Plus jamais jamais
Des individus bien propres sur eux, lorsqu'ils se présentent à l'endroit, tentent de se ressaisir face à la foule rassemblée en une rentrée claquée, mais ils dégoulinent de supercherie renchèrie à l'envers façon versatile, les gens se détournent un temps pour respirer ; ils inspirent tellement la nausée, imprégnés de leurs sucs financiers, on laisse courir les fraudeurs écoeurant, ils n'iront pas tellement plus loin à force de vilénie.
Bientôt se profile la muraille de la banquise déplacée, caniculaire.
Ca sent la fin, les bêtes se consomment entre elles, oubliant leur humain.
Les aveuglés cherchent les mains, on se prépare en sourdine la tempête des deux millénaires.
Quelque chose arrive, le Monde ne sent pas bon.
Un pire après l'autre, construction facticio-réaliste, cathédrale de cartes masquées de cadavres, éphémère à l'échelle des ères planètes, au bord de s'écrouler dans un giga chambardement. Enclenchements des causes et conséquences, l'Univers à bon dos. Tous comptes ouverts, à rebours.
Bientôt se profile la muraille de la banquise déplacée, caniculaire.
Ca sent la fin, les bêtes se consomment entre elles, oubliant leur humain.
Les aveuglés cherchent les mains, on se prépare en sourdine la tempête des deux millénaires.
Quelque chose arrive, le Monde ne sent pas bon.
Un pire après l'autre, construction facticio-réaliste, cathédrale de cartes masquées de cadavres, éphémère à l'échelle des ères planètes, au bord de s'écrouler dans un giga chambardement. Enclenchements des causes et conséquences, l'Univers à bon dos. Tous comptes ouverts, à rebours.