, peut-être est-ce une phase, mais ce n'est pas grave, on peut être en poésie aussi en vivant, simplement, quand la vie est belle et qu'on y prête attention.
Rome aussi est une ville magnifique, chère à nos yeux, en trois jours il faut seulement marcher beaucoup juste pour les rues et les places, et attendre les bus quand on loge loin du parc de la villa Borgèse.
Au bout d'un certain temps, tant la bêtise gouvernante semble tombée sous le sceau de l'évidence, reprise en choeur par des médias serviles et aux bottes, les quinquennats s'enchaînant comme de concert, résister demande de plus en plus d'efforts.
La façon dont nous traitons les réfugiés d'Afrique subsaharienne, notamment, me fait triplement honte, au moins. Ceux qui se donnent la peine de réfléchir comprendront aisément les trois raisons, à minima. Si seulement ce sentiment pouvait être majoritairement partagé... Au moins ai-je formulé ce voeu.
Je n'arrive plus à être en esprit poésie, d'écriture, je ne sais pourquoi, peut-être est-ce une phase, mais ce n'est pas grave, on peut être en poésie aussi en vivant, simplement, quand la vie est belle et qu'on y prête attention.
Rome aussi est une ville magnifique, chère à nos yeux, en trois jours il faut seulement marcher beaucoup juste pour les rues et les places, et attendre les bus quand on loge loin du parc de la villa Borgèse.