Un peu de légèreté
par sobac 
, vendredi 29 novembre 2019, 13:24 (il y a 1821 jours)
Un peu de légèreté offre à l’existence
l’envie éphémère de sourire parfois
instant s’accrochant au déni de voir la mort
quand la vieillesse s’abandonne aux hivers blancs
l’art se consomme en mille ruses assassines
jouir des heures hétéroclites vaut son pesant
miroir accusateur engendre l’hypothèse
en autant de farces récréatives vernies
la corde sensible devient ce lasso cruel
virevoltant sur nos années d’inconséquences
l’orage gronde, explose, le corps n’est que séisme
est ce encore des sons, où le mistral en couloir
alors les rires fusent s’entrechoquent sitôt
le regard illuminé d’envies manifestes
tout est possible, même un jeu de jambes rond
et l’horizon se peuple de mots usuels
l’envie éphémère de sourire parfois
instant s’accrochant au déni de voir la mort
quand la vieillesse s’abandonne aux hivers blancs
l’art se consomme en mille ruses assassines
jouir des heures hétéroclites vaut son pesant
miroir accusateur engendre l’hypothèse
en autant de farces récréatives vernies
la corde sensible devient ce lasso cruel
virevoltant sur nos années d’inconséquences
l’orage gronde, explose, le corps n’est que séisme
est ce encore des sons, où le mistral en couloir
alors les rires fusent s’entrechoquent sitôt
le regard illuminé d’envies manifestes
tout est possible, même un jeu de jambes rond
et l’horizon se peuple de mots usuels
Un peu de légèreté
par Périscope , vendredi 29 novembre 2019, 17:25 (il y a 1820 jours) @ sobac
Un peu de légèreté s'offre à l’existence
quand la vieillesse s’abandonne aux hivers blancs
l’art se consomme en mille ruses assassines
la corde sensible devient ce lasso cruel
virevoltant sur nos années
l’orage gronde,
explose, le corps n’est que séisme
est ce encore des sons, où le mistral en couloir ?
alors les rires fusent
s’entrechoquent
les regards illuminés d’envies manifestent
tout est possible,
même un jeu de jambes rond
et l’horizon se peuple de mots usuels
(j'aime bien ton poème, si bien que j'ai eu plaisir à le reprendre... merci)
quand la vieillesse s’abandonne aux hivers blancs
l’art se consomme en mille ruses assassines
la corde sensible devient ce lasso cruel
virevoltant sur nos années
l’orage gronde,
explose, le corps n’est que séisme
est ce encore des sons, où le mistral en couloir ?
alors les rires fusent
s’entrechoquent
les regards illuminés d’envies manifestent
tout est possible,
même un jeu de jambes rond
et l’horizon se peuple de mots usuels
(j'aime bien ton poème, si bien que j'ai eu plaisir à le reprendre... merci)
Un peu de légèreté
par sobac , mercredi 04 décembre 2019, 11:55 (il y a 1816 jours) @ Périscope
heureusement un commentaire
merci a toi d'avoir apprécier et l'avoir retravaillé
merci a toi d'avoir apprécier et l'avoir retravaillé