Visée du ciel
Lorsque j’en n’eu assez de moi, comme se fait la révolution à mon visage (car une évolution avorte toujours), l’objet d’une mort en celui d’un plaisir que d’essayer de donner nouvelle essence à ce qui est perçu comme fondamentale.
A défaut du signe qui ne permet aucune esquive à l’issue, d’un feu ardent d’une grande tendresse qui renoue avec soi les avenirs effondrés.
Du jour qui ne tue l’obscurité et l’idée impénétrable du vierge – mes métamorphoses manquées. J’ai acquis la certitude dans les manches du chemin, de l’absolu qui ne cesse de reculer devant mon procès, au revers des vérités de ce qui naît (qu’il n’existe rien de nécessaire). Qu'il en fût assez de croire à l’acte, l’espace plein du sens qui rétracte la multitude, capable de nier le doute.
Assez de cette attente qui prend ces grandeurs d’infini insupportable qu’il nous faut rejeter de toute notre âme car nous vivons toujours dans une certaine idée de la raison. Ironie du sort où tant de jeux du sentir continuent de former notre seule perception de la vie sensible. De cette chose effroyable dans l’être, la perversion du singulier qui tire tout ce qui est au dehors du corps vers les broyeuses de la conscience. Cette cruauté criminelle en vers l’autre, en donnant résonance à l’existence étrangère lorsqu’elle peut se raccrocher ou tomber de l’une de nos branches. Je songe avec sérieux au choix de mourir, l’image de mon suicide la mâchoire ouverte sur la volupté du ciel qui me ramène à soi. La jouissance de ma nature profonde, le rêve
A défaut du signe qui ne permet aucune esquive à l’issue, d’un feu ardent d’une grande tendresse qui renoue avec soi les avenirs effondrés.
Du jour qui ne tue l’obscurité et l’idée impénétrable du vierge – mes métamorphoses manquées. J’ai acquis la certitude dans les manches du chemin, de l’absolu qui ne cesse de reculer devant mon procès, au revers des vérités de ce qui naît (qu’il n’existe rien de nécessaire). Qu'il en fût assez de croire à l’acte, l’espace plein du sens qui rétracte la multitude, capable de nier le doute.
Assez de cette attente qui prend ces grandeurs d’infini insupportable qu’il nous faut rejeter de toute notre âme car nous vivons toujours dans une certaine idée de la raison. Ironie du sort où tant de jeux du sentir continuent de former notre seule perception de la vie sensible. De cette chose effroyable dans l’être, la perversion du singulier qui tire tout ce qui est au dehors du corps vers les broyeuses de la conscience. Cette cruauté criminelle en vers l’autre, en donnant résonance à l’existence étrangère lorsqu’elle peut se raccrocher ou tomber de l’une de nos branches. Je songe avec sérieux au choix de mourir, l’image de mon suicide la mâchoire ouverte sur la volupté du ciel qui me ramène à soi. La jouissance de ma nature profonde, le rêve