LA BELLE VIE
Dans la vie de tous les jours et contre toute attente nous sommes perdus dans ce monde car il ne s’est rien passé depuis bien longtemps nous traversons des temps morts.
Ce qui est flou ne peut pas prendre corps.
Sans précepte nous étions seuls dans l’intervalle je m’applique à repousser les ombres semi-conscientes aquatiques immodérées ensevelies séparées véhiculaires pour nous laver bouche bée le corps et la conscience pour parvenir aux fins.
Il y a des brèves saisons que j’ai senties très fortement pour nous fixer dans rien les murs sont des falaises sans respirations thérapeutiques j'ai un peu mal au cœur car je suis au sommet de mon propre corps pour la toute fin de notre vie ou la mort nous apprendras à vivre mieux je suis au monde et je m’applique à repousser les ombres les électrons le style le sujet vous et moi les images qui défilent n’ont plus la force de nous comprendre.
Honteusement j’aurai bien aimé vivre avec ce lait qui m’a été donné au départ vertigineux dans mon ventre comme un coup de tonnerre dans le ciel bleu de l'existence ou la mort aspire à nous livrer la vérité des corps mais quand j’allais couper du bois seul dans les grandes forêts millénaires et les jardins antiques j’avais déjà la conscience de perdre.
Il y avait aussi le signe que nos mères n’étaient pas là pour nous sauver alors aujourd’hui je pense à quelqu'un qui ne pense plus et qui ramènent chez lui des choses vivantes des insectes des animaux morts pour que les marches soient barbouillées de sang.
Je n’appartiens pas à cette matière à cette humanité à rien.
La vie est belle.
Ce qui est flou ne peut pas prendre corps.
Sans précepte nous étions seuls dans l’intervalle je m’applique à repousser les ombres semi-conscientes aquatiques immodérées ensevelies séparées véhiculaires pour nous laver bouche bée le corps et la conscience pour parvenir aux fins.
Il y a des brèves saisons que j’ai senties très fortement pour nous fixer dans rien les murs sont des falaises sans respirations thérapeutiques j'ai un peu mal au cœur car je suis au sommet de mon propre corps pour la toute fin de notre vie ou la mort nous apprendras à vivre mieux je suis au monde et je m’applique à repousser les ombres les électrons le style le sujet vous et moi les images qui défilent n’ont plus la force de nous comprendre.
Honteusement j’aurai bien aimé vivre avec ce lait qui m’a été donné au départ vertigineux dans mon ventre comme un coup de tonnerre dans le ciel bleu de l'existence ou la mort aspire à nous livrer la vérité des corps mais quand j’allais couper du bois seul dans les grandes forêts millénaires et les jardins antiques j’avais déjà la conscience de perdre.
Il y avait aussi le signe que nos mères n’étaient pas là pour nous sauver alors aujourd’hui je pense à quelqu'un qui ne pense plus et qui ramènent chez lui des choses vivantes des insectes des animaux morts pour que les marches soient barbouillées de sang.
Je n’appartiens pas à cette matière à cette humanité à rien.
La vie est belle.