coupure
C'est ce que j'ai pensé aussi à la première lecture,mais en relisant, j'ai trouvé que ce qui pouvait paraître comme des clichés,
sans aucune originalité, (mais heureusement l'originalité en poésie me semble suspecte),
ces clichés ici sonnaient sincèrement, avec sobriété, justesse,
et montraient que le cliché contient une part de vérité commune, universelle,
sans qu'il ait besoin d'être justifié, commenté... il s'impose par la conviction de son auteur
Quant au "après" sur lequel tu conclus, il ne convient pas ici, puisque c'est un "poème" et non un récit
le "après" est plutôt dans la tête du lecteur qui s'imbibe du poème pour après le prolonger, le nimber de son imaginaire
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