Printemps
L'espoir est revenu comme un coup de hache.
Sous l’œil aveugle d’un hiver qui se prenait pour un mois de mai, des paumes vides gravent leur empreinte sur les vitrines aveugles.
La pluie, qui a transpercé la main avide des gelées, a semé des tapis de jonquilles, bouquets intimes des oubliés.
Ailleurs, le mimosa crie l’indifférence aux trottoirs incrédules, aux conversations futiles des terrasse vides. Il crie la fraternité aux mensonges arrogants des rayons qui réquisitionnent l’abondance.
Il crie l’angoisse du lendemain et...Tout le printemps est là
Sous l’œil aveugle d’un hiver qui se prenait pour un mois de mai, des paumes vides gravent leur empreinte sur les vitrines aveugles.
La pluie, qui a transpercé la main avide des gelées, a semé des tapis de jonquilles, bouquets intimes des oubliés.
Ailleurs, le mimosa crie l’indifférence aux trottoirs incrédules, aux conversations futiles des terrasse vides. Il crie la fraternité aux mensonges arrogants des rayons qui réquisitionnent l’abondance.
Il crie l’angoisse du lendemain et...Tout le printemps est là