au bout de la rue
Je n'ai jamais lu quelque chose qui prenne le langage de cette façon.C'est comme un animal, un serpent peut-être, à demi-transparent, à demi-halluciné. Et ses articulations, ses lumières, ses craquements évoquent un feu qui ne brûle pas, qui se transmet comme celui de Prométhée, mais sans prétention, sans emphase, dans une rue ordinaire et vivante, dans la diversité.
J'aime beaucoup quand ta vision prend corps ainsi, quand elle entre dans une certaine continuité, sans renoncer pour autant à la liberté de l'inspiration.
Tu as une grande liberté d'écriture, sans doute du fait d'une vraie absence de prétention.
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sobac,
25/04/2019, 12:02
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411,
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Périscope,
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