visage
Il y avait le visage de l’autre prenant racine dans le creux de ses nuitsavouer lui aurait été pénible, tout autant que reconnaître
alors dans d’autres rêves il s’embarquait pour l’éternité
avec des impasses, comme le sont les jours iconoclastes
l’obsession, elle, lui pardonnait la force de cet aveu
le visage mutait dans un sursaut, l’insomnie l’accaparait
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