Je hume les étoiles
Je hume les étoiles dans l’allée de ton ventre,
Et le rebord des chevaux conduit au parfum.
Légèrement se devine ta marche sur les cailloux glacés.
S’y dépose urineuse l’impudeur.
Je marche, je hume, je devine ta dégaine légère.
Parfum de ton étoile, moule de tes rebords ;
Impudeur de cailloux qui envoie aux chevaux.
Ces chevaux moulent à ton ventre parfum et glace d’urine,
Sur l’allée déposée, devinée entre cailloux, étoiles, ou baignoire d’impudeur,
Où d’un jet léger conduit ta dégaine.
Rebord légèrement conduit.
Etoile légèrement moulée.
Marche légèrement allée.
Jet glacé conduisant l’impudeur à mon caillou.
Et mon caillou devine ton rebord.
Et ton rebord dépose l’urineuse étoile.
Et ton étoile marche dans ton ventre-baignoire, ton ventre-caillou, ton ventre-impudeur,
ton ventre-moule que j’envoie d’un jet deviner mon rebord.
Il y aurait-il aussi des parfums qui marcheraient,
Que l’étoile dégainerait
Dans le dépôt des chevaux où conduiraient les cailloux des allées,
vers le moule ?
Ô moule. Humeur humée.
Ô rebord déposé.
Ô étoile dégainée jusqu’à baignoire,
jusqu’à caillou, jusqu’à impudeur, jusqu’à légèrement marcher, jusqu’à cheval à rebord glacé,
jusqu’à toi.
Mais aussi cailloute, mais aussi urine, mais aussi reborde, puis rengaine, puis parfume,
ne glace pas, mais chevale sur tout légèrement ventre, avec cailloutement caillouté, déposément jeté, jette bien le jet, hume l’impudeur de la pudeur, étoile le dépôt en dépit,
Et encore légère, tu déposes, cailloux,
Tu déposes parfums,
Tu déposes ventre,
Tu déposes étoile,
Tu déposes cheval,
Tu déposes pudeur,
Tu déposes une pause, légère,
Légèrement,
Sur l’allée qui conduit aux chevaux, sous l’étoile,
dans le parfum, au rebord des cailloux, tu dégaines.
Je devine. Je te dépose.
Et je marche. Le rebord de la baignoire est glacé. Sur les cailloux, des chevaux, un jet d’urine. Je hume leur impudeur. On devine le ventre des étoiles. Tu m’envoies légèrement ton parfum et je marche. Sur l’allée. Qu’on devine dans le moule de la nuit… Etoiles et cailloux me conduisent. Au rebord des choses. Dans ce ventre glacé des baignoires légères qu’on dépose. Je suis l’envoyé de toi qui me devine, plus loin que les chevaux, plus léger que les cailloux, plus glacé que les étoiles, sur les allées partout d’impudeur parfumées.
Dans l’entière planète,
excrémente ma solitude !
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