silence
Il neige un silence immaculé
la place vide aspire l’énergie
où sont les passantes sans soucis
l’heure du thé quand la parole naît
un banc s’interroge en vain, décès,
l’arbre son ami sans alibis
où dormir la nuit, les chats sont gris
cette peur à l’accent vérité
des masques çà et là apostrophent
la vie futile, les allusions
il pleut, on accuse les postillons
quand les cloches sonnent à l’unisson
un chant monte des gorges autochtones
les pièces tombent pour l’aumône
la place vide aspire l’énergie
où sont les passantes sans soucis
l’heure du thé quand la parole naît
un banc s’interroge en vain, décès,
l’arbre son ami sans alibis
où dormir la nuit, les chats sont gris
cette peur à l’accent vérité
des masques çà et là apostrophent
la vie futile, les allusions
il pleut, on accuse les postillons
quand les cloches sonnent à l’unisson
un chant monte des gorges autochtones
les pièces tombent pour l’aumône